Vinci, qui avait la gestion de l’aéroport d’Ancenis depuis 2011, passe la main. C’est Eidis concessions qui reprendra, mi-avril, l’installation aéroportuaire. En 2023 – les données de 2024 n’ont pas encore été communiquées – l’aéroport d’Ancenis servait majoritairement à l’aéroclub local (78 % de l’activité). Les 22 % restants sont des vols commerciaux et de l’aviation d’affaires. (Source : ouest-france.fr)

« Après des décennies d’exploitation, une rénovation de la piste principale de l’EuroAirport est nécessaire. Les travaux de réfection sont prévus au printemps 2026. Pour des raisons de sécurité, ils nécessiteront une fermeture complète de la piste pour une période approximative d’un mois », explique la structure. (Source : actu.fr)

L’aéroport international d’Heathrow, contraint à la fermeture vendredi en raison d’une panne d’électricité, aurait pu continuer à être alimenté et rester ouvert, a critiqué lundi le patron de l’opérateur du réseau électrique dans le Financial Times. John Pettigrew, le directeur général du National Grid, (l’opérateur du réseau électrique) a reconnu que l’incident était "un événement unique". Il a cependant critiqué la fermeture de l’aéroport vendredi, estimant que celui-ci n’avait jamais manqué de capacité électrique. "Il n’y a pas eu de manque de capacité de la part des sous-stations" , a-t-il déclaré, affirmant que deux autres postes électriques étaient disponibles. "Chaque sous-station pouvait fournir suffisamment d’électricité à Heathrow", a-t-il encore dit. (Source : zonebourse.com)

  francetvinfo.fr : Le gouvernement britannique ordonne une enquête indépendante sur la panne de courant à l’aéroport de Heathrow - Le ministre de l’Energie britannique s’est dit, samedi 22 mars, "déterminé" à ce que son pays "tire des leçons" de la panne d’électricité qui a paralysé l’aéroport londonien de Heathrow. La veille, l’aéroport avait dû fermer après une coupure totale de courant, causée par un incendie dans un poste de transformation électrique. La police de Londres et les pompiers ont déclaré qu’ils ne considéraient pas cet incendie comme suspect. L’enquête se concentre sur l’équipement de distribution électrique. Face aux critiques qui montent après cet incident majeur, le ministre de l’Energie a ordonné samedi à l’exploitant du système énergétique national d’"enquêter de toute urgence" sur la panne de courant, pour que cela "ne se reproduise plus".

United Airlines a annoncé des changements importants à son programme de vols estival 2025, notamment une réduction du service vers les destinations canadiennes. Ces changements laissent entrevoir une diminution potentielle des voyages canadiens prévus aux États-Unis au cours de la prochaine saison estivale. Air Canada a également annoncé d’importantes réductions de capacité vers les destinations loisirs des États-Unis à compter de mars 2025, en réponse à l’évolution des habitudes de voyage des voyageurs canadiens, dans le contexte des menaces tarifaires du président Donald Trump et des changements réglementaires à venir. (Source : air-journal.fr)

Aegean veut se développer sur le marché des vols low-costs via des participations. Ainsi Aegean avait investi 25 millions d’euros dans Volotea en 2024 pour prendre 13 % du capital de Volotea avant d’agumenter encore sa part à 31 millions. Elle détient aujourd’hui 17 % du capital de la compagnie low-cost espagnole et souhaiterait augmenter celle-ci à 21 % dans les 3 à 4 prochains mois, soit un investissement additionnel de 25 millions d’euros. (Source : businesstravel.fr)

Déménagement à l’aéroport de La Tontouta, hausse du prix des billets, avions immobilisés et passagers bloqués. Depuis des mois, Air Calédonie ne cesse de faire parler d’elle et la colère des usagers, notamment des îles Loyauté, gronde. Le gouvernement, actionnaire majoritaire, a enclenché la vitesse supérieure pour sauver la compagnie. Explications. (Source : la1ere.francetvinfo.fr)

Zurich - Olbia : 613 fr. aller, pareil pour le retour. A ce prix, c’est en jet de 16 places qu’une compagnie propose de transporter vers la Sardaigne le voyageur cherchant une expérience premium, sans débourser ce que coûterait un « vrai » jet privé. Principale différence avec le modèle le plus exclusif : l’avion part à une heure précise, indépendante de la volonté des passagers. Mais l’embarquement se fait dans un terminal séparé de celui du commun des mortels se dirigeant vers un avion de ligne. L’offre est en plein essor, révèle la « SonntagsZeitung ». La compagnie qui la propose, Travelcoup, est en train d’étendre ses offres avec 13 nouvelles destinations cet été, dont un aller-retour hebdomadaire entre Berne et Ibiza pour 1458 fr. « Nous comblons une lacune sur le marché, et il existe une demande », explique Maurice Gauch, porte-parole de la société basée à Obwald. Et la Suisse est un marché attractif pour la société. « On y trouve une clientèle à fort pouvoir d’achat et aimant voyager, qui attache de l’importance au confort, à l’efficacité et à l’exclusivité ». L’Office fédéral de l’aviation civile montre que le trafic des jets privés est en légère augmentation, de 50’700 vols en 2014 à 52’900 en 2024 dans les principaux aéroports et aérodromes du pays. Et la catégorie des vols « taxis », qui comprend notamment l’offre de Travelcoup, a augmenté de 18% sur 10 ans. « Nous sommes favorables à une interdiction des vols en jet privé », au niveau communal ou régional, déclare Roland Gysin de Greenpeace. Il critique aussi l’appellation « semi-privé » qui ferait oublier qu’il s’agit bien de vols avec des jets privés. (Source : 20min.ch)

L’UE a décidé de rouvrir le dossier des droits des passagers aériens, permettant de réviser règlement datant de 2004. Le réseau des Centres Européens des Consommateurs, qui craint une menace sur 20 ans d’avancée en la matière a émis ses recommandations pour une législation européenne qui allie transparence et protection des consommateurs. (Source : air-journal.fr)

Le Réseau Action Climat prône l’introduction d’une « taxe grands voyageurs » pour pénaliser « les riches urbains », principaux utilisateurs d’avions. Pour cette fédération de groupes environnementaux, la baisse du trafic aérien est le seul moyen efficace pour réduire les émissions de gaz, responsables du réchauffement climatique. Pour réduire cet impact, les compagnies aériennes promeuvent des solutions technologiques comme les carburants de synthèse ou les biocarburants. Mais, pour Réseau Action Climat, ces mesures « sont insuffisantes à elles seules pour respecter l’accord de Paris » de maintenir en dessous de 2 °C voire de limiter à + 1,5 °C par rapport aux niveaux préindustriel le réchauffement climatique d’ici à 2100. Réseau Action Climat estime, au contraire, impératif de réduire dès maintenant le trafic aérien. Leur mesure phare ? La création d’une « taxe grands voyageurs » qui fonctionnerait à l’inverse du système de fidélités des miles : plus un passager prend l’avion, plus le prix unitaire d’un billet augmente. (Source : msn.com)

Ce vendredi 21 mars 2025, le comité de l’aéroport Nantes-Atlantique, s’est réuni pour la quatrième fois. Emmanuel Mercenier, délégué ministériel, a fait un point d’étape. (Source : actu.fr)

Le collectif des riverains estime que l’État, qui promet une baisse des nuisances d’ici 2030, s’arrange avec les chiffres pour mieux justifier le maintien de l’aéroport à Nantes-Atlantique. Tandis que l’État vante son nouveau plan de lutte contre le bruit, dans lequel figurent une trentaine d’engagements des compagnies (objectifs de flotte moins bruyante et de programmation des vols plus en amont du couvre-feu, notamment), la militante tranche : « Ce plan repose sur du sable, puisque les engagements des compagnies n’ont aucune contrainte légale ni contractuelle. » À l’instar des maires des communes les plus touchées par les nuisances (Saint-Aignan, Bouguenais, Rezé), le Coceta regrette qu’« aucune étude d’impact économique » pouvant déboucher sur de nouvelles restrictions (plafonnement des vols ou extension horaire du couvre-feu) ne soit prévue. (Source : ouest-france.fr)

Korean Air s’apprête à finaliser un protocole d’accord signé au salon aéronautique de Farnborough 2024 pour 20 Boeing 777-9 et 20 Boeing 787-10. (Source : air-journal.fr)

Le croisement entre le développement des technologies des piles à combustible et la volonté mondiale de rendre le secteur de l’aviation plus durable crée un espace sur le marché pour les avions à hydrogène, qui constituent une approche pour rendre les voyages aériens plus durables. Les rapports d’IDTechEx, « Sustainable Future Aviation 2025-2045 : Trends, Technologies, Forecasts » et « Sustainable Biofuels & E-Fuels Market 2025-2035 : Technologies, Players, Forecasts », se concentrent sur les technologies émergentes liées à la décarbonisation de l’industrie aéronautique. Airbus, l’un des principaux constructeurs d’avions opérant en Europe, s’était fixé pour objectif de commercialiser un avion fonctionnant à l’hydrogène d’ici le milieu des années 2030, ouvrant ainsi la voie à un transport aérien plus durable. Cependant, des informations récentes ont indiqué que cet objectif serait retardé en raison d’une sous-estimation du temps nécessaire à l’installation des infrastructures et des technologies requises pour lancer l’aviation à hydrogène. La nouvelle date de lancement prévue pour le projet se situe désormais dans les années 2040, ce qui met en évidence les défis liés à cette nouvelle technologie, en particulier dans un secteur aussi vaste que l’industrie aéronautique. (Source : infotravel.fr)

L’avion de ligne russe Superjet 100 a effectué son premier vol d’essai en utilisant le moteur PD-8 de fabrication russe, a annoncé le conglomérat industriel et de défense d’État Rostec qui supervise le secteur aéronautique russe. Le vol d’essai, qui a eu lieu lundi dans la ville extrême-orientale de Komsomolsk-sur-Amour, a duré environ 40 minutes, atteignant des vitesses de 500 kilomètres par heure et une altitude de 3 000 mètres. Le Superjet 100, baptisé SJ-100, est un avion régional initialement motorisé par deux réacteurs SaM146 produits par PowerJet, une joint-venture entre le français Safran Aircraft Engines et le russe NPO Saturn. Après l’invasion russe de l’Ukraine en 2022 et l’embargo imposé à la Russie, Safran s’est retiré du programme, mettant fin à la production du SaM146. Rostec a alors lancé le développement d’un réacteur russe via le programme PD-8 pour motoriser le SJ-100. (Source : air-journal.fr)

Depuis l’accident du vol de la Germanwings, il y a 10 ans, l’AESA a édicté plusieurs nouvelles règles. Le but est d’éviter qu’un pilote puisse détourner un avion comme ce fut le cas lors de ce drame. (Source : latribune.fr)

  france24.com : Dix ans après le crash de la Germanwings, un hommage aux victimes dans les Alpes françaises - Environ 400 personnes se sont rassemblées lundi pour assister à une cérémonie de recueillement dans la commune du Vernet, dans les Alpes-de-Haute-Provence, rendant hommage aux victimes du crash d’un avion de la compagnie Germanwings, survenu il y 10 ans.

La convention de l’Organisation de l’aviation civile internationale exige que le pays menant une enquête sur un accident aérien publie son rapport final dans les 12 mois suivant l’événement. À défaut, l’autorité chargée de l’enquête doit publier une mise à jour annuelle à l’occasion de l’anniversaire de l’accident. Au lieu d’un rapport final sur le crash du Boeing 737-800, l’Administration de l’aviation civile de Chine a publié des mises à jour en 2023 et 2024. Mais elle ne l’a pas fait vendredi pour le troisième anniversaire. (Source : air-journal.fr)

Les pilotes d’un Airbus A320-200, ont effectué le 20 mars un atterrissage d’urgence à Fuzhou, en Chine, après qu’un incendie s’est déclaré en vol dans un compartiment supérieur. (Source : air-journal.fr)

Mercredi 19 mars, le vol Air France en provenance de Paris a effectué un atterrissage d’urgence à Nice en raison d’un pneu éclaté. Des hôtesses de l’air ont commencé à informer les passagers proches des issues de secours. Le commandant de bord a ensuite pris la parole pour rassurer les passagers : une piste plus longue avait été assignée et les secours étaient prêts à intervenir. L’atterrissage s’est finalement bien déroulé. Vendredi 21 mars, le vol Air France AF750 de Paris-Orly à destination de Pointe-à-Pitrea fait demi-tour après la perte d’un téléphone portable d’un passager à bord. Le 6 février dernier, un incident semblable s’est produit sur un vol Air France reliant Paris-CDG à Fort-de-France. Le téléphone d’un passager avait glissé à travers une grille d’aération au niveau de la cuisne, et s’était retrouvé dans une zone inaccessible dans la soute. Craignant que la batterie au lithium du téléphone ait été endommagée, engendrant un risque d’incendie, l’équipage avait décidé de dérouter le vol vers Paris-CDG par mesure de précaution. (Source : air-journal.fr)

L’aéroport de Lyon Saint-Exupéry a été le théâtre d’un étonnant incident de sécurité, dimanche matin. Selon nos informations, une voyageuse, qui transportait un ou des produits interdits, s’est elle-même signalée à du personnel à l’intérieur des installations, après avoir passé sans difficultés les portiques de sécurité de l’un des terminaux. Par précaution, après la détection de cette faille sécuritaire, le parcours de la voyageuse à l’intérieur de l’aéroport a été vérifié, notamment pour s’assurer qu’elle n’avait rien remis de dangereux à un autre individu. Les décollages de six avions ont été reportés, le temps d’écarter tout risque. Ces vols ont enregistré jusqu’à près de 45 minutes de retard, a indiqué au Progrès le service communication de l’aéroport de Lyon, qui n’a pas souhaité « donner des informations sur le contexte » de l’événement et « les aspects sécurité ». (Source : leprogres.fr)

Un homme soupçonné de préparer un projet d’attentat avec un drone a été interpellé en début de semaine au domicile de ses parents, à Meaux, rapporte « Le Parisien ». Ce jeune homme d’une vingtaine d’années a été mis en examen par un juge du pôle antiterroriste de Paris. Il serait parti en zone de combat irako-syrienne avant de rentrer en France, il y a un an. Il aurait été repéré par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) après avoir fait des recherches en ligne sur la fabrication d’explosifs. Le suspect, qui souffrirait de troubles schizophréniques, aurait acheté un drone ainsi que du matériel pour transporter une charge explosive. Mais lors de la perquisition chez ses parents, aucun engin explosif n’aurait été retrouvé. Le jeune homme aurait nié toute implication dans un projet d’attaque terroriste devant le juge d’instruction, selon nos confrères. (Source : sudouest.fr)