Se déplacer en train en France revient en moyenne moins cher qu’en avion, sauf correspondance, et l’aérien reste imbattable pour des trajets en Europe : autant d’arguments pour des mesures de rééquilibrage au nom du climat, selon des rapports publiés jeudi 3 juillet. (Source : lemonde.fr)

  UFC-Que choisir : Trajets domestiques, le train loin d’être toujours le moins cher

Greenpeace a comparé les prix d’entrée des billets d’avion et de train sur 21 liaisons entre la France et l’Europe. Sur ces trajets, le train s’avère en moyenne 2,5 fois plus cher que l’avion, observe Greenpeace. Sur les six lignes les plus empruntées au départ de la France, les prix de base sont même trois fois plus bas en avion qu’en train. (Source : lechotouristique.com)

  Greenpeace et Réseau action climat : Pourquoi, l’avion est (souvent) moins cher que le train. Comment y remédier

Le dernier rapport du Réseau Action Climat, croisé avec une enquête de l’UFC-Que Choisir, dresse un constat sans appel : si le train est compétitif sur certaines liaisons directes, il se fait distancer dès qu’il y a une correspondance ou que les liaisons sortent des classiques Paris-province. Sur 48 liaisons intérieures françaises étudiées par l’UFC, le train est 40% moins cher que l’avion lorsqu’il existe une liaison directe, mais devient 10% plus cher dès qu’une correspondance est nécessaire. (Source : deplacementspros.com)

Une étude publiée ce jeudi s’est intéressée aux tarifs des trajets ferroviaires et aériens en France, en prenant comme base les 48 liaisons aériennes les plus fréquentées du pays. Voici ses conclusions. (Source : latribune.fr)

L’aéroport international de Nice, l’un des plus touchés par la grève des aiguilleurs du ciel, rencontre d’importantes difficultés dans la régulation du trafic aérien depuis mars. Et s’apprête à vivre une saison estivale particulièrement difficile. (Source : lefigaro.fr)

Les négociations autour de la future Obligation de Service Public entre Paris-Orly et les aéroports de Tarbes-Lourdes-Pyrénées (TLP) et Pau ont abouti à un compromis attendu. Chaque plateforme conservera deux allers-retours quotidiens vers la capitale  : TLP maintiendra son modèle avec un Airbus A319 de 156 places, tandis que Pau opérera avec un avion de 98 sièges. L’accord, salué par les élus et les acteurs aéroportuaires, prévoit une OSP commune mais divisée en deux appels d’offres distincts. Les collectivités des Pyrénées-Atlantiques, longtemps réticentes, rejoignent finalement le dispositif défendu par les Hautes-Pyrénées, notamment grâce à la médiation du préfet et au dialogue renoué entre les territoires. (Source : tarbes-infos.com/)

Cette demande intervient alors que Ryanair publie sa « Ligue des Retards » de juin, qui montre que la France, l’Espagne, l’Allemagne, le Portugal et le Royaume-Uni restent les pires fournisseurs d’ATC en matière de retards, en raison du manque de personnel et de gestion adéquate de leurs services ATC, conséquence de l’échec des ministres nationaux des Transports. La France est classée championne des retards avec plus de 26 000 vols retardés, impactant 4,7 millions de passagers, suivie par l’Espagne (16 700 vols retardés), l’Allemagne (7 500), le Portugal (3 000) et le Royaume-Uni (2 770). (Source : air-journal.fr)

Présente à l’Aéroport de Strasbourg depuis 2012, avec l’ouverture de sa base en 2015, Volotea célèbre une décennie d’opérations marquées par une forte croissance et un ancrage durable. En treize ans, et d’ici la fin de l’année, la compagnie prévoit de dépasser les 6 millions de passagers transportés depuis et vers Strasbourg, consolidant selon elle son « rôle clé dans la connectivité du Grand Est ». (Source : air-journal.fr)

Emirates a officiellement lancé sa nouvelle ligne quotidienne vers Shenzhen, marquant ainsi sa quatrième destination en Chine continentale et renforçant sa stratégie de croissance en Asie de l’Est. (Source : air-journal.fr)

Les vols entre Bruxelles et Cancún débuteront le 23 octobre 2025. Quant aux voyageurs souhaitant se rendre de Bruxelles à Punta Cana, ils pourront le faire tous les vendredis, à compter du 24 octobre 2025. L’offre est complétée par une liaison supplémentaire entre Paris et Punta Cana, opérée chaque samedi. (Source : tourmag.com)

Le secrétaire général de l’EBAA a démissionné avec effet immédiat, et le directeur des opérations quittera l’association à la fin de l’année. L’EBAA traverse actuellement une période difficile. La décision sur l’avenir du salon EBACE, annoncée pour le 30 juin 2025, a été reportée. Le nouveau directeur général par intérim collaborera avec les associations nationales d’aviation d’affaires pour bâtir une association plus forte et plus réactive aux défis de ses membres, valoriser l’EBAA pour ses membres, instaurer un nouveau barème de cotisations en janvier 2026 et veiller à ce qu’EBACE demeure le principal événement européen de l’aviation d’affaires. (Source : aerobuzz.fr)

Airlines for Europe (A4E) a confirmé ce mercredi 2 juillet que ses compagnies membres appliquent désormais les dimensions garanties de 40 × 30 × 15 cm pour le bagage cabine généralement placé sous le siège avant – l’« article personnel » – convenues par les États membres le mois dernier. Toutes les compagnies aériennes membres de l’A4E mettront en œuvre les dimensions garanties d’ici la fin de la saison estivale 2025. « Les transporteurs continueront d’autoriser les articles personnels plus grands à leur discrétion, comme c’est déjà le cas pour de nombreuses de ses compagnies membres », informe l’A4E. La standardisation des dimensions des bagages cabine est à l’ordre du jour de Bruxelles depuis des années, notamment à la demande récente de l’ancienne commissaire aux Transports, Adina Vălean. La décision des États membres offre désormais une sécurité aux passagers : un seul sac mesurant jusqu’à 40 × 30 × 15 cm peut être emporté en cabine. (Source : air-journal.fr)

La taxe pouvait atteindre 517 couronnes – soit environ 46 euros – par passager, en fonction de la distance parcourue. Elle a été supprimée ce mardi. Cet abandon de la taxe a été critiqué à plusieurs reprises : en mars, une agence chargée de l’évaluation de la politique climatique a estimé que la ligne gouvernementale en la matière allait provoquer une augmentation des émissions de gaz à effet de serre en 2024, et que les objectifs annoncés pour 2030 ne seraient pas tenus. (Source : lechotouristique.com)

La loi, amendée par 214 contributions, veut lutter contre la pollution sonore et protéger les populations survolées. La proposition a été déposée le 2 juillet devant les députés. (Source : actu.fr)

Double rumeur autour d’Airbus ce matin. AirAsia serait tout d’abord proche d’un accord pour l’achat de dizaines de monocouloirs supplémentaires. Cet accord pourrait être annoncé lors de la visite d’État du Premier ministre malaisien Anwar Ibrahim en France cette semaine, selon des sources proches du dossier citées par ’Bloomberg’. Les discussions avancées concernent des avions à fuselage étroit extra-long-courrier mais pourraient encore ne pas aboutir, selon les sources. Par ailleurs, le géant européen serait proche de décrocher une nouvelle commande de la part de Malaysia Aviation Group pour plusieurs avions long-courriers A330neo. Selon des sources industrielles citées par ’Reuters’, la maison mère de la compagnie nationale pourrait, là aussi, officialiser cet accord à l’occasion de la visite du Premier ministre malaisien. (Source : boursier.com)

Une filiale de l’industriel indien Tata vient de développer un quadrupède robotisé pour les compagnies aériennes. Bardée de capteurs, la machine est destinée à réaliser l’inspection des trains d’atterrissage d’avions en totale autonomie. (Source : ladepeche.fr)

Dans la nuit de mardi à mercredi 2 juillet, le « volet » de l’aile gauche d’un Boeing 737 s’est décroché en plein vol entre la Géorgie et la Caroline du Nord, sans que personne ne s’en aperçoive. Un incident qui n’a, par chance, fait aucune victime. Ppar chance, l’atterrissage du Boeing 737 a pu se faire « en toute sécurité » à l’aéroport de Raleigh-Durham et ce n’est qu’au moment de l’inspection post-vol que la disparition du volet a été découverte, selon Delta. (Source : parismatch.com)

Un homme de 32 ans a été condamné à payer près de 60 000 dollars à American Airlines, après qu’il a tenté de pénétrer une zone de sûreté dans l’aéroport de Philadelphie, réussissant à embarquer sur un vol American Airlines, jusqu’à en provoquer l’annulation. (Source : air-journal.fr)

Le trafic s’annonce très perturbé jeudi dans les aéroports parisiens et du sud de la France, après un appel à la grève de deux syndicats d’aiguilleurs du ciel pour défendre leurs conditions de travail. Les compagnies aériennes sont appelées à annuler 40 % de leurs vols au départ ou à l’arrivée des aéroports de Paris-Charles-de-Gaulle et Orly vendredi, a annoncé mercredi la Direction générale de l’Aviation civile. Ces exigences de l’administration sont plus élevées que celles de jeudi, premier jour de mouvement social, quand un quart des vols seront supprimés dans les aéroports parisiens. A Nice, troisième plateforme française, ces annulations concerneront vendredi la moitié des liaisons, comme jeudi. Le gouvernement semble prêt à aller au bras de fer. Mercredi, le ministre des Transports, Philippe Tabarot, s’est dit « résolu à tenir bon » face aux syndicats de contrôleurs aériens qui ont appelé à faire grève, et a dénoncé leurs revendications « inacceptables ». (Source : lesechos.fr)

La grève se poursuit dans le ciel français. La Direction générale de l’aviation civile a demandé aux compagnies aériennes de réduire leur programme de vols pour la journée du vendredi 4 juillet 2025 et invite les transporteurs à réduire leurs rotations de 50% à Nice. De 40% sur les aéroports de Paris-Charles-De Gaulle, Paris-Orly et Beauvais. Et de 30% sur les aéroports de Lyon, Marseille, Montpellier, Ajaccio, Bastia, Calvi et Figari. (Source : lechotouristique.com)

Avec 71 milliards d’euros de recettes touristiques l’an dernier, la France s’est classée seulement à la quatrième position en la matière, loin derrière les 126 milliards d’euros de l’Espagne, qui a pourtant eu moins de visiteurs. Le e cap de 100 millions de visiteurs étrangers franchi en 2024 ne « veut pas dire grand-chose, puisque ce qui est important, c’est la dépense touristique », rappelle-t-il. Avec 71 milliards d’euros de recettes touristiques l’an dernier, la France s’est classée à la quatrième position en la matière, loin derrière les 126 milliards d’euros de l’Espagne, qui a pourtant eu moins de visiteurs. « Il ne faut pas non plus perdre de vue que deux tiers de la dépense globale du tourisme, ce sont les touristes français », indique-t-il, ce qui doit amener à ne pas « se focaliser uniquement sur la clientèle internationale ». (Source : lefigaro.fr)