Le nombre de réservations en mars – pour des vols Canada-États-Unis au cours des six prochains mois – a chuté de plus de 70 % par rapport à la même période l’an dernier, selon une analyse de données de la firme britannique OAG (nouvelle fenêtre), spécialiste du secteur de l’aviation.Les Canadiens continuent de bouder les voyages aux États-Unis en raison de la guerre commerciale du président Donald Trump, ce qui force les transporteurs aériens à ajuster leur offre. Air Canada, la plus grande compagnie aérienne au pays, dit avoir réaffecté "une petite partie" de ses capacités en raison du ralentissement sur le marché transfrontalier, en utilisant des avions plus petits ou en réduisant certaines fréquences. Questionné sur l’impact financier de la guerre commerciale lors de son assemblée générale annuelle lundi, le président du conseil d’administration d’Air Canada, Vagn Ove Sørensen, a répondu que celui-ci représente "environ 10 %" de ses revenus par passager-mille pour les vols Canada-États-Unis des six prochains mois. (Source : ici.radio-canada.ca)

L’aéroport international de Pokhara, au Népal, d’un coût de 215,96 millions de dollars, marque une étape importante avec son premier vol régulier de passagers, qui intervient après son inauguration, et stimulant les perspectives touristiques de la région. Au moins un service hebdomadaire par Himalaya Airlines, une coentreprise entre le Népal et le Tibet, est prévu pour commencer. (Source : air-journal.fr)

Un représentant des compagnies aériennes à Heathrow a indiqué ce mercredi 2 avril avoir alerté les responsables de l’aéroport londonien sur des incidents concernant son alimentation électrique quelques jours avant sa fermeture toute la journée du 21 mars en raison d’une panne. Nigel Wicking, directeur général du comité des opérateurs aériens d’Heathrow, qui représente les compagnies aériennes, a affirmé mercredi lors d’une audition au Parlement britannique avoir partagé ses inquiétudes concernant ce poste de transformation avec plusieurs directeurs de l’aéroport. « C’était après quelques incidents, malheureusement, de vols de fils et de câbles autour de l’alimentation électrique que, dans l’un de ces cas, les lumières de la piste ont été éteintes pendant un certain temps », a-t-il déclaré devant les députés de la Commission des transports. « Cela m’a évidemment inquiété, et j’ai donc soulevé le fait que je voulais mieux comprendre la résilience globale de l’aéroport », a-t-il ajouté. Nigel Wicking dit avoir parlé au directeur de Team Heathrow, groupe englobant l’ensemble des entreprises et personnels travaillant à l’aéroport, le 15 mars, puis avec le chef des opérations et le responsable de la clientèle le 19 mars. (Source : lefigaro.fr)

Alors que l’annonce du possible départ de Ryanair est encore fraîche, l’aéroport marnais se projette déjà en 2026. Des discussions ont été entamées avec d’autres compagnies aériennes. (Source : lest-eclair.fr)

Le géant du transport maritime marseillais a obtenu l’autorisation du Tribunal de commerce du Brabant wallon le 27 mars, après avoir soumis une offre le 19 mars. L’offre comprend la reprise totale des activités cargo d’Air Belgium, ainsi que de sa flotte de quatre appareils : deux Airbus A330-243F [A330-200F]et deux Boeing 747-8F. L’accord d’acquisition vise également à conserver 186 employés sur un total de 401. (Source : air-journal.fr)

Quatre de ces appareils ont été déployés au départ de Francfort depuis le début du programme de vols d’été. Deux autres seront ajoutés en mai et juillet. Ces appareils sont en service sur des lignes vers Séoul et Shanghai depuis le 30 mars. Denver suivra à partir du 1er mai et Seattle à partir du 1er juillet. « Avec le déploiement temporaire d’A350 au départ de Francfort, nous comblons un retard causé par des retards de livraison », explique Jens Ritter, PDG de Lufthansa Airlines. (Source : air-journal.fr)

Cette expansion importante porte le total à 278 lignes pour la saison, renforçant ainsi le rôle de SAS dans la connexion de l’Europe du Nord au reste du monde. Le programme d’été 2025 de SAS marque son plus important déploiement international à ce jour, avec un total de 23 millions de sièges, soit une augmentation de 2,2 millions par rapport à l’année précédente. (Source : air-journal.fr)

Le 31 mars 2025, LOT Polish Airlines a lancé sa dernière nouvelle liaison en Boeing 737 MAX 8 entre Cracovie et Paris-Orly. Pendant les deux premières semaines, des vols de Cracovie à Paris-Orly seront proposés six fois par semaine (tous les jours, sauf le mardi). À partir de mi-avril, les avions de la compagnie nationale polonaise assureront cette liaison quotidiennement. (Source : air-journal.fr)

La Chine autorise le premier service commercial de taxi aérien sans pilote. L’EH216-S d’EHang est prêt à transporter des touristes à Guangzhou et Hefei, inaugurant l’ère de la mobilité aérienne urbaine. (Source : fr.futuroprossimo.it)

La FAA a annoncé une nouvelle réglementation pour protéger les données personnelles des propriétaires d’avions privés. Vendredi 28 mars, l’Agence fédérale de l’aviation américaine (FAA) a annoncé une nouvelle réglementation qui pourrait marquer un tournant pour la confidentialité des vols en jet privé. Leurs propriétaires peuvent désormais demander que certaines de leurs informations personnelles, telles que leur nom et leur adresse, ne soient plus accessibles sur les registres publics. Une initiative qui s’inscrit dans une tendance plus large de chasse aux outils permettant de suivre les déplacements aériens des personnalités, alors que des stars comme Elon Musk ou Taylor Swift mettent en avant de « sérieuses problématiques de sûreté et de vie privée ». (Source : lefigaro.fr)

Aéro Biodiversité publie son rapport national 2024 . L’année 2024 a été marquée par la présence de l’association sur 16 nouvelles plateformes aéroportuaires, une équipe renforcée sur le terrain, le déploiement de nouveaux protocoles d’inventaires nocturnes et l’évolution du label aérobio. (Source : aeromorning.com)

  Aéro Biodiversité : Rapport national 2024

La stratégie de l’UE pour des transports aériens robustes, compétitifs et durables a été présentée lors de la réunion annuelle de l’A4E, à Bruxelles, par le Commissaire aux transports durables et au tourisme, Apostolos Tsitsikostas. En évoquant la nécessité de réduire les émissions de carbone, M. Tzitzikostas a souligné que, au-delà de la protection de l’environnement, il s’agit également de développement, d’indépendance énergétique et de progrès social. Le Commissaire a expliqué que l’élimination des émissions de carbone ne doit pas se faire au détriment de la compétitivité et que l’UE a déjà pris des initiatives pour stimuler la compétitivité, avec la révision imminente du règlement sur les services aériens, qui se concentre sur la compétitivité internationale, la réduction de la bureaucratie et la révision des réglementations économiques des aéroports déjà en cours. (Source : europeannewsroom.com)

Les efforts visant à atteindre la neutralité carbone d’ici 2050 partent dans la mauvaise direction, selon le directeur de l’Association du transport aérien international, qui accuse les compagnies pétrolières et le reste du secteur de l’aviation de traîner les pieds. En 2021, les compagnies aériennes se sont engagées à atteindre la neutralité carbone d’ici 2050, principalement par le biais d’une transition progressive vers le carburant d’aviation durable (SAF). Cependant, des tensions sont apparues entre les compagnies aériennes et les aéroports, les constructeurs, les régulateurs aériens et les entreprises du secteur de l’énergie. "Nous allons devoir réévaluer l’engagement en faveur de l’objectif zéro net en 2050, car nous n’obtenons tout simplement pas le soutien dont les compagnies aériennes ont besoin", a-t-il déclaré. (Source : latribune.fr)

L’aéroport de Zurich propose d’augmenter les taxes d’atterrissage pour les avions les plus bruyants. L’Office fédéral de l’aviation civile a défini de nouvelles surtaxes appliquées aux taxes d’atterrissage liées au bruit ainsi qu’une nouvelle classification des classes de bruit, qui correspondent à cette proposition. Les nouvelles taxes liées au bruit entreront en vigueur à Zurich au plus tard début 2027. (Source : admin.ch)

Après Rezé, Saint-Aignan-de-Grandlieu et Bouguenais, les services de l’État organisaient, à Nantes, ce mardi 1er avril, un dernier rendez-vous pour informer les habitants sur le projet de réaménagement de Nantes-Atlantique. (Source : ouest-france.fr)

En 2023, les émissions liées aux voyages d’affaires de 239 multinationales étaient inférieures de 34% à celles de 2019, selon la dernière analyse de la campagne Travel Smart. Si le recours à l’avion pour les déplacements professionnels reste en retrait par rapport au niveau pré-covid, cette tendance pourrait néanmoins être fragilisée. En effet, près de la moitié des 326 entreprises évaluées (44%) [2] n’ont pas fixé d’objectifs dédiés de réduction des émissions liées à leurs voyages d’affaires. (Source : transportenvironment.org)

Les dirigeants des principales compagnies aériennes européennes se sont réunis au Airlines for Europe (A4E) Summit. Pour des échanges parfois tendus autour des carburants durables. Prenant acte de ces constats, Carsten Spohr, CEO de Lufthansa Group, a sur la nécessité d’une "approche pragmatique et progressive" qui tienne compte des réalités industrielles et économiques du secteur, incluant le report de l’échéance 2030. Face à ces demandes, Apostolos Tzitzikostas, Commissaire européen pour le Transport durable et le Tourisme, a maintenu une position ferme : "La Commission entend les préoccupations du secteur aérien, mais nous ne reviendrons pas sur nos objectifs climatiques. Le Pacte vert européen est non négociable." Tout en ouvrant la porte à des mesures d’accompagnement : "Nous sommes prêts à discuter des moyens d’accompagner cette transition." Pascal Canfin, Président de la commission Environnement du Parlement européen, a été encore plus catégorique : "Les compagnies aériennes ne peuvent pas continuer à repousser leurs obligations climatiques. Le secteur a bénéficié d’aides massives pendant la pandémie, il est temps qu’il prenne ses responsabilités. Nous n’accepterons aucun recul sur le calendrier d’incorporation des SAF ou sur la taxation du kérosène." (Source : deplacementspros.com)

Attendu face à une commission du Sénat, Kelly Ortberg a pris les devants en rendant publique la déclaration qu’il prononcera en préambule de son audition. Le PDG de l’avionneur fait "le serment de procéder à tous les changements nécessaires pour que cela ne se reproduise jamais", en reférence aux deux accidents de 737 MAX, qui avaient fait 346 morts en l’espace de six mois entre 2018 et 2019. (Source : boursorama.com)

Turkish Aerospace et Embraer ont signé un protocole d’accord pour explorer une coopération industrielle potentielle. Cette dernière pourrait comprendre la production d’E Jets E2 ainsi que la recherche et le développement. (Source : air-cosmos.com)

Attention aux voyageurs se rendant au Royaume-Uni ou planifiant un voyage vers ce pays. Le mercredi 2 avril 2025 marque en effet l’application de l’Electronic Travel Authorization (Autorisation électronique de voyage ou ETA) aux voyageurs de l’Union Européenne. Cette autorisation était déjà devenue obligatoire pour les voyageurs des autres continents. Le document concerne les voyages au Royaume-Uni pour les loisirs, les activités professionnelles autorisées, les études de courte durée et le transit terrestre (contrôle frontalier lors de la correspondance avec un vol de retour). La durée de séjour accordée par le Royaume-Uni est de six mois maximum. L’ETA cache une autre mauvaise surprise pour les voyageurs. Son coût de 10 livres sterling, soit environ 12 €, augmente dès ce 9 avril. Il passera en effet à 16 livres, soit environ 19 €. Il est également recommandé lors de la première demande, de ne pas s’y prendre à la dernière minute. En effet, il faut un temps moyen de traitement de trois jours ouvrés pour recevoir son ETA en ligne. (Source : voyages-d-affaires.com)

Un véhicule utilisé par les services d’entretien de l’aéroport d’Orly est entré en collision avec un Airbus A320 d’EasyJet en stationnement dans la nuit du dimanche 30 au lundi 31 mars. Le conducteur aurait fait un malaise. Il a été évacué vers un hôpital. EasyJet a annoncé que l’avion percuté devait faire « l’objet des inspections et réparations nécessaires, conformément aux consignes du fabricant ». Le vol vers Rome a été annulé. Les passagers « seront acheminés vers leur lieu de destination sur d’autres vols de la journée », a indiqué ADP. Aucune autre perturbation du trafic aérien n’a été enregistrée. (Source : ouest-france.fr)

La sénatrice démocrate Maria Cantwell a demandé mardi à l’Administration fédérale de l’aviation de répondre à des préoccupations essentielles avant de décider de prolonger ou non un programme qui permet à Boeing BA.N d’effectuer des tâches déléguées par la FAA telles que des inspections et l’approbation de réparations. (Source : boursorama.com)

Le salon Rendez-vous en France, qui se tient à Lyon jusqu’au 2 avril, est l’occasion de constater l’attrait du marché américain pour la destination France. Aucun membre des Comités régionaux de tourisme rencontrés dans les allées du salon n’a observé un « effet Trump » sur le secteur loisir, bien au contraire. Paris, Auvergne-Rhône-Alpes ou encore Nouvelle Aquitaine : partout sont évoquées des arrivées et des réservations en hausse par rapport à il y a un an. (Source : lechotouristique.com)

Cette semaine, la bataille du rail se concentre sur l’axe Paris-Milan. Lundi 31 mars, la SNCF a repris la liaison, au rythme de trois allers-retours par jour, soit 2 000 sièges. Demain, la compagnie italienne Trenitalia redémarrera la sienne, à raison de deux allers-retours quotidiens. « Il y a un véritable appétit pour cette liaison », a insisté Christophe Fanichet, PDG de SNCF Voyageurs, lors d’un point presse. La ligne entre Paris, les Alpes, Turin et Milan enregistre « plus de 110 000 réservations jusqu’au mois d’août, soit 8% de croissance versus 2023 », a-t-il ajouté. Le taux d’occupation prévisionnel s’élève à 70%. Depuis Paris, le trajet jusqu’à Milan dure sept heures, ce qui est nettement plus long qu’en avion. Mais pour Christophe Fanichet, la barrière du temps « s’est effacée », notamment au regard des préoccupations écologiques. Les voyageurs, dans le loisir, acceptent sept heures de transport, contre 3 à 4 heures par le passé, complète le patron de SNCF Voyageurs. C’est la raison pour laquelle les trains Paris-Barcelone, Paris-Vienne et Paris-Berlin rencontrent leurs publics. « Nous observons un engouement européen pour le train. » « Nous célébrons aujourd’hui une nouvelle étape de notre ambition européenne pour SNCF Voyageurs, a-t-il souligné. Aujourd’hui, le trafic européen représente 22% de notre trafic de grande vitesse. Nous souhaitons atteindre 30% en 2030. » En Europe, SNCF Voyageurs représenterait 40% des voyages ferroviaires à grande vitesse. (Source : lechotouristique.com)