Dans les bureaux des directions financières des compagnies aériennes du monde entier, les chiffres parlent d’eux-mêmes. Les revenus ancillaires s’apprêtent à atteindre un montant record de 157 milliards de dollars en 2025, selon les projections publiées par IdeaWorksCompany, cabinet de conseil reconnu comme la référence mondiale en matière d’analyse des revenus ancillaires aériens. Cette performance marque une progression de 8,6 milliards par rapport aux 148,4 milliards enregistrés en 2024 et représente plus du double des 67,4 milliards générés en 2016. Cette évolution spectaculaire témoigne d’une transformation profonde et durable du modèle économique du transport aérien à l’échelle planétaire. (Source : deplacementspros.com)

Une étude du cabinet Asterès comparant les coûts d’exploitation du transport aérien en France avec de nombreux autres pays montre l’impact négatif des politiques publiques sur le trafic. Opérer un vol en France coûte plus cher que dans l’ensemble des grands pays européens analysés – à l’exception des Pays-Bas (où les redevances à l’aéroport de Schiphol ont augmenté de plus de 40 % pour 2025) pour le court et moyen-courrier, et du Royaume-Uni pour le long-courrier aller-retour avec escale –, constate l’étude demandée par la Fnam. (Source : lepoint.fr)

Les députés ont adopté mercredi une disposition exonérant de taxe sur le transport aérien de passagers les résidents ultramarins, lorsqu’ils voyagent vers l’Hexagone, contre l’avis du gouvernement qui estime la mesure contraire au droit européen et à la Constitution. Porté par plusieurs élus socialistes ultramarins, l’amendement a été approuvé par 83 voix contre 62 lors de l’examen du projet de budget de l’Etat en première lecture. (Source : bfmtv.com)

Airports Council International World dévoile les principales tendances qui façonneront le transport aérien en 2026, avec la publication de sa plus récente enquête ASQ Global Traveller Survey. Les données montrent une demande croissante pour des expériences aéroportuaires centrées sur l’humain, personnalisées et mémorables. Cela implique d’aller au-delà des interactions transactionnelles afin de créer des expériences qui résonnent avec les émotions, les valeurs et le bien-être des passagers — réduisant l’anxiété, renforçant la confiance et améliorant le confort tout au long du parcours. La sixième édition du rapport phare d’ACI World s’appuie sur les perspectives de 4 125 voyageurs dans 30 pays. Elle offre une référence mondiale pour comprendre les changements à long terme dans les attitudes et comportements des voyageurs — aidant les aéroports à anticiper et à répondre à l’évolution des attentes. (Source : professionvoyages.com)

Tobias Markert, directeur général de l’aéroport de Bâle-Mulhouse et Renaud Paubelle, directeur général adjoint décryptent les défis qui redessinent le transport aérien et le rôle de leur plateforme. (Source : lemensuel.lasemaine.fr)

Quelques mois après avoir inauguré la nouvelle entrée du terminal Billi dédié aux vols low-cost, l’aéroport de Bordeaux change de nom et devient Bordeaux Aéroport. L’annonce a été faite ce mercredi 19 novembre par le directoire qui affiche sa volonté de « faire émerger un modèle aéroportuaire plus sobre, plus utile et plus ancré dans son territoire ». L’adoption de cette nouvelle « identité de marque » s’inscrit dans le plan Ressources 27, lancé en 2022, qui inclut notamment l’aménagement de nouveaux équipements. Un nouveau bâtiment devrait ainsi voir le jour entre le hall A et le hall B d’ici à 2028, pour accueillir une plus grande zone d’attente. Des travaux de rénovation des infrastructures existantes sont également à prévoir. Au total, 130 millions d’euros doivent être investis dans les travaux qui débuteront en 2026. (Source : sudouest.fr)

Les élus de l’aéroport de Pierrefonds débattront ce soir, en conseil syndical, du rapport de la Chambre régionale des comptes. Entre chute du nombre de passagers, gestion hasardeuse et désintérêt des élus, elle identifie les erreurs qui ont conduit l’aéroport dans une « impasse financière ». (Source : lequotidien.re)

Avec 135 704 voyageurs accueillis en octobre 2025, l’aéroport Guadeloupe Maryse Condé enregistre une croissance de +4,4 % par rapport à l’année précédente, portant le cumul annuel à 1 847 159 voyageurs, soit une progression de 3,1 %.. Une reprise tirée notamment par les liaisons caraïbes et nord-américaines. (Source : franceantilles.fr)

Les Chambres de Commerce et d’Industrie de France deviennent actionnaires majoritaires de Sealar (Société d’Exploitation et d’Action Locale pour les Aéroports Régionaux), à hauteur de 4 millions d’euros. Cette montée au capital permet à un collectif de 50 CCI, représentant plus de 80 départements, de détenir 46,50 % de la société. Créée en 2019 par les CCI d’Aix-Marseille-Provence et du Finistère, la structure gère sept aéroports régionaux et réalise 13 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2025. (Source : bretagne-economique.com)

Amsterdam Schiphol envisage de réserver environ 1 milliard d’euros (1,15 milliard de dollars) pour acquérir des actifs aéroportuaires à l’étranger d’ici 2035, a indiqué vendredi un porte-parole de l’entreprise, confirmant ainsi une information parue dans le quotidien Financieele Dagblad. L’opérateur aéroportuaire, qui détient déjà des participations dans d’autres aéroports aux Pays-Bas ainsi que dans deux aéroports en Australie, cherche à diversifier ses sources de revenus, a précisé le porte-parole. (Source : zonebourse.com)

Dans un communiqué publié ce jour, l’Association pour le Désenclavement Aérien de Rennes-Bretagne appelle les futurs élus à se saisir du développement de l’aéroport de Rennes-Bretagne. Selon l’association, l’infrastructure pourrait devenir un levier clé pour l’économie locale, les universités, le tourisme et la connectivité internationale. (Source : rennes-scope.com)

Le groupe Lufthansa a indiqué avoir envoyé, avant la date limite, une lettre d’intention à Parpública, la société holding d’État portugais qui supervise la procédure. Ce dépôt formalise l’intérêt déjà manifesté depuis plusieurs mois par Lufthansa, en concurrence directe avec Air France-KLM et le groupe IAG (British Airways, Iberia, Vueling, Aer Lingus), eux aussi en lice pour devenir partenaires du transporteur lusitanien. Dans son communiqué, Lufthansa explique que «  l’objectif du processus est d’établir un partenariat à long terme afin d’assurer l’avenir prospère de TAP en tant que compagnie aérienne nationale du Portugal  ». Cette alliance permettrait de renforcer le rôle de Lisbonne comme hub atlantique du groupe, en optimisant la connectivité entre l’Europe et ses destinations long-courriers stratégiques en Amérique du Sud, en Afrique et en Amérique du Nord. (Source : air-journal.fr)

Après près de six ans d’interruption, Air India a officialisé la reprise de ses vols directs entre New Delhi et Shanghai dès février 2026, tandis que la compagnie intensifie ses démarches diplomatiques pour obtenir un couloir aérien plus direct au-dessus de la Chine. Mais, au-delà de la reprise des vols, Air India se trouve confrontée à des défis logistiques majeurs. L’interdiction de survol du Pakistan oblige les compagnies indiennes à rallonger leurs routes vers l’Asie orientale, l’Amérique du Nord et l’Europe, gonflant significativement leurs coûts en carburant et réduisant leur compétitivité par rapport à d’autres grands transporteurs asiatiques. Selon Reuters, Air India sollicite actuellement le gouvernement indien afin de plaider auprès des autorités chinoises pour une autorisation exceptionnelle d’utiliser le couloir aérien militaire du Xinjiang. Ce corridor raccourcirait considérablement les routes vers la Chine et l’Amérique du Nord, mais traverse une zone sensible sous contrôle du commandement militaire occidental chinois, dotée d’importantes capacités de défense et soumise à des restrictions de survol strictes. (Source : air-journal.fr)

Emirates a annoncé au Dubai Airshow 2025 déployer la connectivité Starlink à grande échelle sur une flotte internationale de gros-porteurs. Elle équipera au total 232 appareils — Boeing 777 et Airbus A380 — du service Wi-Fi ultra-rapide de SpaceX d’ici mi-2027. Une révolution dans le confort numérique des passagers long-courriers. Le Wi-Fi Starlink sera offert sans frais à tous les passagers, quelle que soit leur classe de voyage. L’accès se fera en un clic, sans nécessité d’inscription au programme de fidélité Skywards. (Source : air-journal.fr)

JetBlue étoffe son réseau transatlantique avec le lancement en 2026 de liaisons quotidiennes saisonnières entre Boston et deux destinations européennes emblématiques : Barcelone et Milan. Cette initiative s’inscrit dans la stratégie du transporteur d’accroître sa présence au départ de la Nouvelle-Angleterre, au nord-est des Etats-unis, grâce à un produit différenciant sur le marché USA-Europe. (Source : air-journal.fr)

Qantas franchit une nouvelle étape dans le renouvellement de sa flotte avec l’arrivée le 17 novembre de l’Airbus A321XLR à l’aéroport de Brisbane. Ce nouvel appareil relie désormais Brisbane à Sydney, marquant une avancée technologique majeure dans l’aviation domestique australienne. (Source : air-journal.fr)

Vingt-cinq ans après sa création, l’alliance SkyTeam a célébré son anniversaire à Paris en dévoilant deux axes stratégiques forts : l’extension de son réseau de salons de marque, avec une ouverture prévue à Francfort en 2026, et l’accélération de ses partenariats air-rail en Europe avec Eurostar et Trenitalia. (Source : air-journal.fr)

Le départ d’Air France de l’aéroport d’Orly, annoncé il y a deux ans, approche. Et les compagnies low cost sont dans les starting blocks pour récupérer les passagers affaires des "navettes" sur les lignes intérieures, même moins nombreux qu’avant. Les liaisons entre Paris et Nice, Toulouse et Marseille, malgré un recul marqué depuis le Covid-19, restent les plus fréquentées des lignes intérieures françaises. (Source : boursorama.com)

Le groupe IAG, maison mère de British Airways et Iberia, a officialisé vendredi son intérêt pour la compagnie TAP Air Portugal, dans la privatisation actuellement réalisée par le gouvernement portugais, rejoignant Air France-KLM et Lufthansa, qui détient Swiss, dans la compétition. "IAG confirme avoir soumis une déclaration d’intérêt à Parpública (l’agence portugaise de gestion des participations de l’État, ndlr), conformément au processus gouvernemental de privatisation partielle de TAP", a affirmé un porte-parole dans une déclaration. "Plusieurs conditions devront cependant être remplies avant qu’IAG puisse proposer un investissement", a-t-il ajouté, sans autre précision. (Source : zonebourse.com)

En l’espace de quelques jours, deux compagnies aériennes régionales britanniques ont mis la clé sous la porte : Blue Island et Eastern Airways. A chaque fois, les conséquences économiques de la crise de 2020 ont été avancées pour expliquer ces faillites. (Source : aerobuzz.fr)

Eric Koury pourrait bientôt revenir dans le secteur aérien. Selon TourMag, l’ancien dirigeant d’Air Antilles serait lié à un projet de création de compagnie aérienne dédiée au transport de passagers et de fret, malgré ses ennuis avec la justice. (Source : rci.fm)

La compagnie low-cost du groupe Air France-KLM poursuit une croissance record pour la saison hivernale 2025-2026, ayant ouvert plus de 30 nouvelles lignes. Paris-Orly s’impose comme l’un des hubs majeurs, mais de nombreux aéroports en régions voient également leur offre s’élargir, traduisant une attention particulière à la demande locale et à la dynamique régionale. (Source : air-journal.fr)

En annonçant l’ouverture au printemps 2026 de trois nouvelles lignes entre la France et l’Angleterre, Nice-Birmingham, Paris CDG-Londres Stansted et Montpellier-Manchester, easyJet donne un nouveau coup d’accélérateur sur la connectivité franco-britannique. (Source : air-journal.fr)

Le Grand Conseil a adopté une motion pour explorer le transport de biens par ces appareils, dont l’usage pourrait être sanitaire s’ils réduisent les vols d’hélicoptères. (Source : tdg.ch)

Les eVTOLs, ces aéronefs électriques à décollage et atterrissage verticaux, ne sont plus un simple concept. En Europe, la réglementation des eVTOLs en Europe s’organise autour de l’EASA, qui a créé une catégorie spécifique de « VTOL capable aircraft » avec une norme européenne pour les aéronefs eVTOL (SC-VTOL) et des séries de « Means of Compliance » régulièrement mises à jour. Cette architecture réglementaire encadre à la fois la conception, la certification, l’exploitation commerciale et l’intégration dans l’espace aérien bas, via notamment le paquet U-space (règlement (UE) 2021/664 et textes associés). Pourtant, aucun eVTOL de transport de passagers n’est encore certifié en Europe fin 2025, alors qu’en Chine, l’EHang EH216-S dispose déjà d’un certificat de type et de production pour des opérations commerciales. Les premiers services européens devraient apparaître au mieux entre 2026 et 2030, sous forme de lignes pilotes très encadrées. Entre ambitions industrielles, prudence réglementaire et concurrence américaine et chinoise, la politique européenne pour la mobilité aérienne urbaine cherche un équilibre délicat entre innovation et sécurité. (Source : helicoland.com)

La Nigeria Civil Aviation Authority a infligé une amende de 5 millions de naira, soit environ 5 800 USD, à Qatar Airways pour avoir enfreint les règles nationales de protection des consommateurs et négligé de répondre aux injonctions des autorités aéronautiques. Cette décision s’inscrit dans une stratégie de renforcement des contrôles entamée en 2024, alors que le régulateur nigérian entend rappeler son attachement « à la défense des droits de tous les passagers sur son territoire ». Dans un communiqué officiel, Michael Achimugu, directeur des affaires publiques et de la protection des consommateurs au sein de la NCAA, a précisé que « Qatar Airways avait été alertée à plusieurs reprises au sujet de ses retards de réponse à des requêtes obligatoires ». L’incident qui a motivé l’amende s’est produit en septembre : un passager nigérian et son épouse ont été retenus plus de 18 heures à Doha après qu’un membre d’équipage de la compagnie a formulé des accusations d’inconduite durant l’embarquement à Lagos. Selon la NCAA, le passager a dû payer une lourde amende, signer des documents en arabe – dont il ne comprenait pas le contenu – et a finalement été empêché d’embarquer pour son vol vers les États-Unis. Sa femme, présente lors des faits, a dénoncé une expérience « traumatisante à tous égards ». (Source : air-journal.fr)

Le Collectif des citoyens exposés au trafic aérien sont présents tous les samedis matin près de l’aéroport de Nantes Atlantique, jusqu’au 13 décembre 2025.Depuis le 18 octobre 2025, des membres du collectifs sont présents tous les samedis matin au rond-point Clément Ader, à Bouguenais, près de l’aéroport de Nantes Atlantique, et ce jusqu’au 13 décembre 2025. (Source : actu.fr)

L’EASA et l’IATA ont signé un protocole d’accord pour rapprocher le futur « Flight Emissions Label » européen des outils environnementaux d’IATA, notamment EcoHub et le calculateur CO₂ Connect. Objectif : simplifier et harmoniser la collecte des données afin de fournir aux passagers une information fiable et comparable sur les émissions de CO₂ dès la réservation. Mis en place par une réglementation européenne de 2024, le label piloté par l’EASA vise à instaurer un cadre transparent pour les compagnies. Grâce à cette collaboration, les deux organisations cherchent à faciliter l’adhésion des transporteurs et à réduire les charges administratives associées à la production de ces données. (Source : aerobuzz.fr)

En Espagne, on approche du « money time » pour Airbus Helicopters. Le constructeur de Marignane est actuellement en négociations pour la vente de quatre modèles d’hélicoptères (NH90, H175M, H145M et H135M) aux forces armées espagnoles. Soit une centaine d’appareils pour un montant total estimé entre 3,5 et plus de 4 milliards d’euros, confie le patron des ventes mondiales d’Airbus Helicopters, Olivier Michalon, à La Tribune lors d’une interview accordée au salon aéronautique de Dubaï. Si Airbus Helicopters parvient à finaliser d’ici à la fin de l’année ces quatre négociations, qui ont chacune leur vie propre et qui « avancent », tous ces contrats peuvent devenir « un véritable Game changer » pour le bilan commercial 2025 de la filiale hélicoptères d’Airbus, estime-t-il. Si c’était le cas, le constructeur pourrait basculer d’une année commerciale « satisfaisante » à une « très bonne année », précise Olivier Michalon. Airbus Helicopters a enregistré des commandes nettes totalisant 306 unités (9 mois 2024 : 308 unités), bien réparties sur l’ensemble de la gamme de produits. Sur les neufs premiers mois de 2025, Airbus Helicopters a déjà enregistré des commandes nettes totalisant 306 unités (contre 308 unités sur la même période en 2024). (Source : latribune.fr)

Produit par Commercial Aircraft Corporation of China, le C919 est un avion de ligne développé indépendamment par la Chine conformément aux normes internationales de navigabilité et aux droits de propriété intellectuelle indépendants. Jusqu’à présent, un total de 26 avions de ligne C919 ont été livrés, opérant sur plus de 30 routes aériennes et effectuant plus de 2 millions de voyages de passagers depuis leur entrée en exploitation commerciale. (Source : eurasiatimes.org)

Air Astana, a signé un mémorandum d’entente pour l’acquisition de 25 avions fermes et 25 options d’achat de la famille A320neo, comprenant des variantes A320neo, A321neo et surtout A321LR. Les livraisons débuteront en 2031, marquant une nouvelle étape dans la modernisation de la flotte. Selon Airbus, il s’agit de l’engagement le plus important jamais pris par Air Astana, le partenariat avec Airbus s’inscrivant dans la durée et illustrant l’évolution des compagnies d’Asie centrale vers des standards d’excellence mondiaux. (Source : air-journal.fr)

Au Salon de Dubaï, la compagnie IndiaOne Air a signé une lettre d’intention d’achat pour la nouvelle version du DHC-6. Elle pourrait, par la suite, signer une ou plusieurs commandes fermes pour acquérir jusqu’à 10 exemplaires de cet avion. (Source : aerobuzz.fr)

Le National Transportation Safety Board a déclaré jeudi qu’il avait trouvé des preuves de fissures de fatigue dans une pièce clé de l’avion cargo MD-11 d’UPS UPS.N qui s’est écrasé ce mois-ci dans le Kentucky, un indice important sur la cause de l’incident qui a tué 14 personnes. Les experts en sécurité aérienne ont déclaré que la découverte de fissures de fatigue dans une structure de support sur le pylône gauche, qui se connecte à l’aile et au moteur de l’avion, est une découverte importante dans l’enquête sur le crash du 4 novembre à Louisville. Outre les preuves de fissures de fatigue, qui ont précédé l’accident dans la patte de fixation arrière du pylône gauche, le NTSB a également indiqué dans son rapport préliminaire qu’il avait trouvé des zones de rupture par surcharge. En conséquence, un côté des supports du pylône s’est rompu sous l’effet de la fatigue, et lorsqu’il s’est brisé, l’autre côté n’a pas pu supporter la charge supplémentaire. "C’est un indice majeur", a déclaré Anthony Brickhouse, expert américain en sécurité aérienne, à propos des fissures qui, selon lui, se sont développées au cours de plusieurs vols. Selon M. Brickhouse, les enquêteurs doivent déterminer pourquoi la fissure n’a pas été découverte dans le cadre de la maintenance de l’avion, une recherche qui pourrait durer des années. Les enquêteurs américains chargés de la sécurité ont déjà déclaré à l’adresse qu’ils examinaient l’historique de la maintenance de l’avion cargo d’UPS, âgé de 34 ans, qui se trouvait au Texas pour des réparations quelques semaines avant de s’écraser en flammes après le décollage. Cette maintenance avait été effectuée sur un site appartenant à la société ST Engineering de Singapour. Le rapport préliminaire fait référence au crash d’un DC-10 d’American Airlines en mai 1979, qu’il mentionne sous la rubrique "événements similaires" Pendant la rotation au décollage du vol 191 de l’aéroport O’Hare de Chicago, le moteur et le pylône gauches, ainsi que le bord d’attaque de l’aile gauche, se sont détachés de l’avion et sont tombés sur la piste. Le NTSB a trouvé des preuves de fissures de fatigue dans cet incident. (Source : boursorama.com)

L’Indonésie devient le premier pays au monde à déployer massivement des couloirs biométriques mobiles dans ses aéroports internationaux. Cette technologie développée avec Amadeus permet aux voyageurs, à Jakarta et Surabaya, de franchir les frontières sans arrêt ni présentation physique de documents. En partenariat avec Amadeus et la société locale Sinergi Teknoglobal Perkasa, la Direction Générale de l’Immigration indonésienne inaugure trois “Seamless Corridors” biométriques, deux à l’aéroport Soekarno-Hatta de Jakarta et un à Surabaya. Ces couloirs valident automatiquement l’identité des voyageurs par reconnaissance faciale, pendant qu’ils avancent d’un pas fluide, sans avoir à s’arrêter à un poste de contrôle classique, ni à présenter leur passeport. « C’est le fleuron de notre portefeuille de solutions pour des voyages fluides de A à Z, contribuant à éliminer les frictions et les files d’attente aux frontières », souligne Rudy Daniello, vice-président exécutif AirOps chez Amadeus. « Il est désormais possible pour compagnies aériennes, aéroports et gouvernements d’offrir une expérience véritablement fluide et sécurisée, sans contrôle de documents, sans files d’attente ni barrières. » (Source : air-journal.fr)

Brussels Airport a pris la décision radicale d’interrompre toute activité de départ pour la journée du 26 novembre, suite à la forte mobilisation de ses équipes de sécurité et des manutentionnaires, tous appelés à la grève. « Afin de garantir la sécurité de tous, aucun avion ne décollera ce jour-là », précise la direction de l’aéroport, invitant les passagers à ne pas se rendre sur le site. Les compagnies aériennes procèdent actuellement au contact des passagers concernés pour leur proposer des solutions alternatives ou des remboursements gratuits. La compagnie nationale Brussels Airlines souligne que « plus de la moitié des voyageurs ont déjà accepté une modification ou une annulation gratuite ». (Source : air-journal.fr)

Bourse des Vols et Bourse des Voyages dévoilent leur baromètre annuel, une analyse fondée sur plusieurs millions de recherches et réservations. Entre montée en gamme, flexibilité renforcée et soif d’expériences authentiques, les voyageurs français redessinent les tendances 2026. (Source : tourmag.com)

Alors que l’on constate de plus en plus de transfert des passagers de l’avion vers le train à l’intérieur de l’Europe, l’Union Européenne souhaite accélérer cette tendance. Elle va favoriser un grand plan d’investissement dans un réseau de trains à grande vitesse d’ici 2040. Il permettra de relier toutes les grandes capitales européennes sur des temps de trajet variant entre 3 et 6 heures en moyenne selon la distance. (Source : voyages-d-affaires.com)