Au mois de mars 2025, les prix des billets d’avion augmentent de 3,7% en glissement annuel, toutes destinations confondues, selon le Baromètre MisterFly/L’Echo (après +3,1% en février). Un taux largement supérieur à l’inflation (+0,8% selon l’Insee). La taxe de solidarité sur les billets d’avion (TSBA) explique en partie cette envolée. « La mise en place de la TSBA a mécaniquement un lien de corrélation avec la hausse globale des prix », explique Frédéric Pilloud, directeur e-commerce de MisterFly. De fait, l’inflation rattrape tous les axes : les vols intérieurs en France (+3,1%), le moyen-courrier (+5,7%), le long-courrier (+3,4%). Les augmentations les plus notables concernent Malte (+24%), la Croatie (+13%), le Royaume-Uni (+13%), l’Italie (+10%) et l’Ile Maurice (+10%). Rares sont les destinations qui profitent d’une baisse tarifaire. Il s’agit principalement de destinations lointaines : le Brésil (-9%), La Réunion (-9%), la Côte d’Ivoire (-6%), l’Indonésie (-4%). (Source : lechotouristique.com)

Les volumes de fret aérien transportés ont baissé légèrement en février 2025 sur une année glissante, selon l’Association du transport aérien international qui a publié ses données mensuelles sur les marchés mondiaux. La demande totale, mesurée en tonnes-kilomètres de chargement, a décliné de 0,1 % par rapport à février 2024 (+0,4 % pour les opérations internationales). C’est le premier déclin depuis la mi-2023. La capacité, mesurée en tonnes-kilomètres de chargement offertes, a diminué de 0,4 % par rapport à février 2024 (+1,1 % pour les opérations internationales). (Source : air-journal.fr)

  IATA : Air Cargo Market Analysis - February 2025

L’aéroport international d’Athènes devra presque doubler sa capacité d’accueil de passagers d’ici 2032, passant de 26 millions à 40 millions de passagers par an d’ici 2032, grâce à un plan d’agrandissement de 650 millions d’euros. La première phase des travaux portera sa capacité à 33 millions de passagers par an d’ici 2028. Le projet prévoit l’extension et la modification du terminal principal, ainsi que la rénovation du terminal satellite. Il prévoit également des rénovations côté piste, avec plus de postes de stationnement pour les avions et plus de passerelles pour débarquer et embarquer les passagers. (Source : air-journal.fr)

La commune belge de Charleroi pourrait imposer une nouvelle taxe aéroportuaire de 3 euros aux passagers qui décollent depuis son aéroport Charleroi-Bruxelles Sud, où opèrent de nombreuses low cost. Une décision qui pourrait être prise « d’ici 2030 » et qui pourrait rapporter à la commune de Charleroi plus de 15 millions d’euros par an avec le flux de passagers au départ. (Source : air-journal.fr)

Grand Poitiers s’est opposé jeudi 3 avril 2025 à l’adoption du budget du Syndicat mixte de l’aéroport de Poitiers-Biard. Grand Poitiers refuse de payer sa contribution de 760.000 € « alors que la ligne Poitiers-Lyon n’est plus opérante depuis dix-huit mois ». Il reproche au SMAPB de constituer une cagnotte. « Vu l’état de nos budgets, le nôtre comme celui du Département, on aurait pu baisser nos contributions. » Qu’en sera-t-il désormais ? Ce sera peut-être à la préfecture d’assurer le contrôle de la légalité estime Gilles Morisseau. Pour Alain Pichon, président du conseil départemental et du SMAPB, le budget a bien été adopté, le conseil départemental représentant à lui seul les deux tiers des voix. (Source : lanouvellerepublique.fr)

L’aéroport de Nîmes, longtemps uniquement desservi par Ryanair, se réjouissait d’accueillir une nouvelle compagnie. Mais Jet Airlines revoit déjà ses ambitions à la baisse, illustrant la fragilité des petits aéroports. Ce rôle désormais central des compagnies à bas coût est particulièrement criant dans la plupart des aéroports français dits « décentralisés ». Au nombre de 150 dans l’Hexagone, souvent gérés par les collectivités locales (régions, départements, agglomérations), ils tentent de survivre sur un marché dominé par les deux grands aéroports de Paris (Roissy-Charles de Gaulle et Orly), et les grands aéroports régionaux (Nice, Lyon, Bordeaux, Nantes). (Source : alternatives-economiques.fr)

Les petits aéroports français, majoritairement déficitaires, sont au cœur d’un débat sur leur utilité économique et sociale. Samedi dernier, l’émission de France Inter « On n’arrête pas l’éco » s’est penché sur le cas de l’aéroport d’Aurillac. Nous reprenons ici les témoignages de voyageurs professionnels utilisant la ligne reliant Paris-Orly à la préfecture du Cantal (opérée par Chalair), en les remplaçant dans le cadre plus large du débat sur l’utilité économique et sociale des aéroports régionaux français. (Source : deplacementspros.com)

Sur la saison d’hiver, de novembre 2024 à mars 2025, l’aéroport de La Rochelle-Île de Ré a accueilli 61 766 passagers contre 38 512 l’année précédente, soit une augmentation de 60,4 %. Et le premier trimestre 2025 a déjà enregistré une hausse de 45,7 % par rapport à 2024. (Source : sudouest.fr)

En mars, Norwegian a accueilli 1 587 550 passagers, tandis que Widerøe en a accueilli 328 385, soit un total de 1 915 935 pour le groupe. La capacité a augmenté de 13 % pour Norwegian, tandis que Widerøe a enregistré une hausse de 9 % par rapport à mars 2024. (Source : air-journal.fr)

La ligne marathon de Singapore Airlines entre l’aéroport Changi de Singapour et l’aéroport George Bush de Houston via l’aéroport de Manchester a officiellement pris fin. La compagnie aérienne nationale Singapore Airlines exploite son dernier service aller-retour sur la plus longue ligne à escale unique au monde, couvrant 10 013 milles nautiques (18 544 km) aller-retour entre Singapour et Houston. (Source : air-journal.fr)

L’Autorité générale de l’aviation civile (GACA) a officiellement délivré un certificat d’exploitation aérienne à Riyadh Air, l’autorisant à démarrer ses opérations aériennes commerciales. Riyadh Aira l’ambition de desservir plus de 100 destinations d’ici 2030, grâce à une commande de plus de 132 appareils (60 A321neo et 72 Boeing 787-9). La compagnie aérienne devrait créer plus de 200 000 emplois directs et indirects et contribuer à hauteur d’environ 19,9 milliards de dollars au PIB non pétrolier du Royaume. Cette licence d’exploitation fait suite à la délivrance d’une licence économique à Riyadh Air en juin 2023. (Source : air-journal.fr)

Air Canada a annoncé l’ajout d’une nouvelle liaison Montréal-Édimbourg et l’augmentation de la fréquence des vols pour des destinations populaires en Europe cet été. (Source : air-journal.fr)

Royal Air Maroc et Mauritania Airlines ont signé le 4 avril au siège de la compagnie nationale à Casablanca un Mémorandum d’Entente ainsi qu’un accord de partage de codes de type « free flow » portant sur la route aérienne directe Casablanca-Nouakchott. Le partenariat, qui vise à développer la ligne Casablanca-Nouakchott, englobe également la maintenance, le manutention, la formation technique et managériale et la digitalisation. (Source : air-journal.fr)

Engagée depuis le début d’année dans une procédure de conciliation avec les autorités pour stabiliser sa situation financière (via une renégociation du remboursement de ses avions et un allègement de certaines charges fiscales) et assurer la pérennité de son redécollage enclenché l’an passé, la compagnie caribéenne voit sa licence d’exploitation transformée. Par un arrêté en date du 3 avril, le ministère de l’Aménagement du territoire et de la décentralisation a modifié la licence d’exploitation d’Air Antilles en une licence temporaire valable jusqu’au 30 juin 2025. Si les raisons ne sont pas évoquées, il s’agit pour la compagnie d’une décision technique censée accompagner une période de transition. (Source : lechotouristique.com)

Avant d’ouvrir une nouvelle liaison vers Montréal en fin de mois, les compagnies aériennes du groupe Dubreuil annoncent des augmentations de fréquences vers les Antilles et la Réunion. (Source : lechotouristique.com)

Après une interruption de 18 mois, British Airways a repris ses vols passagers directs entre Londres Heathrow et Tel Aviv, reliant ainsi le Royaume-Uni et Israël à un moment où la demande de voyages est en constante augmentation. (Source : air-journal.fr)

Le conseil d’administration d’Air Tahiti Nui s’est tenu le vendredi 4 avril. À cette occasion, l’actionnaire majoritaire de la compagnie, à savoir le gouvernement, a nommé Hiro Arbelo en qualité de président du conseil d’administration. Ancien pilote au sein de la compagnie durant 19 ans, il est retraité depuis plusieurs années. Mathieu Bechonnet, qui assurait jusqu’à présent les fonctions de Managing Director, a été relevé de ses fonctions. Cette évolution de gouvernance suscite des interrogations au sein du secteur privé, notamment concernant les orientations que prendront le président du conseil et le directeur général dans la gestion de la compagnie. Dans un contexte concurrentiel renforcé, Air Tahiti Nui devra notamment faire face à l’augmentation de la fréquence des vols opérés par Air France, qui prévoit une desserte quotidienne de la destination durant la saison estivale. (Source : tourMag.com)

Dans les années 1950-1970, âge d’or de l’aviation générale d’après guerre, trois « majors » américaines constituaient le trio de tête pour l’industrie dans ce segment de l’aviation : Cessna, Piper et Beechcraft. Avec le marché intérieur comme tremplin commercial, ils ont exporté dans le monde, monopolisant de nombreux marchés à l’étranger. Ils ont en grande partie façonné l’aviation légère avec des biplaces et quadriplaces rejoignant la flotte des aéro-clubs et des écoles de pilotage. Tour d’horizon de quelques modèles emblématiques. (Source : aerovfr.com)

Les dernières déclarations du délégué ministériel Emmanuel Mercenier, en charge du projet de réaménagement de l’aéroport de Nantes, ont fait réagir le collectif des citoyens exposés au trafic aérien
« C’est irresponsable et faux », dénonce Paolo Ferreira, président du Coceta. Expositions au bruit, études, le collectif de riverains dénonce « la méthode » et les esquisses du projet. (Source : actu.fr)

Dans le cadre de la transition énergétique, l’aviation se tourne vers des e-fuels nécessitant des volumes importants d’électricité bas carbone pour être produits. Or, cette électricité est bien moins taxée que l’électricité destinée à des besoins « primaires », tels que le chauffage ou l’éclairage, comme le détaille mon étude publiée dans Climate Policy. Il convient de rappeler ici quelques ordres de grandeur. En moyenne, l’ensemble des besoins primaires (chauffage, éclairage,…) et secondaires (ici représentés par l’utilisation d’une voiture électrique) d’un Français s’élèvent à environ 5 000 kWh par an. Un unique aller-retour entre Paris et New-York, pour un avion alimenté en e-fuel, représente 7 300 kWh par passager, soit presque moitié plus. Concernant la production, produire 1 kg d’e-fuel requiert environ 37 kWh. Le monde consomme plus de 300 Mt de jet fuel. Convertir la mobilité aérienne à l’e-fuel supposerait plus de 120 000 TWh au niveau mondial, soit 4 fois la production globale actuelle, ce qui peut expliquer pourquoi ce sont les SAF produits à partir de la biomasse qui soient priorisés (ces derniers présentant par ailleurs un meilleur taux de retour énergétique). (Source : connaissancedesenergies.org)

À l’occasion d’une réunion du Conseil pour la recherche aéronautique civile (CORAC) à Toulouse, les ministres des Transports et de l’Industrie ont confirmé le soutien financier de l’État en faveur de la R & D dans l’aéronautique. Un accompagnement nécessaire pour développer de futurs avions bas carbone. (Source : ladepeche.fr)

Nouveau client canadien pour l’ATR 72-600 propulsé par des Pratt & Whitney Canada PW127XT. Après la compagnie aérienne régionale Rise Air, c’est au tour de l’énergéticien Hydro Québec de prendre de l’ATR 72-600 à raison d’une commande pour trois exemplaires fermes auxquels s’ajoute une option. Les livraisons doivent démarrer en septembre 2026. Hydro Québec gère un réseau de 62 centrales hydroélectriques qui nécessite le transport de ses personnels pour toutes sortes de missions. Et au regard des distances, l’avion se révèle un outil plus que nécessaire. (Source : air-cosmos.com)

Airbus aurait livré environ 70 avions en mars 2025, ont indiqué mardi des sources industrielles à l’agence Reuters, soit une hausse d’environ 11% par rapport à mars de l’année dernière. Si ce chiffre est confirmé par l’avionneur européen, qui devra publier ses données mensuelles la semaine prochaine, ses livraisons pour le premier trimestre s’élèveraient à environ 135 appareils, ce qui est inférieur aux 142 appareils livrés au cours de la même période de l’année dernière. Airbus a déjà prévenu que les livraisons du premier trimestre seraient limitées, principalement en raison d’une pénurie de moteurs de la part de son principal motoriste CFM, coentreprise entre Safran et GE qui produit entre autres les moteurs LEAP destinés monocouloirs de la famille A320neo. La semaine dernière, un journaliste de Reuters a vu une poignée d’avions non livrés attendant leurs moteurs lors d’une visite au siège de l’avionneur à Toulouse à l’occasion d’un événement industriel. (Source : air-journal.fr)

Airbus indique avoir reçu une commande ferme d’EVA Air pour six A350-1000 long-courriers et pour trois monocouloirs A321neo, finalisant ainsi un engagement annoncé par cette compagnie aérienne taïwanaise en mars dernier.Ces nouvelles commandes porteront le carnet de commandes d’EVA Air à 24 A350-1000 et 18 A321neo. En tout, à l’échelle mondiale, la famille A350 a reçu plus de 1.360 commandes et l’A321neo, plus de 6.800 depuis son lancement en 2016. (Source : easybourse.com)

La Comac prend son envol dans la galaxie des constructeurs aéronautiques mondiaux. L’avionneur européen Airbus, qui l’a aidée à décoller, s’en mord-il déjà les doigts ? Faute d’avoir raté la révolution industrielle, l’industrie aéronautique chinoise avait travaillé avec des Allemands dans les années 1920, des Italiens dans les années 1930, des Soviétiques dans les années 1950, des Américains et des Français dans les années 1970 et 1980… Or, ne pas avoir d’avion Made in China, c’était se trouver « à la merci des autres », avait déploré le président Xi Jinping en 2014. Comment l’industrie chinoise en général a fait des bonds de géant, pourquoi son aviation civile n’en ferait-elle pas autant ? Et que signifierait cette émergence à l’échelle globale ?. (Source : theconversation.com)

Boeing a de nouveau échappé in extremis à la tenue d’un procès fédéral civil lié au crash d’un 737 MAX 8 d’Ethiopian Airlines en mars 2019, grâce à des accords conclus dimanche. Un procès avec jury populaire, prévu pour durer deux semaines, devait commencer lundi matin à Chicago pour examiner deux plaintes déposées par des proches de victimes du crash - qui a fait 157 morts. « Les deux plaintes ont abouti à un accord dimanche soir », a indiqué lundi à l’AFP le cabinet Clifford, qui représente de nombreux proches des victimes. Cela signifie que le procès, qui aurait été le premier au civil contre Boeing lié à cette catastrophe aérienne, va être annulé en ouverture d’audience. Une source judiciaire avait annoncé dimanche soir à l’AFP qu’une des deux plaintes venait de faire l’objet d’un accord avec l’avionneur, et que les discussions se poursuivaient pour la dernière encore ouverte. Un accord à l’amiable peut intervenir à tout moment, même pendant le procès. (Source : lefigaro.fr)

La justice européenne a déclaré jeudi 3 avril irrecevable une série de questions de droit transmises par le tribunal correctionnel de Paris dans le cadre de la procédure pour homicides involontaires contre la compagnie espagnole Swiftair après le crash de l’avion d’Air Algérie en 2014 au Sahel. (Source : rfi.fr)

Dans les cockpits des avions de ligne, une révolution pourrait se profiler à l’horizon des années 2030 : le copilote humain pourrait être remplacé par une intelligence artificielle. Ce nouveau concept, baptisé Single Pilot Operations (SPO), s’inscrit dans un contexte de pénurie mondiale de pilotes, rapporte New Scientist. Le dispositif ambitionne de rendre les vols commerciaux plus économes et plus flexibles. Mais ce rêve technologique soulève une vague de scepticisme. Lors d’une conférence organisée à Londres par la Royal Aeronautical Society, syndicats de pilotes, experts en sécurité et économistes ont mis en garde contre les dérives d’un ciel où l’humain céderait la place à la machine. (Source : geo.fr)

Une PNC de SAS Scandinavian Airlines a dû faire face à des poursuites judiciaires après avoir échoué à un test d’alcoolémie avant un vol régulier entre l’aéroport d’Arlanda et Copenhague début mars 2025. Les agents l’ont immédiatement extraite de l’avion et l’ont conduite au commissariat d’Arlanda pour un alcootest officiel. (Source : air-journal.fr)

Les attaques au pointeur laser contre les avions ont diminué d’environ 3 % aux États-Unis en 2024. Le nombre total d’attaques reste toutefois dramatiquement élevé, avec plus de 12.000 incidents. (Source : aerobuzz.fr)

Tempête de neige sur Roissy : les forces de l’ordre de l’aéroport parisien Charles-de-Gaulle peinent à gérer le boom de voyageurs transportant de la cocaïne, un phénomène qui atteint un niveau jamais vu et les confronte aux limites de leurs dispositifs. (Source : france24.com)

Déjà perceptible depuis février, la chute en popularité des Etats-Unis et des marques américaines dans le voyage se confirme avec les nouvelles décisions du gouvernement Trump. Selon Tourism Economics, des experts liés à l’université d’Oxford qui analysent les mouvements et tendances du voyage, les politiques et les déclarations de Donald Trump ont provoqué un changement de sentiment négatif à l’égard des États-Unis parmi les voyageurs internationaux. Tourism Economics prévoit désormais une baisse forte des voyages internationaux vers les États-Unis jusqu’à la fin du second mandat de Trump, si aucune inflexion n’est faîte dans sa politique. 2025 devrait même enregistrer la plus forte baisse. En février, Tourism Economics avait déjà prédit un recul de 5,1% des arrivées internationales sur le sol américain, et d’une demande hôtelière en baisse de 0,8%. Cela comparé à une estimation précédente de croissance de 8,8% des arrivées et de 1,1% de la demande pour les hôtels. Les dernières prévisions publiées suite à l’annonce des nouveaux droits de douane font état d’une nouvelle dégradation. Tourism Economics estime maintenant à 9,4% le recul des arrivées de visiteurs internationaux. Il est de fait conditionné à la baisse des arrivées canadiennes, estimée à -20,2%. Cette chute devrait entraîner un recul de 5% des dépenses des visiteurs internationaux aux Etats-Unis. Soit l’équivalent de -9 milliards de dollars. Dont -2,4 milliards pour le seul secteur des transports. (Source : voyages-d-affaires.com)