L’année qui s’achève n’aura pas été de tout repos pour les voyageurs d’affaires. C’est ce que pointe une étude publiée par TravelPerk, selon laquelle 78% des professionnels nomades en 2024. Ce rapport annuel intitulé Travel Disruption Report – le deuxième publié par la plateforme de gestion des voyages d’affaires – estime en outre que 43% des voyageurs ont été confrontés à des retards de plus d’une heure en 2024. Et plus d’un voyageur d’affaires sur quatre (27%) a dû faire face à une annulation pure et simple. (Source : voyages-d-affaires.com)

Ah, les aéroports, ces lieux magiques où l’on apprend la patience… et où certains passagers, visiblement plus pressés que les autres, s’inventent des passe-droits. Mais American Airlines a décidé de lutter contre ces énergumènes de la pire espèce grâce à une technologie révolutionnaire…Désormais, dès lors qu’une personne essaiera d’embarquer dans l’avion alors que ce n’est pas encore son tour, elle entendra un « bip bip » sonore et une gentille invitation à retourner dans la file d’attente afin d’attendre son tour. La compagnie aérienne vient d’installer un nouveau système dans plus de 100 aéroports américains pour traquer les « grugeurs ». Testé dans trois aéroports (Albuquerque, Tucson et Washington Reagan), ce dispositif analyse les cartes d’embarquement et bloque les tentatives d’intrusion intempestives. Résultat ? Une petite humiliation publique, mais surtout une grande victoire pour l’ordre et la justice dans les zones d’embarquement. (Source : tom.travel)

L’assemblée générale mensuelle de la CCI Nice Côte d’Azur a été particulièrement suivie hier par les dirigeants d’entreprises azuréens. A l’ordre du jour : le projet de suppression de la navette Nice-Orly par Air France avec son remplacement par Transavia dès l’été 2026 et en invité Olivier Mazzucchelli, Pdg de Transavia, pour échanger autour des résultats d’une enquête sur les habitudes de transport aérien des entreprises azuréennes sur cette liaison. Un cordon ombilical essentiel pour Nice avec 3 millions de passagers annuels dont les deux tiers pour Orly. et le reste sur Paris Charles de Gaulle. L’enquête ? Elle montre que plus de 90 % des dirigeants interrogés volent sur Orly, que plus de 80% utilisent Air France et que les trois quarts d’entre eux estiment que l’arrêt des navettes de la compagnie nationale impactera leurs activités. Les réponses apportées hier par le Pdg de Transavia ne les ont pas forcément rendus optimistes. Il y aura moins de vols quotidiens (14 avec la navette d’Air France), mais le service, c’est promis, sera au moins à l’égal de celui d’Air France avec de nouveaux Airbus 320 Neo. Quant aux tarifs, ils seraient moins élevés de l’ordre de 30% sans toutefois plus de précision. Tout le monde, aussi, attend de voir. (Source : webtimemedias.com)

Rien ne va plus au Syndicat Mixte de Pierrefonds. Les élus chargés de la gestion de l’aéroport n’arrivent pas à trouver un terrain d’entente pour sauver la structure. Le dernier comité syndical n’a finalement pas pu se tenir. Le torchon brûle entre la Civis et la Casud, avec au milieu du conflit, des employés en plein désarroi. (Source : la1ere.francetvinfo.fr)

Jamais au cours des plus de 20 ans de coopération entre Lufthansa et la Deutsche Bahn, autant de voyageurs n’ont opté pour l’offre commune qu’en 2024. Depuis le début de l’année, 432 000 voyageurs ont opté pour le Lufthansa Express Rail au départ et à destination de l’aéroport de Francfort. En octobre 2024, le résultat de l’année précédente a été dépassé de 28 %. À la fin de l’année, plus de 500 000 réservations ont été confirmées. (Source : air-journal.fr)

Air France s’est associé à Kolet, start-up française spécialiste de la technologie eSIM, pour proposer à ses clients une offre de connectivité disponible dans plus de 190 pays à des tarifs préférentiels. (Source : air-journal.fr)

China Southern Airlines a lancé le 19 novembre un appel d’offres pour vendre sa flotte complète de 10 avions Boeing 787-8, dont deux moteurs GE Aerospace GEnx-1B. La compagnie aérienne maintient les opérations de la variante plus grande du Boeing 787-9. (Source : air-journal.fr)

Le groupe mauricien IBL fait son entrée dans le capital de Run Air, actionnaire majoritaire d’Air Austral. Une participation limitée, mais stratégique, validée par la Région dans le cadre du plan de restructuration de la compagnie. Cette opération intervient dans le cadre du dernier plan de restructuration, adopté récemment par la Région, qui prévoit un apport total de 15 millions d’euros, répartis entre les actionnaires privés et publics : 8,25 millions de Run Air et 6,75 millions de la Sematra qui devaient être injectés avant le 16 novembre, tandis qu’une recherche active de financements additionnels était en cours pour maintenir le cap au-delà de cette date critique. (Source : zinfos974.com)

Atos a annoncé avoir été à nouveau choisi par Eurocontrol pour continuer à soutenir ses services critiques de gestion de l’espace aérien et de l’aviation en Europe. Eurocontrol "bénéficiera de services de surveillance des infrastructures critiques et de cybersécurité 24 heures sur 24, 7 jours sur 7". Le contrat comprend notamment le déploiement de la première solution de cloud public multi-régions pour les applications de gestion du trafic aérien, entièrement accréditée par l’Agence de la Sécurité Aérienne de l’Union Européenne. (Source : zonebourse.com)

« Le trafic aérien est presque revenu à son niveau d’avant la pandémie, a déclaré Dietrich Brockhagen, directeur général d’Atmosfair. Malheureusement, les compagnies aériennes ont encore réduit leurs efforts déjà faibles par rapport à la décennie d’avant-pandémie. Elles ne parviennent même pas à atteindre les objectifs de l’OACI en matière de protection de l’environnement ». Selon l’ONG, en 2023, première année sans distorsion Covid, les compagnies aériennes ont amélioré leur efficacité carbone d’un peu moins de 6 % par rapport à l’année 2019. Soit une augmentation annuelle moyenne de 1,4 % de cette efficacité. Or, avec l’augmentation continue du volume du transport aérien, Atmosfair indique que l’objectif annuel moyen devrait se situer à environ 4 % pour atteindre les objectifs climatiques de Paris et au moins stopper la hausse des émissions de CO₂. Les progrès rapportés par les compagnies aériennes ne correspondent même pas aux objectifs de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI) en matière d’efficacité énergétique. Qui recommande une augmentation annuelle de 2 % de l’efficacité. (Source : voyages-d-affaires.com)

A partir du 1er janvier 2025, l’aéroport de Genève pénalisera les décollages après 22h pour respecter les limites de bruit imposées par la Confédération. Annoncée cet été, cette mesure vise à inciter les compagnies aériennes à modifier leurs horaires. La RTS en a appris davantage sur sa mise en œuvre. Concrètement, chaque compagnie aérienne aura un quota de points à sa disposition et tout décollage tardif coûtera un certain nombre de points selon l’ancienneté de l’avion. "Cela veut dire, par exemple, qu’un Airbus 320 classique de modèle ancien vaut un point, alors qu’un avion Airbus A320 NEO avec la dernière motorisation vaut un huitième de point", illustre Giovanni Russo, directeur des opérations, mardi au micro de La Matinale. Autrement dit, une compagnie pourra réaliser huit décollages tardifs avec un avion de dernière génération pour le même nombre de points qu’avec un avion plus ancien. C’est seulement une fois l’ensemble des points utilisés - 500 selon les informations de la RTS - que des amendes seront infligées. Elles iront de 5000 à 40’000 francs par décollage en retard. (Source : rts.ch)

Le récent vol polaire de SAS de Copenhague à Los Angeles, dans le cadre de The Aviation Challenge (TAC), a permis de réduire de près de 20 % les émissions de CO₂ par passager, « une étape importante en termes d’efficacité énergétique et de réduction des émissions », affirme la compagnie scandinave. Ce vol montre comment la planification et l’optimisation stratégique des itinéraires peuvent avoir un impact considérable sur la réduction de l’empreinte environnementale de l’aviation. En gérant soigneusement la répartition du fret et la charge des passagers, SAS a optimisé la consommation de carburant pour les 285 passagers à bord, créant ainsi une charge équilibrée qui minimise la consommation de carburant. Cette configuration économe en carburant, associée à une collaboration en temps réel avec le contrôle aérien, a permis à SAS d’ajuster l’altitude de croisière et la trajectoire de vol pour réaliser des économies supplémentaires, réduisant ainsi de 250 kilos supplémentaires la consommation de carburant et entraînant des réductions substantielles des émissions. (Source : air-journal.fr)

Le gouvernement prévoit de donner un avis favorable à l’instauration d’un crédit d’impôt pour l’achat de carburant d’aviation durable, dans le cadre du projet de loi de finances 2025, a rapporté mardi le journal Les Echos. "L’amendement du sénateur Capo-Canellas prévoit la possibilité pour les compagnies aériennes de déduire de l’impôt sur les sociétés jusqu’à 50% de la différence de coût entre le kérosène d’origine fossile et les carburants d’aviation durable", a indiqué le quotidien, rappelant que les CAD sont aujourd’hui quatre à cinq fois plus chers. La seule condition est de payer des impôts en France et d’utiliser des carburants d’aviation durable produits en France ou dans l’Union européenne. (Source : zonebourse.com)

Heart Aerospace, le constructeur suédois d’avions hybrides-électriques, prévoit d’effectuer le premier vol expérimental entièrement électrique de son avion démonstrateur, Heart Experimental 1 (Heart X1), à l’aéroport international de Plattsburgh, au nord de l’État de New York, en 2025. marquera une étape cruciale dans le développement par Heart Aerospace de son avion de transport régional de passagers hybride-électrique de 30 places, l’ES-30. Le constructeur suédois annonce une autonomie de 200 kilomètres en mode tout électrique et zéro émission, et une autonomie hybride étendue à 400 kilomètres, avec "une efficacité inégalée sur les itinéraires court-courriers". Le vol expérimental initial du démonstrateur Heart X1 est conçu pour valider les capacités de la technologie innovante de propulsion électrique de Heart. (Source : air-cosmos.com)

Après le crash d’un avion-cargo en Lituanie, les recherches se poursuivent pour déterminer les causes de l’accident. Selon les autorités, il est encore trop tôt pour donner des réponses concrètes. Jusqu’à présent, rien n’indique qu’un sabotage ou une attaque terroriste ait provoqué le crash de l’avion de Swift Air, qui reliait Leipzig à Vilnius pour le compte de DHL. On ne sait pas exactement ce qui s’est passé. Il n’est pas exclu que la Russie puisse être impliquée. (Source : zonebourse.com)

La ministre allemande des Affaires étrangères a affirmé ce lundi que le crash en Lituanie d’un avion cargo parti d’Allemagne pouvait être "un accident ou un incident hybride" lié à une intervention extérieure. (Source : bfmtv.com)

Un vol d’American Airlines à destination de Miami, parti de Sao Paulo, a dû retourner d’urgence vers son aéroport de départ, samedi soir, après que de fortes turbulences ont blessé un passager -il a une jambe cassée- alors que plusieurs autres passagers et membres d’équipage l’ont été légèrement. Un porte-parole de la compagnie aérienne a confirmé que l’avion avait atterri en toute sécurité à São Paulo « après avoir rencontré des turbulences en vol ». « Nous remercions les membres de notre équipage pour leur professionnalisme et nos clients pour leur compréhension », a-t-il ajouté. (Source : air-journal.fr)

Vendredi soir dernier, des trafiquants de drogue ont tenté de récupérer 23 kg de cocaïne -intercepté un peu plus tôt auprès d’une passagère colombienne- dans les locaux de l’Office antistupéfiants (Ofast) à l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle. C’est en tous les cas la piste privilégiée par les enquêteurs de la PJ sur la tentative de cambriolage de l’Ofast. Les malfaiteurs ont eu le temps de provoquer d’importants dégâts (porte vitrée détruite et signe de forçage sur plusieurs portes dont une blindée) mais ne sont pas parvenus à entrer dans la pièce où se trouvait la drogue. Ils ont réussi à prendre la fuite avant l’arrivée des forces de l’ordre, prévenus par un système d’alarme quelques instants plus tôt. Il apparaît que les trafiquants présumés avaient dissimulé dans la cargaison des airtags, un dispositif de localisation développé par Apple qui permet de retrouver ses bagages. C’est ce qui leur aurait permis d’organiser cette opération de récupération de la marchandise, dont le prix à la revente serait estimé à plusieurs millions d’euros. Cette effraction soulève des inquiétudes quant à la sécurité des locaux de l’Ofast, un endroit théoriquement tenu au secret, quelque part dans la zone de fret de l’aéroport de Roissy Charles de Gaulle. Une localisation stratégique, mais visiblement sous-protégée. Ce que dénoncent des représentants syndicaux. (Source : air-journal.fr)