Record de sièges, leadership régional, percée des low cost… l’Espagne s’impose comme le moteur de la reprise aérienne en Europe. Selon les dernières données publiées par le fournisseur OAG, le pays a franchi un cap symbolique en devenant le premier marché aérien d’Europe de l’Ouest, devant le Royaume-Uni. (Source : lepetitjournal.com)

La dernière édition du baromètre de la connectivité aérienne, publié par Atout France et le Groupe ADP, consacre Paris comme la première porte d’entrée de l’Europe pour les voyageurs long-courriers, avec une stratégie de reconquête des flux internationaux. Avec 100 millions de passagers annuels, près de 500 villes connectées – dont 90 % à l’international –, Paris-Charles de Gaulle s’est hissé en 2023 à la première place des aéroports d’arrivée de l’Union européenne pour les passagers extra-européens, devant ses rivaux historiques Francfort et Amsterdam. Une performance qui signe le retour en force d’un hub que la crise sanitaire avait relégué, provisoirement, au second plan. Selon une étude réalisée par le cabinet BDO Advisory en 2023, les aéroports de Paris génèrent à eux seuls 65 milliards d’euros de chiffre d’affaires et 33 milliards d’euros de PIB. Ce ne sont pas de simples lieux de transit : ce sont des plateformes économiques majeures, qui emploient directement 120.000 personnes. (Source : lefigaro.fr)

Avec près de 2,5 millions de passagers accueillis en 2024 sur les aéroports de Tahiti, Bora Bora, Rangiroa et Raiatea – dont 775 000 voyageurs internationaux – la société Aéroport de Tahiti a dressé ce mardi, un bilan solide pour l’année 2024. En parallèle, ADT a investi un milliard de francs dans ses infrastructures et prépare le transfert de la gestion de ses trois aéroports dans les îles au groupe EGIS-CCISM. (Source : tahiti-infos.com)

L’aéroport international du Yémen a été « complètement détruit » par des frappes aériennes israéliennes sur Sanaa, la capitale rebelle, causant également des dommages irrémédiables à des avions de Yemenia, la compagnie aérienne nationale du pays. Les dégâts causés par la frappe israélienne sur l’aéroport international de Sanaa s’élèvent à un demi-milliard de dollars, selon des informations au Yémen. Au cours de la frappe, sept avions ont été détruits, dont trois d’une compagnie aérienne yéménite. « Trois avions sur sept appartenant à Yemenia Airlines ont été détruits à l’aéroport de Sanaa, et l’aéroport international de Sanaa a été complètement détruit », a précisé le responsable. (Source : air-journal.fr)

"En raison de la situation sécuritaire à destination, Air France prolonge la suspension de ses liaisons entre Paris-Charles de Gaulle et Tel Aviv jusqu’au mardi 13 mai 2025 inclus", a indiqué Air France dans un communiqué. "La reprise des opérations restera soumise à une évaluation de la situation sur place", ajoute Air France en rappelant que "la sécurité de ses clients et de ses équipages est sa priorité absolue". (Source : bfmtv.com)

Air Canada a annoncé aujourd’hui son programme d’hiver pour ses destinations soleil, qui traduit la plus importante expansion de son réseau en Amérique latine à ce jour, avec une capacité de places accrue de 16 % par rapport à l’hiver dernier. Parmi les « nouvelles liaisons attrayantes » pour la saison hivernale 2025-2026, selon Air Canada, se trouvent Rio de Janeiro, Carthagène-des-Indes, Guatemala et Guadalajara. S’ajoutent aussi treize nouvelles liaisons, notamment avec Santiago, Pointe-à-Pitre, Fort-de-France, Nassau, Montego Bay et Huatulco, de même que des liaisons plus fréquentes avec des destinations vacances populaires. (Source : air-journal.fr)

Emirates lance une liaison quotidienne sans escale entre Dubaï et Hangzhou à partir du 30 juillet, ce qui fait de cette ville sa cinquième porte d’entrée vers la Chine continentale, après Pékin, Canton, Shanghai et Shenzhen. (Source : air-journal.fr)

Né en Irlande en 1985, Ryanair a d’abord connu des débuts modestes avec un petit avion régional. Aujourd’hui, la compagnie transporte plus de 200 millions de passagers par an à prix cassés, et affiche une rentabilité à faire rougir ses concurrents. L’histoire d’une ascension spectaculaire. (Source : lesechos.fr)

Pendant très longtemps, Paris a été relié à l’île de Jersey. Cette liaison, qui avait disparu depuis presque deux décennies est de retour ce printemps, il y eu Air Bretagne, British Island Airways, Jersey European Airways et bien d’autres transporteurs, qui, durant des décennies, ont assuré une liaison aérienne entre Paris et l’île anglo-normande de Jersey. Alors que sa voisine de Guernesey a retrouvé depuis 2024 deux vols hebdomadaires vers Paris-CDG effectués par Aurigny Air Services, Jersey continuait à déplorer l’absence de lignes directes avec la capitale française. Enfin, le 22 mai prochain, la compagnie Blue Islands relancera cette liaison historique. Chaque lundi et jeudi, le transporteur, basé à Jersey, un avion de type ATR72-500 avec une capacité de 68 à 72 places décollera de CDG à 15h05 le lundi et à 17h20 le jeudi. Le vol dure une heure et vingt minutes. Les vols directs seront néanmoins saisonniers, puisqu’ils dureront jusqu’au 30 octobre, avant de revenir en 2026. (Source : voyages-d-affaires.com)

Le groupe Euroairlines, compagnie espagnole spécialisée dans la distribution aérienne, annonce la création d’une nouvelle division de transport de fret. Cette opération stratégique marque une étape importante pour le groupe, qui se positionne comme un opérateur global du secteur aérien en ajoutant le transport de fret à ses services passagers existants. Ce service sera disponible dans plus de 175 aéroports et exploitera plus de 400 lignes directes et 600 lignes avec correspondance au sein de son portefeuille de compagnies aériennes partenaires. (Source : air-journal.fr)

Delta Air Lines doit faire face à un recours collectif intenté par des passagers qui affirment que la compagnie aérienne a refusé de leur proposer un remboursement intégral après avoir retardé ou annulé leurs vols à la suite d’une panne informatique massive en juillet dernier, a statué mardi un juge fédéral. Le juge fédéral Mark Cohen, à Atlanta, a déclaré que cinq des neuf plaignants pouvaient intenter une action en justice pour rupture de contrat en raison du refus de Delta de les rembourser. (Source : zonebourse.com)

Alors que l’Union européenne débat actuellement d’une réforme majeure du règlement (CE) 261/2004, qui encadre les droits des passagers aériens en cas de retard, d’annulation ou de refus d’embarquement, la question d’un possible recul des protections offertes aux voyageurs se pose.

Dans le détail, la Commission européenne propose de revoir à la baisse certains droits des passagers, notamment en allongeant le délai de retard minimum ouvrant droit à indemnisation, qui passerait d’un seuil minimum de 3h à 5h, et même jusqu’à 12 heures selon la distance du vol. Cette proposition, défendue par plusieurs compagnies aériennes et certains États membres, vise à alléger la charge financière pesant sur le secteur aérien. Le règlement 261/2004, considéré comme l’un des cadres juridiques les plus protecteurs au monde pour les passagers aériens, a un impact direct et quotidien sur des millions de voyageurs. Pour Tomasz Pawliszyn, CEO d’AirHelp, interrogé par le quotidien belge L’Echo, un tel recul aurait un impact énorme sur les indemnisations en cas de retard, et plus globalement sur la qualité du transport aérien en Europe. « Nos données montrent qu’en modifiant le règlement proposé, plus de 80% des vols affectés par des retards ne pourraient plus bénéficier d’une indemnisation pour leurs passagers. Cela laisserait les passagers complètement bloqués et n’inciterait pas les compagnies aériennes à réduire les retards », indique-t-il. Pour rappel, en 2024, plus de 287 millions de passagers ont subi des retards et des annulations de vols en Europe. (Source : lechotouristique.com)

Dans un jugement de première instance, le tribunal régional de Korneuburg a déclaré irrecevables de nombreux frais supplémentaires facturés par la compagnie aérienne Ryanair. Il s’agit notamment des frais d’enregistrement, des frais pour les jeunes enfants sur les genoux ou de l’impression des cartes d’embarquement. Au total, 15 clauses contractuelles de Ryanair ont été contestées, dont 14 jugées irrecevables par le tribunal. (Source : air-journal.fr)

Porté par un potentiel unique en énergies renouvelables et une ambition affirmée dans l’hydrogène vert, le Maroc entend s’imposer comme un acteur de premier plan dans la transition écologique du transport aérien. Une étude du Boston Consulting Group dévoile les leviers que le Royaume peut activer pour faire des carburants durables d’aviation un véritable atout industriel et régional. (Source : lematin.ma)

Embraer a annoncé mardi avoir enregistré des pertes 73,6 millions de dollars au premier trimestre, près de six fois plus qu’à la même période de l’année dernière, malgré des recettes en hausse. Le premier trimestre est généralement moins florissant pour le troisième avionneur mondial, dont le carnet de commandes est en revanche bien rempli, pour un montant record de 26,5 milliards de dollars. Et l’entreprise a vu ses recettes augmenter de 23% par rapport au premier trimestre de 2024, à 1,103 milliard de dollars, au plus haut depuis 2016. Lors des premiers mois de 2025, 30 avions ont été livrés, 20% de plus que sur la même période de l’année dernière. Embraer table sur 222 à 240 livraisons cette année, contre 206 en 2024. (Source : boursorama.com)

GIFAS : Résultats 2024 de la filière aéronautique et spatiale et perspectives 2025 française retrouve le niveau pré-Covid grâce à une mobilisation industrielle sans précédent. Avec un chiffre d’affaires global de 77,7 milliards d’euros, en croissance de +10 % par rapport à 2023, le niveau d’activité dépasse désormais celui d’avant crise, mais reste toutefois fragile en euros constants compte tenu d’une inflation cumulée de près de 18 % depuis cinq ans. Cette performance est le fruit d’une mobilisation exceptionnelle de l’ensemble de la filière, des grands donneurs d’ordres aux PME. L’aéronautique civile représente 74 % du chiffre d’affaires (57,4 Md€), portée par des livraisons en hausse. Le secteur défense, quant à lui, progresse de +13 % (20,3 Md€), grâce à une croissance des livraisons à l’export (+19 %) et sur le marché national (+11 %). Cette dynamique s’accompagne d’une forte progression des commandes globales à 74,8 Md€ (+5 %), tirées par la défense export (+77 %), qui compense le recul des commandes du ministère des Armées (-33 %) et la stabilité des commandes civiles. La chaîne d’approvisionnement se stabilise, mais reste marquée par les séquelles de la crise sanitaire, des tensions sur les matières premières (titane, aciers spéciaux, composants) et un coût opérationnel élevé en France (travail, énergie, fiscalité). Grâce à une médiation active et une solidarité interne, aucune défaillance critique n’a été enregistrée en 2024, malgré 80 situations sensibles traitées. (Source : aeromorning.com)

Selon Bloomberg, Qatar Airways serait en train de finaliser une commande historique d’environ 100 gros-porteurs Boeing, avec des options pour 100 appareils supplémentaires. Cet accord devrait être dévoilé lors de la tournée du président américain Donald Trump au Moyen-Orient, qui débutera le 13 mai 2025 et comprendra une escale à Doha. Cette commande porte sur les Boeing 777X et 787, répondant ainsi à la nécessité pour la compagnie aérienne de moderniser sa flotte et de répondre à la demande croissante de vols long-courriers via sa plateforme de correspondance à l’aéroport international Hamad. (Source : air-journal.fr)

Longtemps épargné par les tensions commerciales grâce à l’Accord sur le commerce des aéronefs civils de 1980 (« ATCA ») supprimant les droits de douane entre l’UE et les États-Unis, le secteur aéronautique est aujourd’hui confronté à la mise en place, aux Etats-Unis, d’une politique protectionniste. (Source : air-cosmos.com)

Wright Electric a achevé la construction d’un banc d’essai de poussée dédié à l’analyse des performances des moteurs électriques à réaction. Cette installation utilise un module de soufflante LF507-1F de 7 000 livres de poussée offert par Executive Jet Support Ltd, représentatif des charges de propulsion des jets régionaux. Avec le soutien de CFS Aeroproducts Ltd et d’Avalon Aero Ltd, Wright Electric a converti le module de moteur en une configuration à flux unique compatible avec les moteurs électriques. (Source : air-cosmos.com)

Leonardo a créé une nouvelle division aéronautique, consolidant ses activités dans les secteurs des aérostructures, des aéronefs à voilure fixe et des UAV. (Source : air-cosmos.com)

En raison des tensions armées entre l’Inde et le Pakistan, plus de cinquante vols internationaux ont été annulés ou détournés. Plusieurs compagnies asiatiques, dont Thai Airways, EVA Air ou Air France, adaptent leurs plans de vol pour éviter l’espace aérien pakistanais. Ce conflit aérien affecte aussi directement le secteur aérien pakistanais. Le pays, qui perçoit des frais de survol de plusieurs centaines de dollars par vol, pourrait voir ses recettes s’effondrer. Avec des réserves de change limitées à 10,2 milliards de dollars, soit à peine deux mois d’importations, le manque à gagner pourrait s’avérer critique. Au-delà des coûts opérationnels, les compagnies expriment des inquiétudes sur la sécurité. L’Association of Asia Pacific Airlines alerte sur les risques croissants liés au GPS spoofing, une technique de manipulation des données de navigation qui pourrait dérouter les avions dans des zones sensibles. (Source : lefigaro.fr)

L’affrontement militaire entre l’Inde et le Pakistan, qui a gagné en intensité dans la nuit de mardi à mercredi, a contraint les compagnies aériennes à revoir leurs plans de vol dans la région, entre annulations et itinéraires chamboulés. Air France a suspendu "jusqu’à nouvel ordre" le survol du Pakistan. En conséquence, la compagnie "est amenée à adapter son programme et ses plans de vols". Pour les destination de Delhi, Bangkok et Hô Chi Minh-Ville, cela implique "un allongement du temps de vol", a ajouté Air France sans plus de précisions. (Source : rtbf.be)

Selon des sources de l’agence de presse Bloomberg, lundi dernier, le contrôle aérien a perdu le contact avec tous les avions au départ et à l’arrivée de l’aéroport international Newark Liberty, l’un des aéroports les plus fréquentés des États-Unis, et ce pendant près de 90 secondes. Elle ne pouvait pas ni connaître la position des avions sous sa surveillance, ni communiquer avec eux. L’expérience aurait été si traumatisante pour le personnel du contrôle aérien qu’il n’a pas pu continuer à travailler. Le sénateur démocrate Chuck Schumer a demandé qu’une enquête soit ouverte sur l’incident. Il pointe du doigt la technologie obsolète du contrôle du trafic aérien et les coupes budgétaires du Département de l’efficacité gouvernementale, dirigé par le milliardaire Elon Musk. La Federal Aviation Administratio des États-Unis reconnaît que le contrôle aérien fonctionne avec des systèmes obsolètes et indique qu’il y a même eu “plusieurs incidents” récemment. (Source : 7sur7.be)

Une collision au sol entre deux Boeing 777 de United Airlines s’est produite mardi 7 mai à l’aéroport international de San Francisco, entraînant l’annulation des deux vols et le débarquement de tous les passagers. L’incident s’est produit lors d’opérations de routine : un avion, repoussé de la porte d’embarquement, est entré en contact avec un autre 777 qui roulait à proximité. Des dommages visibles ont été signalés sur les deux appareils après la collision. La FAA a affirmé qu’elle mènera une enquête approfondie sur l’incident. United Airlines a présenté ses excuses aux passagers concernés, réitérant que la sécurité est sa priorité absolue. (Source : air-journal.fr)

Le principal aéroport de Moscou a été fermé à deux reprises dans la nuit de mardi à mercredi en parallèle d’attaques de drones ukrainiens en direction de la capitale russe, selon les autorités, alors qu’une trentaine de dirigeants étrangers doivent y célébrer les 80 ans de la victoire sur l’Allemagne nazie. (Source : lapresse.ca)

Des cockpits aux terminaux, l’aviation se transforme en terrain stratégique pour les cybercriminels, poussant l’industrie à renforcer ses défenses de cybersécurité à tous les niveaux. La sécurité numérique des aéronefs et de leurs infrastructures repose sur une traçabilité rigoureuse, une gouvernance interopérable et l’intégration proactive des technologies émergentes. (Source : itforbusiness.fr)

L’aéroport international DXB s’apprête à moderniser l’ensemble de ses points de contrôle grâce à l’installation de scanners de sécurité de dernière génération, renforçant à la fois la sûreté et l’expérience passager. Le contrat a été attribué par Dubai Aviation Engineering Projects à Smiths Detection, pour le déploiement des scanners HI-SCAN 6040 CTiX Model-S, à tomodensitométrie, reconnus par la TSA américaine et la Conférence européenne de l’aviation civile (CEAC). La grande nouveauté ? Les passagers n’auront plus besoin de retirer leurs appareils électroniques ni leurs liquides de leur bagage cabine lors du passage au contrôle. Grâce à une imagerie 3D haute résolution, les agents de sécurité peuvent visualiser avec précision le contenu des sacs sans les ouvrir, accélérant considérablement le processus. (Source : lepetitjournal.com)

Taux de départ en vacances, budget, destinations… A l’approche de la période estivale, une enquête réalisée par Ipsos pour l’Alliance France Tourisme identifie les grandes tendances pour les vacances de l’été 2025 des Français. Un Français sur deux a l’intention ferme de partir en vacances au moins une semaine cet été, selon le sondage AFT/Ipsos. Par ailleurs, 27% « ont prévu de partir » mais leur décision « peut encore changer ».
Enfin, 23% des Français savent déjà qu’ils ne partiront pas, particulièrement chez les habitants issus des territoires ruraux (31%), les seniors (27%) et les personnes aux revenus modestes (32%), selon ce sondage Ipsos. (Source : lechotouristique.com)