Le XB-1 est désormais à mi-parcours de sa campagne d’essais en vol. Au cinquième vol, réalisé le 7 octobre, l’appareil a atteint Mach 0,69 à 17 800 pieds (soit 5 340 m) pendant un essai d’une durée de 50 minutes. Le couplage aéroélastique et l’incursion vers les vitesses transsoniques ont été étudiés. Ce cinquième vol réussi du XB-1 marque la moitié des dix vols d’essai subsoniques prévus avant de franchir le mur du son. Il s’agit du vol le plus rapide, le plus haut et le plus long jusqu’à présent, alors que le XB-1 progresse dans le programme d’essais en vol en vue d’un vol supersonique plus tard dans l’année. (Source : air-cosmos.com)
Boeing et son principal syndicat ont annoncé la poursuite des négociations contractuelles ce mardi, dans l’espoir de trouver un accord qui mettrait fin à la grève de quelque 33.000 ouvriers d’usine sur la côte ouest des Etats-Unis. Après 25 jours de grève, les discussions ont, pour rappel, repris lundi en présence de médiateurs fédéraux. "Bien que nous ayons rencontré Boeing et les médiateurs fédéraux toute la journée, aucun progrès significatif n’est à signaler. Nous reprendrons demain", a indiqué lundi soir l’International Association of Machinists & Aerospace Workers, qui revendique une augmentation salariale de 40% sur quatre ans et le rétablissement d’un régime de retraite à prestations définies, supprimé il y a 10 ans lors de la dernière négociation contractuelle. (Source : boursier.com)
Le PDG de l’entreprise, Guillaume Faury, a annoncé cette stratégie lors d’une conférence de presse à New Delhi lors d’un rassemblement du Groupement des industries françaises aéronautiques et spatiales le 7 octobre. Il a déclaré qu’Airbus avait plus que doublé son approvisionnement en composants et services en provenance d’Inde pour atteindre 1 milliard d’euros entre 2019 et 2024. Guillaume Faury, qui est également président du GIFAS, a souligné la multitude d’opportunités en Inde. « Nous allons continuer à croître (en matière d’approvisionnement en composants)… Nous allons continuer à doubler nos effectifs environ tous les cinq ans, c’est-à-dire au cours de la prochaine décennie. C’est un rythme stable », a-t-il affirmé. (Source : air-journal.fr)