La DGAC publie tous les mois l’indice des prix du transport aérien de passagers. Les tarifs sont globalement stables avec des différences selon les zones géographiques. Vers l’Asie Pacifique, les prix des billets d’avion sont en baisse, alors que vers l’Afrique du Nord ils sont en hausse. (Source : TourMag.com)

Bercy prévoit d’augmenter lourdement la taxe dite de solidarité (TSBA) sur les billets d’avion, dans le projet de loi de finances 2025. Avec des conséquences très importantes sur les tarifs pour les passagers. (Source : lesechos.fr)

Les spéculations continuent sur le budget 2025. Le secteur aérien français s’attend à être taxé d’un milliard d’euros supplémentaires dans le cadre du projet de loi de finances 2025, a déclaré mardi un de ses responsables à l’AFP. « Nos informations, qui semblent tout à fait fiables et certaines, nous font redouter une taxation du secteur aérien dans le cadre du budget 2025, portant sur un milliard d’euros », a indiqué le président de la Fédération nationale de l’aviation et de ses métiers (Fnam), Pascal de Izaguirre, évoquant une profession « en état de choc ». Mais selon Les Echos qui ont révélé ce projet, cela passera par un triplement du produit de la taxe de solidarité sur les billets d’avion (TSBA), qui est aujourd’hui de 460 millions d’euros, avec des efforts plus importants demandés aux passagers « business » ou long-courrier. L’aviation d’affaires sera également davantage mise à contribution, selon le quotidien économique. Ni le ministère de l’Économie, ni celui des Transports n’ont répondu dans l’immédiat aux sollicitations de l’AFP à ce sujet mardi. (Source : lefigaro.fr)

Une tendance qui s’illustre sur l’ensemble des lignes intérieures. Alors que le trafic aérien international démontre un important dynamisme, au point d’atteindre des niveaux similaires aux records enregistrés en 2019, les liaisons métropolitaines accusent de leur côté une baisse légère, mais continue. Selon des chiffres partagés par nos confrères des Echos, le trafic intérieur serait ainsi passé de 16,3 millions de passagers en 2019 à 12,3 millions en 2023, soit une diminution de près de 20%. Et la situation ne devrait pas s’améliorer dans les prochains mois. Entre janvier et août 2024, 7,8 millions de voyageurs ont emprunté des vols domestiques. En 2022, ils étaient 8,31 millions sur la même période. Si le contexte inflationniste et la hausse du prix des billets dans l’Hexagone sont évoqués pour expliquer ce phénomène, la réponse est surtout à aller chercher du côté des déplacements professionnels. En octobre 2023, Air France mentionnait en effet la désertion de cette clientèle pour justifier son retrait de l’aéroport d’Orly. “Entre 2019 et 2023, la baisse du trafic sur les liaisons domestiques au départ d’Orly est de -40%, et même de -60% pour les allers-retours dans la journée”, observait la compagnie, énonçant “l’effet de sobriété et des politiques de RSE des entreprises”. En réponse à l’adoption de stratégies de réduction de leur impact carbone, les sociétés se détourneraient de l’avion au profit du transport ferroviaire. Plus de 70% des déplacements professionnels seraient ainsi aujourd’hui effectués en train selon une étude menée par le cabinet Qonto. Alors, les Français bouderaient-ils l’avion ? Loin de là selon l’expert. D’une part, les voyages liés aux loisirs continuent de progresser, tout comme le nombre de vols proposés par les compagnies low-cost qui a augmenté de 13% en 2023. D’autre part, les fermetures annoncées par easyJet “relèvent davantage d’un jeu concurrentiel entre les acteurs économiques que d’un symptôme révélant une tendance de fond insufflée par une régulation dont a besoin”, note Jérôme du Boucher.(Source : novethic.fr)

SITA a interrogé plus de 7 000 passagers dans 25 pays d’Amérique, d’Asie, d’Europe, du Moyen-Orient et d’Afrique au deuxième trimestre de cette année dans le cadre de l’étude 2024 Passenger IT Insights. 64% des passagers considèrent la réduction des files d’attente dans les aéroports comme l’amélioration la plus importante qu’ils souhaiteraient voir se produire dans le processus de voyage. Il a été prouvé que la biométrie accélère le traitement des passagers, cependant la moitié d’entre eux expriment des inquiétudes persistantes quant à la confidentialité des données. (Source : tourhebdo.com)

Tous les vols commerciaux au départ des deux grands aéroports belges de Bruxelles-Zaventem et Charleroi sont annulés mardi en raison d’une grève des agents de sécurité de la société prestataire, a-t-on appris lundi auprès des sociétés exploitantes. La grève découle d’un appel à la mobilisation lancé par une confédération de syndicats qui veut interpeller l’UE sur les conditions de travail des « travailleurs essentiels » des secteurs nettoyage, sécurité et restauration. (Source : lefigaro.fr)

La Commission européenne a donné son aval à la création d’une nouvelle coentreprise réunissant Egis Aiport Operation, Egis Investment Partners, Bouygues Construction Airport Concessions, toutes basées en France, ainsi qu’Impact, une société luxembourgeoise. Ce partenariat se concentrera principalement sur la gestion et l’exploitation d’aéroports, avec une attention particulière sur le transport de passagers en bus entre l’aéroport de Beauvais-Tillé et Paris. Après avoir examiné l’impact de cette alliance sur la concurrence, la Commission a estimé que l’opération ne poserait pas de risques majeurs. La position des entreprises impliquées étant limitée, la concentration ne devrait pas perturber les équilibres du marché. (Source : xtb.com)

Le nom administratif de l’aérodrome Pointe-à-Pitre Raizet a été rebaptisé du nom de la romancière décédée en avril dernier. Ce qui englobe toutes les installations de l’aéroport, à savoir les pistes et la logistique liée. L’appellation commerciale de l’aéroport quant à elle reste Guadeloupe Pôle Caraïbes. Que l’aéroport de Guadeloupe porte le nom de Maryse Condé, cela fait en premier lieu la fierté de la famille de la défunte écrivaine. (Source : outremers360.com)

L’aéroport de Troyes est fermé jusqu’au 14 octobre pour d’importants travaux. La piste de 1 600 mètres de l’aéroport de Troyes en Champagne est en pleins travaux. Pour le propriétaire de l’aéroport, un syndicat mixte mêlant Troyes Champagne Métropole, la Chambre de commerce et le Conseil départemental, ce chantier commencé mi-septembre était indispensable. "Il y avait une dégradation de la piste, des taxiways, des parkings. Il fallait vraiment remettre un coup pour que ça reparte pour trente ans, avec toutes les réglementations aériennes qui évoluent en permanence", indique Bruno Gantelet, président du syndicat mixte responsable de l’aéroport de Troyes en Champagne. L’appel d’offres a été remporté par Eurovia, pour 2,4 millions d’euros hors taxe. (Source : france3-regions.francetvinfo.fr)

La société Bellova est constituée par Egis, Serena Industrial Partners, Bouygues Construction1, Aéroports de la côte d’Azur et TIIC. Le contrat de concession du 10ème aéroport français, signé cet été, prend effet ce mardi 1er octobre. Le SMABT (syndicat mixte de l’aéroport Beauvais Tillé), propriétaire de la plate-forme, avait statué sur cette attribution en conseil syndical le 29 avril dernier. (Source : egis-group.com)

Alors qu’Air Moana annonçait une “fin des opérations” pour le 30 septembre, beaucoup s’attendaient à voir les avions de la compagnie cloués au sol. Pourtant, en ce jour J, les appareils de la compagnie continuaient de décoller lundi et les réservations restaient ouvertes, laissant planer un certain flou. (Source : tahiti-infos.com)

Les deux compagnies aériennes ont prolongé la suspension de leurs vols vers le Liban et Israël d’une semaine après les récents développements du conflit. (Source : bfmtv.com)

Lufthansa a annoncé mardi prolonger la suspension de ses liaisons avec Beyrouth jusqu’au 30 novembre au lieu du 26 octobre initialement prévu vers Tel Aviv jusqu’au 31 octobre. Sa filiale helvétique Swiss a aussi parallèlement annoncé la suspension de ses vols à destination et au départ de Tel Aviv jusqu’au jeudi 31 octobre 2024 inclus.
Tous les vols en provenance et à destination de Beyrouth seront eux annulés jusqu’au samedi 30 novembre 2024 inclus. (Source : lorientlejour.com)

Qatar Airways a dévoilé mardi une offre de prise de participation de 25% dans la compagnie aérienne en difficulté Virgin Australia, une opération qui pourrait bouleverser le marché australien dominé par Qantas. Le montant de l’opération, annoncée dans un communiqué commun des deux compagnies aériennes et du propriétaire de Virgin, Bain Capital, n’a pas été divulgué. Les entreprises ont précisé que l’opération permettrait d’augmenter le nombre de vols directs entre Brisbane, Melbourne, Perth et Sydney d’un côté et Doha, ce qui améliorerait les liaisons entre l’Australie et l’Europe notamment. (Source : lefigaro.fr)

Un conseil de surveillance devait se réunir ce mardi 1er octobre au siège de la compagnie. Joseph Bréma, l’actuel président d’Air Austral aurait dû être remercié par les actionnaires. Hugues Marchesseaux est pressenti pour le remplacer. Mais tard lundi soir, ce conseil de surveillance a été reporté. (Source : la1ere.francetvinfo.fr)

A partir du 1er octobre 2024, la compagnie aérienne étend son offre Wi-Fi sur les vols internationaux et nationaux, en introduisant un accès gratuit et des fonctionnalités améliorées. Sur les vols internationaux, JAL offrira un accès Wi-Fi gratuit à tous les passagers, quelle que soit leur classe. Les passagers de Première classe et de classe Affaires bénéficieront d’un accès Wi-Fi gratuit et illimité, tandis que les passagers de classe Economique supérieure et de classe Economique bénéficieront d’une heure d’accès gratuit. Les vols intérieurs de JAL bénéficieront également d’améliorations dans leurs offres Wi-Fi. La compagnie aérienne étendra son service Wi-Fi gratuit actuel pour inclure des capacités de streaming vidéo. (Source : air-journal.fr)

La compagnie italienne, qui sera bientôt intégrée au groupe Lufthansa, s’attend désormais à un bénéfice et à des revenus nettement supérieurs, concernant l’activité passagers, pour l’ensemble de l’année. Parmi les indicateurs clés de la période semestrielle 2024, la compagnie a fait état d’un chiffre d’affaires de 1,4 milliard d’euros (+ 300 millions d’euros par rapport au premier semestre 2023), d’un EBITDA de + 62 millions d’euros (en amélioration de 130 millions d’euros par rapport à la même période de l’année dernière) et de réserves de trésorerie de 393 millions d’euros (+ 31 millions d’euros par rapport au 30 juin 2023). ITA Airways a transporté plus de 8,3 millions de passagers, marquant une amélioration de 26 % par rapport au premier semestre de l’année dernière et générant des revenus supérieurs de 33 % par rapport à 2023. (Source : air-journal.fr)

Transavia France annonce l’ouverture des ventes de son programme été 2025 avec 4 nouvelles routes au départ Paris Orly, Nantes et Lyon. La compagnie desservira pour la première fois, Belgrade au départ de Paris Orly et poursuit aussi son développement en région avec de nouvelles opportunités de voyages au départ de Lyon et Nantes. Transavia poursuit le renforcement de son offre de vols au départ de ses bases régionales. Dès l’été prochain, sa clientèle lyonnaise pourra rejoindre les eaux turquoise de la Corse (Bastia) et de Chypre (Paphos) tandis que les Nantais disposeront d’un vol direct pour les plages de surf d’Essaouira. (Source : air-journal.fr)

KLM a prolongé mardi la suspension de ses vols vers Israël jusqu’à la fin de l’année, invoquant la détérioration de la situation dans la région. (Source : lefigaro.fr)

Lilium, l’un des principaux fabricants d’avions électriques et pionnier de la mobilité aérienne régionale, a lancé le 26 septembre sur le marché américain le eVTOL Lilium Jet, le premier jet entièrement électrique au monde capable de décoller et d’atterrir verticalement. Le Lilium Jet est conçu et optimisé pour les voyages régionaux avec une forme aérodynamique et des ventilateurs électriques canalisés qui privilégient l’efficacité et la vitesse pendant le vol vers l’avant. Avec une autonomie initiale prévue d’environ 110 miles (175 km), le Lilium Jet sera capable de relier rapidement les habitants de Houston à la région au sens large, avec des itinéraires comme l’aéroport de Houston Hobby à Galveston, le port spatial de Houston à College Station, The Woodlands à Galveston, et d’autres. Les installations de Galaxy FBO dans la région de Houston à Houston Hobby, à l’aéroport régional de Conroe North Houston et à l’héliport de Woodlands constitueront une infrastructure clé pour les opérateurs de Lilium Jet dans la région de Houston. (Source : air-journal.fr)

Skeyes et Brussels Airport participent, depuis l’année dernière, au projet « Highly Efficient Green Operations » (HERON). Leur participation à ce projet se concrétise par la réalisation de tests d’approches avec une pente modifiée. Les démonstrations opérationnelles débuteront à partir du 1er octobre 2024. L’objectif est d’évaluer l’impact environnemental de la solution « Increased Second Glide Slope », qui vise à réduire les nuisances sonores pendant la phase d’approche des avions. « En commençant l’approche sous un angle plus incliné, les avions resteront à une altitude plus élevée plus longtemps et voleront également à une vitesse réduite, ce qui entraînera une diminution de l’impact sonore pour les riverains » explique Skeyes. Pendant la période de démonstration, les avions utiliseront de nouvelles trajectoires avec des angles d’inclinaison plus prononcés, de 3,2 et 3,5 degrés au lieu de l’inclinaison habituelle de 3 degrés, sur les pistes les plus fréquentées, 25R et 25L. Ces ajustements ont nécessité le développement de procédures de vol RNP. (Source : aerobuzz.fr)

Dans la période de reprise du trafic aérien post-Covid, Qantas a vendu des billets sur des « vols fantômes » à près d’un million de clients alors qu’elle savait à l’avance que ces vols étaient annulés, rapporte la presse australienne, citant des documents judiciaires. La compagnie australienne s’était déjà arrangée l’année dernière avec les autorités australiennes de la concurrence. Elle a payé plus de 120 millions de dollars australiens (environ 82 millions de dollars US) d’amendes et de compensation pour avoir vendu ces billets pour des vols déjà annulés. Il apparaît donc aujourd’hui que près d’un million de clients ont été induits en erreur pour avoir réservé des « vols fantômes » et que la direction était au courant du problème. Selon un document de la Cour fédérale d’Australie, « Qantas était consciente de la manière dont son système fonctionnait… Les consommateurs ont subi un préjudice en raison du comportement contrevenant de Qantas ». (Source : air-journal.fr)

C’est une question brûlante pour l’industrie du tourisme comme pour l’opinion publique : faut-il arrêter de prendre l’avion pour des raisons écologiques ? Derrière cette question volontairement provocatrice, se cache une réflexion profonde des acteurs du secteur pour réduire au maximum leurs émissions de gaz à effet de serre. (Source : lechotouristique.com)

L’industrie aéronautique s’engage dans une phase d’innovation technologique visant à minimiser son empreinte écologique. Le projet « STEPLESS », financé par Horizon Europe, se positionne au cœur de cette transformation en ciblant les opérations d’approche finale des aéronefs. Le 1er septembre 2024, le lancement officiel du projet « STEPLESS » s’est déroulé au Centre aérospatial allemand à Braunschweig. Cette initiative, d’une durée prévue de 30 mois, rassemble des partenaires de toute l’Europe, dont l’Empa. La réunion inaugurale a permis aux participants de définir les premières étapes du travail et de clarifier les interconnexions entre les diverses tâches et activités. (Source : enerzine.com)

Pierre-André Durand, préfet de la région Occitanie, préfet de la Haute-Garonne, a présenté les conclusions de l’EIAE, ce 27 septembre 2024 en présence des élus, des acteurs sociaux-économiques, des professionnels de l’aéronautique et des associations de riverains, qui sont, pour certains d’entre eux, membres de la commission consultative de l’environnement de l’aéroport de Toulouse-Blagnac. Le préfet de la Haute-Garonne a sélectionné un scénario, qu’il proposera prochainement au Gouvernement, comme piste de travail. Celui-ci intègre notamment l’interdiction des vols au départ et le plafonnement des vols à l’arrivée en cœur de nuit (00h-06h). Ainsi, les compagnies se verraient attribuer un quota annuel de 400 vols autorisés à atterrir en cœur de nuit en cas de retard. (Source : lasemainedespyrenees.fr)

  Actu.fr : Baisse des vols de nuit. L’aéroport de Toulouse réagit après les annonces du préfet - Le préfet a annoncé un scénario visant à réduire le nombre de vols de nuit à l’aéroport de Toulouse ce vendredi 27 septembre 2024. Scénario qui a fait réagir l’ATB.

Plus de 400 personnes sont venues manifester ce samedi contre la suppression de la piste secondaire, ou "sécante" de l’aéroport de Bordeaux-Mérignac. Tous font part de leur inquiétude à l’idée de subir 100% des nuisances sonores du trafic aérien. (Source : france3-regions.francetvinfo.fr)

Les 18 mois à venir vont être décisifs pour la filière française des e-fuels, ces carburants synthétiques produits à partir des ressources renouvelables, afin de mettre en œuvre les projets en phase de développement, selon une étude publiée lundi. Le second observatoire du Bureau français des e-fuels a identifié 26 projets en 2024 contre 24 l’année précédente, confirmant le potentiel de la filière. Cela représente une capacité totale de production de 906 milliers de tonnes équivalent pétroles (tep), "soit l’équivalent de 5.600 vols aller-retour entre Paris et New-York ou 265 voyages de porte-conteneur entre Shanghai et Le Havre", selon le Bureau. Les carburants d’aviation durables (CAD), sous forme de kérosène de synthèse, se taillent la part du lion avec 13 projets pour 66,7%. (Source : connaissancedesenergies.org)

L’entreprise californienne Twelve a mis au point un procédé permettant d’utiliser du CO2, de l’eau et des énergies renouvelables pour produire du carburant durable d’aviation. D’après elle, ce carburant de synthèse permet de réduire de 90 % les émissions de GES et son processus de production consomme moins de ressources que celui des biocarburants. En effet, selon les estimations, il nécessite environ 1 000 fois moins d’eau et 30 fois moins de terre que ces derniers. Par ailleurs, ce SAF n’est constitué d’aucune matière première biologique et est donc nettement plus aisé à produire. (Source : neozone.org)

Le groupe ASL Aviation a intégré le comité consultatif de Fokker Next Gen pour participer au développement d’un avion à hydrogène liquide de 120 à 150 places. Le Fokker Next Gen devrait entrer en service en 2035. (Source : aerobuzz.fr)

Airbus a annoncé qu’il allait réorganiser sa production en se concentrant sur les « fondamentaux » pour maintenir la montée en cadence, alors que le secteur s’interroge de plus en plus sur sa capacité à atteindre son nouvel objectif annuel de 770 appareils pour 2024. (Source : air-journal.fr)

Satena a pris livraison hier d’un tout nouvel ATR 42-600, qui entrera en service au début du mois d’octobre. Rejoignant une flotte de dix ATR, dont deux ATR 72-600, quatre ATR 42-600 et quatre ATR 42-500, l’ajout de cet ATR 42-600 à la flotte de Satena marque une étape importante, puisqu’il s’agit du premier appareil directement acquis auprès d’ATR par la compagnie régionale colombienne. Au Kenya, Renegade Air a réceptionné son tout premier ATR-500, acquis en location auprès du bailleur Abelo. Le turbopropulseur a été converti au préalable en avion cargo pour répondre aux besoins spécifiques des opérations de Renegade Air. Au Gabon, Afrijet, compagnie aérienne leader en Afrique centrale, a signé une commande ferme pour un ATR 42-600, avec une option pour un autre. (Source : air-journal.fr)

Un nouveau dysfonctionnement touche certains Boeing 737 NG et MAX. Le palonnier peut se bloquer à l’atterrissage. Cette commande de vol est actionnée par les pieds du pilote qui, au sol, contrôle ainsi la tenue de l’axe de la piste. Certains Boeing 737 MAX et 737 NG : 353 exemplaires, équipés d’une commande de palonnier Collins Aerospace, risquent un blocage du système de contrôle du gouvernail. C’est ce qui s’est produit le 6 février 2024, lors du vol United Airlines 1539. (Source : lepoint.fr)

Un incident de quasi-collision impliquant deux Boeing 777 s’est produit le 24 mars dernier au-dessus de la mer d’Arabie, comme l’a révélé un récent rapport d’enquête préliminaire du Bureau d’enquête sur les accidents d’aéronefs. Le rapport récent de l’AAIB a révélé que la séparation minimale entre les avions s’est réduite à seulement 9,1 milles nautiques au point de cheminement « GOLEM », au-dessus de la mer d’Arabie et dans une zone contrôlée par les contrôleurs aériens de Bombay. Cette proximité, dangereuse entre les deux avions, soulève de graves problèmes de sécurité. Il est à déplorer qu’aucune alerte n’a été générée dans le poste de pilotage des deux avions par le système d’alerte de trafic et d’évitement des collisions (TCAS) pour avertir les pilotes de la menace de collision imminente. Un pilote expérimenté qui pilote le Boeing 777 a déclaré que le TCAS est généralement activé lorsqu’une alerte se produit dans un rayon d’environ six milles nautiques. Le contrôle aérien n’a pas non plus émis d’alerte. L’enquête n’a pas encore déterminé si cette absence d’avertissement résultait d’une proximité insuffisante pour déclencher le TCAS ou si d’autres facteurs ont contribué à la défaillance du système. En réponse à cette grave infraction à la sécurité, les autorités ont pris des mesures. Au moins deux contrôleurs aériens en service lors de l’incident ont été suspendus et ont reçu l’ordre de suivre une formation corrective. (Source : air-journal.fr)

La Commission européenne et l’Agence européenne de sécurité aérienne (AESA) ont émis un bulletin "recommandant de ne pas opérer à l’intérieur des espaces aériens du Liban et d’Israël, à tous niveaux de vol", une recommandation "valable jusqu’au 31 octobre" à ce stade, a fait savoir l’AESA. (Source : msn.com)

Alors qu’il est aujourd’hui plus simple de réserver un Paris-Djerba avec vol et hôtel qu’un Paris-Strasbourg en train avec hébergement pour les marchés de Noël, Verytrain.com vient bouleverser les codes établis. Face à des outils de réservation traditionnellement orientés vers l’aérien, Tictactrip a décidé de créer une plateforme dédiée au train, répondant ainsi à une demande croissante pour des voyages plus durables et accessibles à la fois pour voyageurs et voyagistes. (Source : tourhebdo.com)