Après l’abandon de son transfert à Notre-Dame-des-Landes, la situation de la plateforme aéroportuaire nantaise reste compliquée. La juridiction a rendu ses observations sur cet épineux sujet. (Source : lefigaro.fr)

Après l’abandon de son transfert à Notre-Dame-des-Landes, la situation de la plateforme aéroportuaire nantaise reste compliquée. La juridiction a rendu ses observations sur cet épineux sujet. (Source : lefigaro.fr)
Nantes-Atlantique se retrouve au cœur d’un enchevêtrement de contentieux et d’arbitrages techniques, huit ans après l’abandon du projet de transfert à Notre-Dame-des-Landes. Entre plateforme saturée, couvre-feu contesté et bataille indemnitaire avec Vinci, le hub nantais cristallise désormais les tensions locales autour de la régulation du trafic aérien et des nuisances sonores. (Source : air-journal.fr)
Avec un bénéfice net record de 15,2 millions d’euros en 2025, Corsair tourne la page d’une décennie de turbulences. Pourtant, le redressement financier s’opère sur fond d’incertitudes, alors que Bruxelles poursuit son enquête sur les aides publiques accordées lors de la restructuration de la compagnie. (Source : air-journal.fr)
Dans un contexte de fortes tensions autour de son avenir institutionnel, Aerolíneas Argentinas engage un ambitieux plan de renouvellement et de modernisation de sa flotte, marqué par l’acquisition de 18 avions de dernière génération, tous financés sur fonds propres. La compagnie aérienne argentine a officialisé fin novembre l’arrivée prochaine de 14 nouveaux Boeing 737 MAX et de 4 Airbus A330neo dans le cadre d’un vaste plan d’investissement. Le renouvellement porte principalement sur les monocouloirs Boeing 737 MAX (incluant huit en version MAX 10, quatre MAX 9 et deux MAX 8) dont les livraisons s’étaleront entre 2026 et 2029, ainsi que sur quatre Airbus A330neo destinés à renforcer l’offre long-courrier sur les destinations internationales stratégiques. (Source : air-journal.fr)
C’est un changement colossal pour les usagers des vols Paris-Province. Alors qu’Air France met fin à ses célèbres navettes, Transavia prend la relève à Orly. (Source : lechotouristique.com)
Ryanair a transporté 13,8 millions de passagers en novembre 2025, soit une hausse d’environ 6% sur un an, avec un coefficient de remplissage stable à 92%, confirmant un trafic solide malgré la basse saison hivernale. Sur douze mois glissants, le groupe dépasse désormais les 205 millions de passagers, tout en maintenant un taux de remplissage élevé autour de 94%, ce qui illustre la résilience de la demande sur le segment low-cost européen. (Source : air-journal.fr)
Le conseil municipal d’Antibes (Alpes-Maritimes) a voté à l’unanimité une motion pour réclamer, à terme, la fin du survol du centre-ville des avions en phase d’atterrissage pour l’aéroport de Nice. « La population attend une solution rapide et durable réduisant significativement l’exposition au bruit aérien, notamment pour les vols en fin de soirée », a exposé le maire Les Républicains Jean Leonetti. (Source : lefigaro.fr)
Le tribunal de commerce d’Evry a prononcé lundi la liquidation judiciaire de la start-up française Global Bioenergies spécialisée dans les procédés de carburants d’aviation d’origine non fossile (SAF), a annoncé la société sur son site internet. "Aux termes d’un jugement rendu ce jour, aucune des deux offres n’a été retenue par le Tribunal, la première offre en raison de l’absence de reprise de salariés et la seconde au motif qu’elle ne remplissait pas les conditions permettant une reprise satisfaisante", a indiqué l’entreprise. "Le Tribunal de Commerce d’Evry a ainsi décidé de convertir le redressement judiciaire en liquidation judiciaire et a désigné" un liquidateur judiciaire, qui aura notamment pour "mission de céder les actifs de la Société et en particulier son portefeuille de brevets", précise-t-elle. (Source : connaissancedesenergies.org)
Le compte à rebours a commencé. La législation européenne impose aux compagnies aériennes d’incorporer une part de biocarburants et, bientôt, de carburants de synthèse pour décarboner le transport aérien. Mais les pétroliers, qui ont converti certaines raffineries pour pouvoir fabriquer des biocarburants, rechignent à investir dans les carburants de synthèse, jugés trop chers et trop risqués. Pour l’instant, les capacités de production de carburants de synthèse sont quasiment inexistantes. Seuls quelques projets pilotes existent, mais aucune usine n’est capable de les fabriquer en grande quantité. Et ce, alors que la réglementation européenne imposera un taux d’incorporation minimal de 1,7 % d’« e-SAF » à compter de 2030, de 5 % en 2035, de 10 % en 2040 et de 35 % en 2050. « Sachant qu’il faut environ trois ans pour construire une raffinerie et que nous sommes à quatre ans de l’échéance réglementaire, il reste en gros un an pour lancer la construction des premiers sites de production, si l’on veut disposer des quantités nécessaires en 2030 », souligne Filip Cornelis, directeur de la DG Move, chargé du transport aérien, au sein de la Commission européenne. « Nous devons donc vraiment franchir cette étape dans l’année à venir et voir se lancer au moins une douzaine de projets sur la quarantaine actuellement à l’étude », ajoute-t-il. Les biocarburants coûtent actuellement entre deux et trois fois plus chers que les carburants traditionnels, à partir d’énergie fossile, selon l’Ufip, qui représente les pétroliers. Tandis que les carburants de synthèse coûtent entre huit et dix fois plus chers que les carburants issus du pétrole. « Les compagnies aériennes nous disent que c’est beaucoup trop cher », poursuit la même source industrielle. « Ils ont un problème de compétitivité par rapport aux compagnies aériennes qui ont leur hub en dehors de l’Europe et qui ne paient pas les SAF [carburants durables, NDLR] sur la deuxième partie du voyage. » Si la Commission européenne ne modifie pas ses règles, ou ne parvient pas à subventionner le secteur, « il y aura un refus d’obstacle de la part des compagnies aériennes », parie-t-il. (Source : lesechos.fr)
Après un problème rencontré sur un logiciel, l’avionneur européen doit maintenant faire face à un défaut de production sur ses A320. Plusieurs dizaines d’appareils seraient concernés, menaçant son objectif de livrer 820 avions cette année. Explications. (Source : ladepeche.fr)
Face à un épisode de givrage sévère observé au Kazakhstan, Airbus renforce les procédures hivernales pour une partie de la famille A320neo motorisée par les moteurs Pratt & Whitney PW1100G. Les décollages sont désormais restreints lorsque brouillard givrant et visibilité inférieure à 150 mètres se conjuguent, une situation rare mais critique pour les opérations, en particulier dans les aéroports soumis à des hivers rigoureux. Selon les nouvelles consignes, les A320neo, A321neo et A321LR équipés de PW1100G ne peuvent plus décoller lorsque du brouillard givrant est présent et que la visibilité est inférieure à 150 mètres, soit environ 490 pieds. Airbus a également mis à jour les procédures d’utilisation des moteurs au sol en conditions givrantes afin de limiter la formation de glace sur les aubes de soufflante et d’éviter une perte de performance au moment crucial du décollage. (Source : air-journal.fr)
La Direction générale de l’aviation civile regrette le blocage du mouvement de grève des contrôleurs aériens du centre de Tahiti-Faaa, initié par la section locale de la CGT depuis le 19 novembre. Ce mouvement persistant a des impacts sur les compagnies aériennes et les usagers, malgré les efforts de conciliation menés par la direction. (Source : tahiti-infos.com)
Lors de la présentation du livre blanc « Connecter l’Europe : habitudes et attentes du voyageur en train », Trainline est revenu sur la place charnière de la France dans la libéralisation du rail. (Source : lechotouristique.com)