Brussels Airport a annoncé qu’elle allait avancer le déploiement de son nouveau système d’enregistrement et d’embarquement, initialement prévu pour novembre 2025, afin de rétablir au plus vite ses opérations normales. (Source : air-journal.fr)
Brussels Airport a annoncé qu’elle allait avancer le déploiement de son nouveau système d’enregistrement et d’embarquement, initialement prévu pour novembre 2025, afin de rétablir au plus vite ses opérations normales. (Source : air-journal.fr)
OAG, première plateforme de données pour l’industrie mondiale du voyage, publie ce jour le classement Megahubs 2025. À l’occasion de son dixième anniversaire, Megahubs établit le classement définitif des aéroports les plus connectés au monde en analysant les destinations desservies et les correspondances prévues à chaque aéroport. Pour la troisième année consécutive, Londres-Heathrow s’empare de la tête du classement. L’aéroport d’Istanbul grimpe de six places par rapport à 2024 pour accéder à la seconde place du classement. L’Asie domine le marché low-cost avec en tête Kuala Lumpur pour les connexions à bas prix. (Source : ledevoir.com)
Londres-Southend retrouve son public. Pour la première fois depuis six ans, l’aéroport de l’est londonien a célébré son 500 000e passager annuel, marquant un retour inédit à ses niveaux d’avant-crise. Son redressement en 2025 est spectaculaire : +130% de passagers par rapport à 2024, selon la Civil Aviation Authority. À titre de comparaison, ses concurrents régionaux, Derry (+34%) et Bournemouth (+26%), sont loin derrière. Cette renaissance doit beaucoup au retour offensif d’easyJet, qui a fait de la plateforme un point d’ancrage pour de nouvelles lignes. (Source : air-journal.fr)
Déployée sur TGV INOUI, la formule Train + Air est désormais étendue à l’offre OUIGO Grande Vitesse depuis et vers l’aéroport de Lyon Saint-Exupéry. Les gares de Marseille Saint-Charles, Aix-en-Provence TGV, Avignon TGV, Nîmes Centre et Nîmes Pont du Gard, Montpellier Saint-Roch, Montpellier Sud de France y sont connectées. Les premières compagnies qui proposeront cette offre sont Air Canada et Corsair. (Source : tourmag.com)
Ryanair va supprimer définitivement, mercredi 12 novembre prochain, les cartes d’embarquement papier, une mesure qui touchera l’ensemble de ses 206 millions de passagers annuels. Selon la compagnie, près de 80% de ses clients utilisent déjà la carte numérique. La transition vise donc à généraliser une pratique déjà largement dominante. Au-delà de la simplification du processus d’embarquement, ce dispositif réduit l’empreinte écologique liée à l’impression papier, un axe sur lequel Ryanair communique régulièrement en mettant en avant sa flotte jeune et ses efforts de réduction d’émissions. (Source : air-journal.fr)
Norwegian poursuit son offensive sur le marché scandinave. Pour la saison estivale 2026, elle va renforcer son offre à destination des voyageurs suédois en ouvrant trois nouvelles liaisons internationales au départ des deux principaux aéroports gérés par Swedavia : Stockholm-Arlanda et Göteborg-Landvetter. Les passagers pourront ainsi rejoindre directement Milan, Hambourg et Tirana. (Source : air-journal.fr)
Confirmé à La Tribune par son PDG Hugues Marchessaux, le retrait des trois Airbus A220-300 d’Air Austral s’explique par des problèmes techniques récurrents sur leurs moteurs Pratt & Whitney. « Nous n’avons pas d’autre choix et c’est un choix contraint », a résumé le PDG, évoquant le manque de visibilité sur la disponibilité des moteurs. Entrés en service en 2021, les A220 connaissent en effet de graves difficultés : deux sont actuellement immobilisés, seul le F-OMER reste opérationnel. « Je n’ai pu disposer que de 1,75 avion en moyenne sur l’année », a précisé Hugues Marchessaux. Air Austral travaille avec Airbus et Pratt & Whitney pour négocier leur sortie, financée via une banque canadienne. La compagnie étudie deux options de remplacement : l’Airbus A320 Neo ou le Boeing 737 MAX 8. Compte tenu de sa situation financière, elle privilégiera un leasing opérationnel défiscalisable, l’achat d’avions neufs étant écarté. (Source : zinfos974.com)
Transavia France augmente ses capacités en sièges de 10% cette saison hivernale vers la Tunisie et consolide son partenariat avec l’Office National du Tourisme Tunisien. (Source : air-journal.fr)
Carscassonne – Bruxelles-Charleroi, c’est fini ! Le rideau sur la liaison aérienne opérée par Ryanair tombera à compter du 24 octobre de cette année. C’est ce qu’annonce la compagnie dans un communiqué qui répond ainsi à l’augmentation décidée par l’État français de la taxe de solidarité sur les billets d’avion. Pas forcément une fin en soi, plutôt une suspension pour être exact puisque le trafic devrait reprendre dès le printemps 2026. “On ne peut pas dire que ce soit une bonne nouvelle pour le territoire mais ce n’est pas une catastrophe, tempère le président de Carcassonne Agglo, Régis Banquet. C’est une ligne qui ne connaît pas de souci. Il y a même une bonne fréquentation en saison, elle reviendra donc en 2026. De la même façon sur la fréquentation de l’aéroport en général, on a connu une hausse globale cette année donc l’heure n’est vraiment pas à la panique.” (Source : echo-languedoc.fr)
Le directeur général de Cathay Pacific, Ronald Lam, a laissé entendre, lors de la conférence Routes World 2025 qui se tient à Hong Kong, qu’une commande majeure d’avions est actuellement à l’étude afin de soutenir la croissance du groupe au‑delà de 2030. Cathay Pacific exploite aujourd’hui une flotte de plus de 180 avions, incluant des Airbus (A321neo, A330-300, A350-900, A350-1000) et des Boeing avec les 777-300 ou les 747 cargo. Outre donc les 35 777X, elle attend encore 30 A330-900 et 6 A350F. Cette démarche s’inscrit dans la volonté de Cathay Pacific de consolider son rôle de hub asiatique en pleine concurrence régionale avec Singapore Airlines, Korean Air et les majors chinoises. Le pari de l’après‑2030 vise aussi à accompagner les prévisions de croissance du trafic aérien en Asie‑Pacifique, dont l’Association internationale du transport aérien (IATA) prévoit qu’il représentera plus de la moitié de la demande mondiale de passagers d’ici 2040. (Source : air-journal.fr)
L’activité de l’aéroport de Nîmes accuse une baisse de 41 % de l’aviation d’affaires entre 2023 et 2024. Une tendance qui ne va pas en s’améliorant. Ce lundi, en conseil communautaire, le vice-président chargé du développement économique, Olivier Fabregoul, a fait état d’une baisse de 41 % des passagers en 2024 de l’aviation d’affaire, soit 1 269 passagers. La tendance de la baisse de l’aviation d’affaire ne risque pas de s’inverser tout de suite… En août 2025, la baisse est de 30 % par rapport à 2024. « Il faut relativiser, ce n’est pas l’essentiel de l’activité de l’aéroport », rassure Olivier Fabregoul. Même si cette activité est particulièrement rentable. La cause de cette baisse est peut-être à regarder du côté des taxes gouvernementales.Alors cette taxe est-elle la seule cause de l’effondrement de l’aviation d’affaires ? La prise de conscience du dérèglement climatique de l’opinion a-t-elle aussi eu un impact sur l’utilisation des jets privés par les grosses fortunes ? Mais aussi, le développement d’affaires est-il toujours une priorité pour Nîmes métropole et son délégataire ? (Source : objectifgard.com)
La lutte contre le réchauffement climatique passe par une réduction drastique des émissions de CO2, et parmi les secteurs les plus polluants, l’aviation figure en bonne place. En Suisse, où les habitudes de vol sont bien plus ancrées que dans la plupart des pays voisins, la question des voyages fréquents en avion devient de plus en plus pertinente. Le conseiller national Christophe Clivaz, membre des Verts, propose une taxe progressive pour inciter à limiter ces déplacements excessifs. Cette initiative viserait les voyageurs fréquents, ceux qui contribuent disproportionnellement à l’empreinte carbone du pays, et s’inscrit dans une volonté de responsabiliser les citoyens face aux enjeux climatiques. (Source : econostrum.info)
Latécoère, fournisseur de composants à Airbus et Boeing, a renoué avec la rentabilité opérationnelle au premier semestre 2025, malgré un contexte toujours marqué par des tensions sur la chaîne d’approvisionnement. Le groupe français a dégagé une marge brute d’exploitation de 5,9% entre janvier et juin, contre une marge négative de 0,5% un an plus tôt. Dans le même temps, la perte nette a nettement reculé, s’établissant à 6,8 millions d’euros, contre près de 50 millions au premier semestre 2024. Le chiffre d’affaires progresse, lui, de 6,4%, à 375 millions d’euros. La dette du groupe poursuit également sa décrue, atteignant 182 millions d’euros fin juin, contre 201 millions un an plus tôt. (Source : air-journal.fr)
StarFlight, un fournisseur d’équipements aéronautiques australien, a commandé trois hélicoptères H145 pour assurer des services d’urgence héliportés aux services d’ambulance et de police de Tasmanie. (Source : abcbourse.com)
Après une première intrusion de drones non identifiés au-dessus de l’aéroport de Copenhague lundi, quatre nouveaux aéroports danois ont encore été survolés par le même type d’engins volants dans la nuit de mercredi à jeudi. Au total, quatre vols ont été perturbés dont deux avions SAS, un vol Norwegian et un vol KLM. Selon Flightradar, un vol en provenance d’Amsterdam à destination de l’aéroport d’Aalborg a été dérouté vers l’aéroport de Billund. Le survol de drones au Danemark est l’œuvre d’un « acteur professionnel » et constitue une « menace systématique », a estimé jeudi le ministre de la Défense, Troels Lund Poulsen. Il n’a cependant pas été en mesure de dire qui était à l’origine de ces survols qu’il a qualifiés de « menace hybride ». (Source : lefigaro.fr)
La famille d’une des victimes de la collision mortelle du 29 janvier entre un avion régional d’American Airlines et un hélicoptère de l’armée américaine qui a tué 67 personnes près de l’aéroport national Ronald Reagan de Washington a poursuivi la compagnie aérienne, sa filiale et le gouvernement américain mercredi. La plainte déposée devant le tribunal de district de Washington cite également PSA Airlines, qui assurait le vol, et affirme que les compagnies aériennes ont "manipulé et abusé" du système de taux d’arrivée à l’aéroport de Washington "pour forcer un plus grand nombre d’arrivées par heure à l’aéroport, alors qu’elles savaient que cela limitait sérieusement les marges de sécurité". (Source : boursorama.com)
Ce jeudi, la police norvégienne a annoncé avoir saisi la veille un drone opéré par un homme d’origine étrangère près de l’aéroport international d’Oslo, dans un contexte de multiplication des incidents de ce genre en Scandinavie. Âgé d’une cinquantaine d’années, l’homme faisait voler son drone dans une zone interdite sans que cela ait d’impact sur le trafic aérien, a indiqué à l’AFP Lisa Mari Løkke, cheffe de la section des poursuites du district de police régionale. Il n’a pas été arrêté mais sera entendu par la police, a-t-elle précisé, sans vouloir préciser sa nationalité exacte. « Hier vers 21H00, la police a été informée qu’un drone avait pénétré dans la zone d’interdiction de survol de l’aéroport d’Oslo », a expliqué Lisa Mari Løkke. « Quand on s’est rendu sur place, on a trouvé un homme d’une cinquantaine d’années qui pilotait le drone », a-t-elle dit, en ajoutant que la police avait alors fait atterrir et saisi l’engin. (Source : lefigaro.fr)
Fabrice Toledano, directeur Marketing et Commercial de Trenitalia France, fait le point sur la stratégie de la compagnie ferroviaire en France. (Source : voyages-d-affaires.com)