Une famille britannique est accusée d’avoir tenté de prendre un vol easyJet entre Malaga et Londres-Gatwick avec une grand-mère de 89 ans déjà décédée, provoquant la stupéfaction des passagers et un retard de près de douze heures. La low‑cost affirme toutefois que la passagère était vivante à l’embarquement, munie d’un certificat médical, et qu’elle est décédée à bord peu avant le décollage. (Source : air-journal.fr)
Aer Lingus, filiale d’IAG, fait face à une panne coûteuse après qu’un de ses Airbus A321XLR a subi de lourds dommages lors d’un atterrissage particulièrement dur à l’aéroport de Dublin. L’appareil pourrait rester immobilisé plusieurs semaines. D’après les données recueillies après le vol, le choc au moment du contact aurait atteint environ 3,3 G, soit plus du double de la force enregistrée lors d’un atterrissage normal. En comparaison, un atterrissage commercial standard se situe entre 1,1 et 1,4 G, et la plupart des avions sont conçus pour supporter un maximum de 2 G sans dommage structurel. Une force aussi élevée est automatiquement classée comme « sévère » par les procédures aéronautiques. Elle déclenche une inspection approfondie obligatoire de la cellule et du train d’atterrissage, comme l’exige la réglementation de l’EASA. (Source : air-journal.fr)
Un avion d’Air France reliant Paris à Ajaccio a été dérouté samedi et s’est posé à Lyon à la suite d’un « problème technique » , a annoncé, dimanche 21 décembre, la compagnie. « L’équipage du vol AF 7562 du 20 décembre 2025 reliant l’aéroport de Paris-Orly à Ajaccio a décidé de se dérouter vers l’aéroport de Lyon après trente-sept minutes de vol en raison d’un problème technique » et « en application du principe de précaution », a déclaré Air France à l’Agence France-Presse (AFP), confirmant des informations du journal Corse-Matin. Il s’agit d’un « pompage moteur » – lorsque des bouchons d’air se forment au sein du moteur et créent des vibrations obligeant l’équipage à couper le moteur –, a indiqué Air France. « Les pompages moteur sont des événements connus et maîtrisés. Les équipages sont formés et régulièrement entraînés à la gestion de ce type d’événement », a souligné la compagnie. « L’atterrissage s’est passé normalement sur un seul moteur », ajoute l’expert. « Voler sur un moteur, ce n’est pas une situation normale », mais « ce sont des choses qui arrivent dans le monde du transport aérien ». « L’aile n’était pas en feu, le moteur n’était pas en feu, il n’y a pas eu d’alarme incendie. Mais je ne peux pas exclure que, effectivement, il y ait eu quelques flammes au niveau de la tuyère qui se sont contenues dans le moteur et qui ne durent qu’une à deux secondes », analyse-t-il. Air France regrette les désagréments liés à cette situation et rappelle que la sécurité de ses clients et de ses équipages est son impératif absolu », conclut-elle. (Source : lemonde.fr)
Corse matin : Incident sur le vol Paris-Ajaccio : une dizaine de passagers déposent plainte et demandent des comptes à Air France - Charlotte Cesari, avocate au barreau de Marseille, présente à bord de ce vol qui accueillait 173 passagers, indique qu’elle va déposer, ce lundi 22 décembre, une plainte pénale pour "mise en danger de la vie d’autrui" à l’encontre de la compagnie aérienne, au nom d’une dizaine de passagers. "Air France doit rendre des comptes, considère Me Charlotte Cesari, qui voyageait au côté de son père. Ce qui s’est passé est très grave. La compagnie a une obligation de sécurité. Le préjudice moral est considérable pour les passagers qui, pour certains, n’oseront plus remonter dans un avion après avoir vécu un tel évènement. Nous souhaitons qu’une enquête éclaircisse les circonstances de cet incident et détermine les responsabilités." "Malgré le caractère particulièrement angoissant de cet évènement, nous sommes remontés dans un autre avion, à Lyon, sans aucune information officielle de la part d’Air France sur ce qu’il s’était passé, appuie l’avocate. Aucune prise de contact n’a eu lieu ce dimanche avec les passagers du vol, comme s’il ne s’était rien passé. C’est assez déroutant, notamment pour une compagnie qui assure une liaison de service public."
Si les travaux ne débutent pas dès la semaine prochaine, les avions ne pourraient plus atterrir sur la piste de l’aéroport de La Rochelle – île de Ré. Les pistes de l’aéroport ne respectent pas les règles de sécurité aérienne imposant des zones dégagées autour du tarmac. Un programme de travaux a été préparé par le syndicat mixte gérant l’aéroport en accord avec les propriétaires prévoit l’abattage de 129 arbres (sur plus de 1 500) et l’élagage de près de 400 autres, pour respecter les hauteurs réglementaires. Les travaux s’inscrivent dans une démarche de préservation de la biodiversité. En trois mots : éviter, réduire, compenser. (Source : actu.fr)
Des passagers d’un vol Air Congo ont été contraints de sauter depuis la porte avant d’un Boeing 737‑800 à l’aéroport de Kindu, en République démocratique du Congo, faute d’escalier disponible pour le débarquement. L’incident, survenu après plusieurs heures d’attente à bord, ne fait officiellement état d’aucun blessé mais soulève de sérieuses questions sur la sécurité au sol et les infrastructures aéroportuaires du pays. (Source : air-journal.fr)
Deux incidents, l’un en vol pour Air France, l’autre au sol pour Ryanair, alimentent une séquence médiatique déjà tendue pour le transport aérien, mis en cause ces dernières semaines par une série de problèmes techniques, notamment pour des A320 cloués au sol pour corriger un bug logiciel. (Source : air-journal.fr)