Le Conseil des aéroports du Canada a publié les résultats d’une nouvelle étude d’impact économique qui met en lumière l’importante contribution des aéroports du pays à l’économie nationale. Selon l’étude, 61 aéroports à travers le Canada soutiennent 435 800 emplois à temps plein, génèrent 32,9 milliards de dollars en salaires annuels, contribuent 49,6 milliards de dollars au produit intérieur brut (PIB) et génèrent une production économique totale de 123,5 milliards de dollars en 2024. (Source : travelpulsequebec.ca)

En mai 2025, l’aéroport Guadeloupe Maryse Condé affichait une fréquentation relativement stable, en hausse de 0,5% par rapport à la même période l’an dernier. 154 608 passagers sont passés par la Guadeloupe. Des chiffres qui confirment la tendance positive observée depuis le début de l’année à l’aéroport Maryse Condé. (Source : la1ere.francetvinfo.fr)

Air Transat, élue Meilleure compagnie aérienne loisirs au monde en 2025 par Skytrax, lancera cet hiver une nouvelle liaison sans escale à l’année entre Toronto et Istanbul. Air Transat et Turkish Airlines ont d’ailleurs conclu un partenariat interligne visant à renforcer les liaisons aériennes entre le Canada et la Turquie, tout en offrant des options de voyage vers des destinations au Moyen-Orient, en Asie et en Afrique. Grâce à cette nouvelle liaison directe, les deux transporteurs pourront offrir des services bonifiés aux passagères et passagers dans le cadre de ce partenariat. (Source : air-journal.fr)

Airlink, première compagnie aérienne multiservices d’Afrique australe, prévoit de louer 10 nouveaux biréacteurs passagers Embraer E195-E2 auprès d’Azorra, société de leasing, de financement et de gestion d’actifs basée à Fort Lauderdale. Dans le cadre d’un accord qui sera finalisé prochainement, Airlink renforcera sa flotte actuelle de 68 appareils avec les nouveaux E2. Les livraisons depuis les installations d’Embraer au Brésil sont prévues d’ici la fin de l’année jusqu’en 2027. Airlink exploite des Embraer depuis 2001. (Source : air-journal.fr)

Air Austral et Madagascar Airlines ont signé le 18 juin à l’occasion du salon International de l’Aéronautique et de l’Espace 2025 au Bourget, un accord de partage de codes et un accord tarifaire spécial (Special Prorate Agreement – SPA), marquant une étape décisive dans la relance de leur coopération commerciale. Ce partenariat a pour objectif de renforcer la connectivité entre Madagascar, La Réunion et d’autres destinations régionales et internationales, tout en élargissant les options tarifaires et les opportunités de voyage pour les clients des deux compagnies. (Source : air-journal.fr)

Le Portugal prévoit de présenter les conditions de la vente de la compagnie aérienne publique TAP dans les prochaines semaines, a déclaré le ministre des Finances Joaquim Miranda Sarmento. "De nombreuses parties intéressées par TAP", a confirmé le dirigeant lors d’une interview accordée à la chaîne de télévision ’SIC’. Air France KLM, Lufthansa et le propriétaire de British Airways, IAG, ont notamment publiquement manifesté leur intérêt pour la TAP, que le gouvernement portugais entend privatiser en partie cette année. Le principal attrait de la TAP réside dans ses liens avec le Brésil, dont elle est le plus grand fournisseur européen. Elle maintient également une forte présence en Afrique et opère un certain nombre de vols vers l’Amérique du Nord. (Source : boursier.com)

Qu’ils servent aux civils ou aux militaires, pour des passionnés ou des novices, depuis plusieurs années, les drones sont partout. Et pourtant, ce n’est qu’un début, selon les professionnels du secteur. (Source : franceinfo.fr)

Le 18 juin 2025, lors du salon du Bourget, les ministres Eric Lombard (Économie), Marc Ferracci (Industrie et Énergie) et Philippe Tabarot (Transports), aux côtés de représentants de l’industrie et des syndicats, ont signé le volet « Carburants d’Aviation Durables » (SAF) du contrat stratégique de filière « Nouveaux Systèmes Énergétiques » pour la période 2024-2027. Cette feuille de route vise à structurer et accélérer l’émergence d’une filière SAF française compétitive. Un levier essentiel pour atteindre la neutralité carbone du secteur aérien. (Source : deplacementspros.com)

Jusqu’au dernier jour de négociations hier -place aux journées publiques désormais-, les commandes et les nouveaux modèles d’Airbus ont occupé le devant de la scène au Salon du Bourget cette année, tandis que son concurrent américain Boeing reste remarquablement discret pour cet événement majeur. Parmi les faits marquants, citons une commande de 40 A220 auprès de LOT Polish Airlines et un accord avec VietJet portant sur jusqu’à 100 monocouloirs et 50 en option. Il y a encore Riyadh Air avec une commande de 25 gros-porteurs A350-1000 et AviLease pour 10 A350F cargo et 30 appareils de la famille A320neo et une possible une augmentation future à 22 A350F cargo et 55 appareils de la famille A320neo. L’A350 confirme son intérêt auprès des compagnies, avec 6 A350-900 supplémentaires EgyptAir, 2 A350F cargo pour la compagnie turque MNG Airlines, 10 A350-1000 supplémentaires pour la compagnie taïwanaise Starlux. Alors que 2025 semblait marquer un tournant pour l’entreprise, avec la présence de son PDG Kelly Ortberg à Paris, le tout premier crash d’un Boeing Dreamliner lors de la catastrophe d’Air India le 12 juin, soit peu ou prou une semaine désormais, a bouleversé la donne. Ortberg s’est retiré de l’événement et l’avionneur américain a fait peu d’annonces à la presse, affirmant se concentrer sur ses clients et l’enquête sur les causes du crash. Il lui reste pour se rattraper son super VRP Trump, qui a déjà capté des promesses de contrats lors de sa récente tournée dans les pays du Golfe (dont Qatar Airways pour 210 avions gros-porteurs et Etihad), et des événements cruciaux encore comme le prochain salon aéronautique de Dubaï en novembre 2025. (Source : air-journal.fr)

Carton plein pour Airbus lors de cette édition 2025 du salon du Bourget, grand-messe de l’aéronautique qui se tient du 16 au 22 juin. Le constructeur français enregistre 148 commandes fermes et environ 102 options ou intentions d’achat supplémentaires, pour un montant évalué entre 21 et 23 milliards de dollars. En détail, Riyadh Air a signé pour 25 appareils, AviLease 40 ou encore Egyptair pour 6 appareils. Ces commandes concernent en grande majorité des gros porteurs, en particulier l’A350-1000, version améliorée du 900. Chez Boeing, la moisson fut moins fructueuse… Après plusieurs années de crise et le crash récent du Dreamliner d’Air India, le constructeur américain fait chou blanc et n’enregistre aucune commande pour cette édition 2025. (Source : deplacementspros.com)

Embraer a annoncé aujourd’hui, en partenariat avec son bailleur Regional One, que Bridges Air Cargo sera le client de lancement du nouvel avion cargo électrique E190F, converti en avion de transport de passagers en avion de fret (P2F). Cet avion, premier de deux conversions, devrait entrer en service au sein de la flotte de Bridges au troisième trimestre 2025. (Source : air-journal.fr)

Le National Transportation Safety Board a émis mercredi une recommandation de sécurité urgente concernant la possibilité d’infiltration de fumée dans le cockpit ou la cabine des avions équipés de moteurs CFM International LEAP-1B. Il a également émis des recommandations supplémentaires afin d’évaluer la possibilité d’un problème similaire avec les moteurs LEAP-1A et LEAP-1C. Les moteurs CFM LEAP équipent des variantes monocouloirs des Airbus A320neo et Boeing 737 MAX. Le NTSB a constaté que le dispositif de réduction de charge moteur, un dispositif de sécurité conçu pour réduire l’intensité des vibrations transmises d’un moteur endommagé à la cellule, peut endommager le circuit d’huile moteur. Une telle situation peut permettre à la fumée de l’huile chaude de pénétrer dans le système de ventilation et, in fine, dans le cockpit ou la cabine passagers. (Source : air-journal.fr)

L’accident avait coûté la vie à deux secouristes de la CRS Alpes et trois membres du Secours aérien français. En décembre 2020, un hélicoptère de la société s’était écrasé lors d’un exercice sur la commune de Bonvillard. La juge d’instruction vient finalement de rendre une ordonnance de non-lieu. Selon le rapport des enquêteurs du BEA, le Bureau d’enquêtes et d’analyses pour la sécurité de l’aviation civile, spécialisé dans les crashs, l’accident s’est produit juste après que le pilote ait effectué un virage sur la gauche, peut-être pour éviter des nuages et des bancs de brume apparus à proximité du site de l’exercice. Par contre, impossible de dire pourquoi il a poursuivit sa manœuvre jusqu’à entrer en collision avec les arbres. Les experts du BEA évoquent une possible perte de repère du pilote par rapport au relief. (Source : francebleu.fr)

L’information que vous dévoilions ce matin est confirmée. L’Autorité de l’Aviation Civile de Tanzanie (TCAA) a accordé des droits de trafic additionnels, pour une période de six mois, à Ethiopian Airlines et Qatar Airways afin d’exploiter les lignes intérieures. Objectif : rassurer les voyageurs après l’inscription, début juin, de toutes les compagnies tanzaniennes sur la liste noire des compagnies aériennes interdites dans l’UE. (Source : tourMag.com)

Faire taire les spéculations et garder la tête froide. Tel est le message qu’a voulu faire faire passer Natarajan Chandrasekaran, président d’Air India et de Tata Sons, le conglomérat indien qui contrôle la compagnie aérienne. Il indique que "les deux moteurs de l’avion avaient un historique de maintenance correct. Le moteur droit de l’avion était neuf et avait été installé en mars dernier, tandis que le gauche a été révisé en 2023, la prochaine révision étant programmée pour décembre prochain". Les enquêteurs examinent actuellement les débris et décodent les données de vol enregistrées et les enregistrements audio du poste de pilotage provenant des boîtes noires de l’avion afin de reconstituer les derniers instants du vol et de déterminer la cause de l’incident. Par ailleurs, la compagnie aérienne a déclaré que les inspections avaient été effectuées sur 26 de ses 33 Boeing 787-8 et 787-9, tous étant "autorisés à reprendre du service". Les appareils restants devraient être examinés dans les prochains jours, a déclaré Air India, ajoutant que la flotte de Boeing 777 de la compagnie ferait également l’objet de "contrôles de sécurité renforcés". (Source : bfmtv.com)

Entre janvier 2024 et avril 2025, 27 cyberattaques majeures ont ciblé le secteur aérien, impliquant 22 groupes de ransomware. Au-delà des interruptions de service, les attaques visent désormais le sabotage, l’espionnage industriel et le vol de données sensibles. Les États-Unis concentrent plus d’un tiers des cas, mais la menace est mondiale, avec des incidents notables à Seattle, Tokyo, Monterrey ou Kuala Lumpur. Des campagnes de phishing appuyées par de faux profils LinkedIn ciblent aussi les professionnels du secteur. Le rapport pointe la responsabilité croissante d’acteurs étatiques (Russie, Iran, Chine, Corée du Nord), qui s’attaquent aux fabricants d’aéronefs et aux organismes de régulation. Face à cette menace systémique, Thales appelle à renforcer la détection, la réaction et la coopération internationale. (Source : usine-digitale.fr)

À l’occasion du Salon du Bourget édition 2025, Elixir Aircraft annonce la signature d’une lettre d’intention pour l’acquisition imminente de seize avions de formation Elixir par l’école internationale Airways Aviation. En l’espace d’une semaine à peine, Elixir Aircraft, constructeur aéronautique rochelais, aura accumulé 46 commandes supplémentaires en comptant celle de l’ENAC et cette dernière, en provenance d’Airways Aviation. (Source : air-cosmos.com)

À l’occasion du Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace du Bourget, Corsair a conclu, le 18 juin 2025, un partenariat stratégique avec l’IPSA, École d’ingénieurs post-bac française de référence sur les secteurs de l’aéronautique et spatial, Ce rapprochement marque une nouvelle étape dans l’engagement de la compagnie aérienne en faveur de la formation, de la transmission des savoir-faire et de l’accompagnement des jeunes vers les métiers du transport aérien. (Source : air-cosmos.com)

VoltAero a franchi au Salon du Bourget édition 2025 une étape commerciale importante avec la signature d’un accord portant sur 15 avions hybrides électriques Cassio 330 et une option pour 15 autres appareils, qui seront acquis par HM Aerospace Sdn Bhd pour la formation des pilotes dans la plus grande académie de pilotage de Malaisie, après certification EASA et validation par les autorités de l’aviation civile malaisiennes. (Source : air-cosmos.com)

Le groupe Singapore Airlines, qui comprend Singapore Airlines et sa filiale low-cost Scoot, s’est mobilisé pour soutenir les employés touchés par la fermeture imminente de Jetstar Asia. Cette initiative vise à absorber près de 60 % des effectifs de première ligne de Jetstar Asia, offrant ainsi une transition fluide aux professionnels qualifiés. (Source : air-journal.fr)

Cinq milliards de téléspectateurs devant un Paris de carte postale : un an après, l’impact des JO 2024 sur la fréquentation touristique française reste difficilement mesurable, mais le nombre de visiteurs n’a pas explosé. « Il y a bien sûr un effet JO, mais il ne faut pas non plus surévaluer cet impact, il n’y a pas une explosion des taux d’occupation, depuis le début de l’année on est à +2% », résume l’expert à l’AFP, préférant parler d’« un niveau normal, avec une toute petite progression ». Pour l’Alliance France Tourisme - qui rassemble de gros acteurs comme Accor, ADP, SNCF, GL Events, Pierre et Vacances/Center Parcs, Disneyland Paris ou encore la Compagnie des Alpes - « l’été s’annonce globalement bon pour le tourisme, toutefois, l’impact spécifique des Jeux olympiques reste complexe à mesurer », souligne sa secrétaire générale Leslie Rival. Elle indique que Paris « accueille en moyenne 15 millions de visiteurs par an : ils étaient environ aussi nombreux l’an dernier et le seront sans doute cette année. Mais derrière cette stabilité apparente, il est très difficile d’identifier la part des visiteurs venus pour les Jeux, ceux qui avaient reporté leur séjour (l’an dernier), ou ceux dont la venue n’a aucun lien avec l’événement. Les touristes ne déclarent pas leurs motivations à leur arrivée ». Du côté du secteur aérien, le président de la Fédération nationale de l’aviation et de ses métiers (Fnam), Pascal de Izaguirre, déplore le fait que cet été, en France, le marché aérien sera « le seul en diminution » en Europe, la faute selon lui à l’alourdissement de la taxation du secteur dans le budget 2025, qui a des effets sur le prix des billets et l’attractivité par rapport à d’autres destinations. (Source : lefigaro.fr)

C’est une fréquentation de nouveau « record » pour le ferroviaire français : l’Autorité de régulation des transports a publié ce jeudi son bilan du marché du transport ferroviaire. Et les chiffres sont sans équivoque : l’offre et la fréquentation du train ont de nouveau progressé en 2024, battant pour la troisième année consécutive celles de l’année précédente. L’offre ferroviaire effective a ainsi augmenté de 6% en 2024 – à la fois sur les services conventionnés (TER, Intercités et Transilien-RER) que sur ceux librement organisés (trains à grande vitesse domestique et internationaux). La hausse atteint 4% sur les seuls TGV, et 11% sur TER et Intercités. L’ART note néanmoins que la hausse de l’offre internationale est demeurée pénalisée par la fermeture effective, jusqu’en avril 2025, de la liaison directe entre la France et l’Italie, due à l’éboulement qui avait bloqué le tunnel de la Maurienne, en Savoie. Un autre facteur explique la bonne fréquentation des trains français en 2024 : un taux historiquement faible d’annulations de trains, du fait de l’absence de mouvements sociaux d’ampleur. Inédit pour le réseau ferroviaire : 2024 a été la première année exemptée depuis sept ans. La France n’est toutefois pas le seul pays à observer une bonne dynamique. La fréquentation ferroviaire a augmenté de 7% en Europe en 2024, et dépassé de 9% son niveau d’avant-crise, note l’ART. C’est l’Espagne qui observe la dynamique la plus forte, comme en 2023, du fait du développement marqué de la concurrence. Le pays observe ainsi une hausse de la fréquentation de 14% depuis 2023, et dépasse de près d’un tiers son niveau de 2019. Le Royaume-Uni, dont le service ferroviaire avait pâti de la dénationalisation et de l’ouverture à la concurrence, fait toujours partie des pays où la fréquentation des trains n’a pas rattrapé son niveau pré-pandémique (-8% par rapport à 2019). (Source : lechotouristique.com)