Lyon-Saint Exupéry annonce, dans un communiqué de presse en date du 1ᵉʳ octobre, avoir obtenu la certification internationale ACA niveau 5, le plus haut niveau de reconnaissance environnementale de l’Airports Council International. Géré par Vinci Airports depuis 2016, il devient ainsi le premier aéroport français de plus de 10 millions de passagers annuels à atteindre le zéro émission nette de carbone sur son périmètre direct d’activités, avec un an d’avance sur son objectif initial. (Source : lechotouristique.com)

La plateforme toulousaine vient de décrocher la certification ACA niveau 4 +. Cette distinction reconnaît les importants efforts déployés pour réduire ses émissions de carbone. (Source : ladepeche.fr)

Ryanair hausse le ton contre les défaillances du contrôle aérien en Europe. Selon la compagnie, plus de 10 millions de ses passagers ont subi, depuis janvier, des retards directement liés à la mauvaise gestion de l’ATC français, en hausse de 66% par rapport à 2024. La low-cost accuse Bruxelles d’inaction et appelle à une réforme urgente. (Source : air-journal.fr)

KLM Cityhopper, filiale de KLM, a accueilli à l’aéroport d’Amsterdam-Schiphol son 25e Embraer E195-E2, après avoir passé avec succès les tests finaux et inspections techniques. L’appareil entrera en service commercial d’ici la fin septembre, marquant une nouvelle étape dans la modernisation de la flotte régionale de la compagnie néerlandaise. (Source : air-journal.fr)

Norwegian va considérablement renforcer ses opérations à Billund, le plus grand aéroport régional du Danemark, en passant de cinq à quinze liaisons directes vers des destinations européennes populaires, dont vers Nice. (Source : air-journal.fr)

La compagnie croate a réceptionné son premier Airbus A220-100. Elle devient le cinquième transporteur mondial à exploiter la plus petite version de la famille A220, symbole de modernisation pour sa flotte régionale et européenne. (Source : air-journal.fr)

Douze ans après son lancement, La Compagnie, transporteur aérien français proposant des vols 100% classe affaires vers New York depuis Paris, Nice et Milan, s’apprête à changer d’ère, en accueillant un troisième, puis un quatrième avion. De quoi se sentir pousser des ailes. (Source : lechotouristique.com)

Plus d’un an après le lancement de sa liaison directe Paris–Perth, Qantas, la compagnie aérienne nationale australienne, continue d’exploiter cette route historique, inaugurée en juillet 2024 à l’occasion des Jeux Olympiques de Paris. Opéré en Boeing 787‑9 Dreamliner, ce vol constitue actuellement la seule liaison commerciale sans escale entre l’Australie et l’Europe continentale. Il détient également le record du plus long vol direct vers la France, reliant les deux continents en 17h20 sur 14.264 km. Les vols sont assurés sous les numéros QF33 (Perth–Paris) et QF34 (Paris–Perth) avec un Boeing 787 équipé de 236 sièges seulement. Selon Qantas, le gain de temps de temps est de près de trois heures sur les itinéraires classiques. (Source : aerobuzz.fr)

La Fédération des comités et syndicats de quartier de Pessac conteste la proposition du préfet visant à limiter les vols de nuit de l’aéroport de Bordeaux-Mérignac aux seuls avions de nouvelle génération, réputés plus silencieux. (Source : lefigaro.fr)

Le rapport cosigné par le World Travel & Tourism Council (WTTC) et Omran Group constate qu’en 2025, les émissions de gaz à effets de serre de l’industrie du voyage demeure inférieures de 9,3% à celle de 2019, en dépit d’une activité désormais supérieure à celle qui a précédé la pandémie et d’une contribution accrue au PIB mondial (+6%). On estime que pour chaque « unité économique » dans le domaine du tourisme et du voyage, les émissions ont chuté de 15%. Nos données montrent que 40% de nos émissions proviennent du transport et 19 % de l’électricité achetée. Nous savons aussi que 57,4% de nos émissions se situent dans notre chaîne d’approvisionnement. » « Nous devons redoubler d’efforts sur les carburants durables, les énergies renouvelables et les infrastructures à faible émission de carbone », ajoute Gloria Guevara, « et des partenariats public-privé efficaces sont essentiels pour y parvenir. » Le secteur du voyage et du tourisme fait ainsi figure de bon élève en réduisant sa contribution au volume global d’émissions mais représente néanmoins une part importante de ce total : selon le rapport, 7,3% des émissions sont désormais à mettre à l’actif de ce secteur, c’était 8,3% en 2019. (Source : tom.travel)

« Cela fait plusieurs décennies que nous utilisons de l’IA traditionnelle pour automatiser certaines tâches ou pour améliorer notre capacité à optimiser la conception et l’ingénierie de nos appareils », souligne Fabrice Valentin, responsable IA et Analyse avancée chez Airbus. L’industriel s’affaire désormais à démocratiser en interne l’usage de l’IA générative. L’enjeu étant d’augmenter les capacités de ses collaborateurs et de les faire gagner en productivité, tout en facilitant l’accès aux documents techniques. Et ce, avec des risques d’erreur limités. Différents cas d’application sont en test. A commencer par les requêtes clients, qui réclament aux opérateurs de synthétiser des textes techniques très volumineux. Sur ce terrain, l’IA les aide à délivrer rapidement des réponses à la fois pertinentes et mieux contextualisées. D’autres cas d’usage sont à l’étude, notamment dans les ateliers de fabrication. Des opérateurs pourront interroger en langage naturel leur robot conversationnel sur des cas pratiques. Par exemple, « quelle clé dynamométrique dois-je utiliser pour exercer un serrage de précision ? » (Source : lesechos.fr)

Figeac Aéro continue d’engranger les contrats. Sa filiale nord-américaine a ainsi remporté un nouveau marché auprès de Bombardier. Il porte sur la production des panneaux métalliques de revêtement équipant la dérive des Global 7500 et Challenger 350, notamment sur les phases de formage et de traitement de surface de ces panneaux. Il s’agit d’un contrat pluriannuel d’une valeur de 8 millions de dollars, qui contribuera au chiffre d’affaires du groupe dès le second semestre de l’exercice. (Source : journal-aviation.com)

L’audition des premiers experts aéronautiques a débuté lors du procès en appel du vol AF447. Si les facteurs contributifs à l’accident sont multiples, ils ont largement insisté sur la sidération qui s’est emparée de l’équipage, incapable de réagir de façon adéquate. Un effet de surprise pouvant découler d’un manque d’informations. (Source : latribune.fr)

Deux appareils sont entrés en collision mercredi soir sur une piste de l’aéroport de LaGuardia de New York blessDelta, la société mère d’Endeavor Air, a déclaré qu’elle allait « coopérer avec toutes les autorités compétentes pour examiner » les mesures de sécurité à la suite de ce que la compagnie aérienne a décrit dans un communiqué comme « une collision à faible vitesse pendant le roulage ». Selon la compagnie, une aile de l’avion qui s’apprêtait à décoller est entrée en contact avec le fuselage de l’avion qui venait d’atterrir. Les deux appareils transportaient un total de 93 passagers et membres d’équipage, a précisé la compagnie.ant légèrement deux personnes, ont annoncé les autorités aéroportuaires et la compagnie Delta Air Lines. (Source : lefigaro.fr)

Depuis le 1er octobre 2025, Emirates, compagnie nationale des Émirats arabes unis et l’un des plus grands transporteurs aériens mondiaux, applique une nouvelle mesure de sécurité interdisant l’utilisation des batteries externes en vol. Cette décision traduit la montée en puissance des préoccupations de l’industrie aéronautique autour des risques liés aux batteries au lithium, déjà responsables de nombreux incidents. Désormais, les passagers d’Emirates ne peuvent emporter qu’une seule batterie externe d’une capacité inférieure à 100 watt-heures (Wh) dans leur bagage cabine. Mais cette batterie devra rester inutilisée tout au long du trajet : elle ne pourra ni recharger un téléphone ou une tablette, ni être elle-même rechargée via les prises électriques disponibles à chaque siège. (Source : air-journal.fr)

Contrainte par de nouveaux scandales et sous pression du ministère japonais des Transports, Japan Airlines annonce un durcissement de ses règles de sécurité aérienne. La compagnie suspendra désormais certains pilotes dont les fonctions hépatiques révéleraient des anomalies au-delà d’un seuil défini, afin de réduire les risques liés à la consommation d’alcool. (Source : air-journal.fr)

Aux Etats-Unis, l’association des contrôleurs aériens américains (NATCA) a tiré la sonnette d’alarme mercredi, appelant le Congrès à trouver rapidement un compromis budgétaire. En cause : la mise au chômage technique de plus de 2.300 de ses membres, dont de nombreux ingénieurs, en raison de la paralysie budgétaire fédérale, le fameux « shutdown ». « Les paralysies budgétaires réduisent la sécurité et l’efficacité du Système national aérien (NAS) et amenuisent les strates de sécurité qui permettent aux passagers aériens d’arriver en toute sécurité et à l’heure à leurs destinations », a averti le syndicat dans un communiqué. Selon lui, le gel budgétaire prive les contrôleurs aériens d’un soutien logistique et technique essentiel, compliquant leur mission dans un contexte déjà marqué par un manque chronique de personnel et un système de contrôle vieillissant. (Source : 20minutes.fr)

La direction, qui met en avant la nécessité de préserver la compétitivité et l’avenir de la compagnie, se dit prête à transférer certains emplois vers ses filiales à coûts réduits. Le syndicat de pilotes allemand Vereinigung Cockpit a annoncé qu’une large majorité de ses membres s’est prononcée en faveur d’un mouvement de grève. « Il s’agit du dernier recours pour obtenir un accord plus favorable sur les retraites », a déclaré la représentation syndicale. Aucune date n’a encore été fixée, mais ce vote est interprété comme une ultime manœuvre pour accroître la pression sur la direction du groupe Lufthansa. La compagnie a jusqu’ici résisté aux revendications du syndicat. Elle prévient d’ailleurs que si les coûts explosent, elle pourrait accentuer le transfert d’emplois et de capacités vers ses filiales à coûts maîtrisés, Discover Airlines et City Airlines, deux compagnies qui jouent déjà un rôle stratégique dans la réorganisation du groupe. La maison mère insiste sur son objectif principal : « assurer la viabilité de Lufthansa Classic sur le long terme ». (Source : air-journal.fr)

Airbus et Air India ont inauguré un centre de formation avancée de pilotes à l’Air India Aviation Training Academy de Gurugram, près de New Delhi. Ce centre ultramoderne formera plus de 5 000 nouveaux pilotes de ligne au cours de la prochaine décennie pour soutenir la croissance exponentielle de l’aviation commerciale en Inde. Il s’agit d’une coentreprise détenue à parts égales par l’avionneur et la compagnie indienne. Ce nouveau centre de 12 000 m² sera ainsi équipé de 10 simulateurs de vol (FFS) à terme, ainsi que de salles de classe et de briefing ultramodernes. (Source : journal-aviation.com)

La France n’a pas le monopole de la grève en cette rentrée sociale des plus chargées. L’aéroport de Bruxelles sera lui concerné le 14 octobre. Avec des perspectives déjà sombres pour les déplacements en Europe et au-delà puisque Brussels Airport prévient déjà qu’aucun vol ne décollera à cette date. La direction du hub belge indique : « Afin de pouvoir continuer à assurer la sécurité des passagers et du personnel, nous avons décidé, en concertation avec les compagnies aériennes, de ne pas opérer de vols passagers au départ ce 14 octobre. Dans les prochains jours, les compagnies aériennes informeront directement les passagers de leurs options ». (Source : voyages-d-affaires.com)

L’Espagne a accueilli 22,3 millions de visiteurs étrangers en juillet et en août, selon l’Institut national de statistiques. C’est le chiffre le plus élevé de son histoire sur cette période. Dans le détail, 11 millions de visiteurs étrangers se sont rendus en Espagne en juillet (+1,6% sur un an). Et 11,3 millions en août (+2,9%).
3,6 millions de Français. Avec 22,3 millions de touristes étrangers sur ces deux mois, l’Espagne, deuxième destination mondiale derrière la France, a dépassé le précédent record établi en 2024. Parmi ces visiteurs, les Britanniques arrivent en tête (4,3 millions), devant les Français (3,6 millions) et les Allemands (2,5 millions). Sur les huit premiers mois de 2025, le nombre de touristes étrangers venus en Espagne a augmenté de 3,9%, atteignant 66,8 millions. Là encore, il s’agit d’un record selon l’INE. (Source : lechotouristique.com)