L’offre commerciale sur l’aéroport de Nice va évoluer en 2025 et 2026 avec un nouvel éventail de boutiques et de services, avec un effort particulier pour de nouvelles boutiques de luxe et de marques locales. Histoire de renforcer le prestige de la région Côte d’Azur. (Source : voyages-d-affaires.com)
L’opérateur aéroportuaire public Swedavia annonce des licenciements à l’aéroport de Stockholm Bromma. "Comme Swedavia l’a annoncé précédemment, des mesures seront prises pour adapter l’aéroport de Stockholm Bromma à la nouvelle structure de trafic qui résultera du transfert par BRA de son service régulier à Arlanda et de son remplacement par SAS. En conséquence, Swedavia a publié aujourd’hui un avis couvrant 90 postes", indique le communiqué de presse. (Source : zonebourse.com)
Les ports et aéroports de Corse sont paralysés par un mouvement spontané des salariés de la CCI. De nombreux vols sont annulés. Suite à l’Assemblée générale extraordinaire de la Chambre de commerce et d’industrie de Corse, qui s’est tenu ce jeudi 3 octobre au Palais des congrès d’Ajaccio. Elle a été marquée par une suspension de séance à la demande du président de la Collectivité de Corse, Gilles Simeoni. Cet incident est consécutif de la déclaration du Secrétaire général pour les affaires de la Corse (SGAC), Alexandre Patrou, concernant le projet de création de Syndicats mixtes ouverts (SMO) pour la structuration du mode de gestion des aéroports et ports de Corse, dont les contrats de concessions arrivent à échéance au 31 décembre 2024. "Nous avons eu de nombreuses réunions avec les représentants du gouvernement et des ministères concernés, un feu vert définitif ayant été donné en ce sens par l’Etat le 24 mai dernier", a souligné Gilles Simeoni, aux côtés de Jean Dominici, président de la CCI de Corse. Or, Alexandre Patrou, représentant le préfet de Corse, Amaury de Saint-Quentin, a soulevé le "risque juridique important" des SMO, précisant que le préfet adresserait un courrier en ce sens dans les prochains jours aux présidents de la CCI de Corse et de la CdC. "Il n’est pas possible de passer outre les obligations de mise en concurrence", a pointé le SGAC. Dans une prise de parole très forte, Gilles Simeoni a immédiatement réagi en estimant qu’il s’agit d’une "déclaration de guerre à la Corse".
"Ce n’est pas l’accord qui avait été pris, a-t-il dit. La parole de l’Etat engage l’Etat. Il n’y aura pas de groupes internationaux qui géreront les ports et aéroports corses. Je veux des réponses dans les jours à venir et si l’accord n’est pas respecté, chacun prendra ses responsabilités", a-t-il ajouté. (Source : corsematin.com)