Tous les vols ont été annulés jeudi matin au départ et à l’arrivée de l’aéroport de Charleroi, le deuxième de Belgique pour le trafic passagers, en raison d’une grève, a annoncé la société exploitante BSCA. (Source : lefigaro.fr)
Tous les vols ont été annulés jeudi matin au départ et à l’arrivée de l’aéroport de Charleroi, le deuxième de Belgique pour le trafic passagers, en raison d’une grève, a annoncé la société exploitante BSCA. (Source : lefigaro.fr)
Le trafic du deuxième trimestre 2024 (du 1er avril au 30 juin 2024) de l’aéroport de Toulouse-Blagnac a crû de 1 % par rapport à la même période 2023, s’établissant à 83 % du trafic de 2019. Les dynamiques de trafic continuent de diverger entre le national et l’international. En effet, sur ce 2ème trimestre, le trafic international poursuit sa forte croissance avec une augmentation de sa part sur le total, qui s’établit à 61 % (contre 55 % au T1) contre 39 % pour le trafic national. Passagers Trafic national : 841 421 passagers (-9 % du T2 2023 et 64 % du T2 2019)Au 2ème trimestre, les déplacements en France ont représenté 39 % du total (-4 points vs T2 2023 et -12 points vs T2 2019). Sur ce deuxième trimestre, la destination Paris atteint un taux de reprise de 63 % versus 2019 avec 551 875 passagers, notamment dû aux réductions d’offre d’Air France sur Paris et d’easyJet sur les destinations régionales. Trafic international : 1 298 669 passagers (+9 % du T2 2023 et 104 % du T2 2019)Pour le trafic en dehors de l’hexagone, il dépasse maintenant le niveau de 2019 et continue sa progression. Cette croissance est portée par l’international hors Europe qui est en forte hausse sur la plateforme avec +95 % notamment grâce à l’arrivée d’Air Canada sur Montréal et la croissance du trafic vers le Maghreb. Fret et poste Avec 7 906 tonnes traitées, le volume fret et poste représente 116 % du T2 2023 et 48 % du T2 de 2019. (Source : aeromorning.com)
L’aéroport de Zurich a profité de la période estivale pour doper sa fréquentation, accueillant 3,1 millions de passagers en août, 6% de plus qu’il y a un an, a annoncé mercredi la première plateforme aéroportuaire de Suisse. Ces chiffres correspondent à 99,5% aux niveaux atteints en août 2019. Depuis le début de l’année, 20,7 millions de personnes (+9,3%) ont transité par l’aéroport de la capitale économique helvétique. (Source : zonebourse.com)
VINCI Airports a choisi la solution SITA Airport Management comme aide à la gestion des plateformes de Manaus, Porto Velho, Rio Branco, Boa Vista, Cruzeiro do Sul, Tabatinga et Tefé. (Source : air-cosmos.com)
Facturer à leurs passagers un supplément pour pouvoir voyager avec un bagage cabine permet aux compagnies aériennes à low-cost d’engranger des bénéfices conséquents. En effet, selon les estimations de France Inter, ces frais supplémentaires représentent des revenus conséquents : plus de 538 millions d’euros annuels pour Ryanair et 226 millions d’euros pour EasyJet. Transavia, qui a introduit ces frais à partir du printemps 2024, devrait engranger environ 169 millions d’euros supplémentaires par an grâce à cette nouvelle politique. (Source : capital.fr)
Le premier groupe aérien européen Lufthansa a annoncé jeudi qu’il prolongeait la suspension de ses vols vers Beyrouth jusqu’au 15 octobre inclus, en raison des tensions au Proche-Orient. La desserte de Téhéran, en Iran, a repris depuis le 5 septembre. Austrian Airlines est la seule compagnie du groupe à desservir actuellement l’Iran, a précisé un porte-parole de Lufthansa. Questionné par l’AFP sur les nouvelles sanctions aériennes annoncées mardi par Berlin, Londres et Paris contre Téhéran, accusé d’avoir livré des missiles à Moscou pour frapper l’Ukraine, ce porte-parole a déclaré qu’ils étaient "informés". "Le groupe Lufthansa est en contact avec les autorités compétentes en la matière", a-t-il ajouté. (Source : zonebourse.com)
Air Ceilão, nouvelle compagnie aérienne au Sri Lanka, s’apprête à décoller dans cette nation insulaire de l’océan Indien, en présentant un nouveau modèle économique. En commençant par une flotte d’avions à fuselage étroit et large, la compagnie aérienne reliera dans un premier temps les passagers à des destinations clés au Moyen-Orient et en Asie-Pacifique », peut-on lire dans sa communication. « La deuxième phase de l’expansion verra Air Ceilão étendre ses ailes encore plus loin pour atteindre des destinations long-courriers à travers l’Europe et l’Australie ». Le but est d’« offrir une expérience de voyage orientée client qui offre un équilibre entre les options à bas prix et de luxe. (Source : air-journal.fr)
À partir du 27 octobre, la compagnie aérienne sud-américaine LATAM Cargo triplera le nombre de ses vols à Brussels Airport, passant de quatre à douze vols par semaine. Brussels Airport devient ainsi le hub de transport principal de LATAM Cargo en Europe. Les vols seront opérés par des Boeing 767F. Ces avions expédieront principalement des fleurs depuis l’Équateur vers l’Europe, avant de revenir en Amérique latine chargés de produits pharmaceutiques. (Source : air-journal.fr)
Le Centre d’innovation drones de Normandie a été inauguré lundi 9 septembre au Havre, sur le site de l’aéroport d’Octeville. La Normandie fait partie des régions fer de lance dans la recherche et l’innovation autour des drones. (Source : tendanceouest.com)
La date avancée du salon AERO 2025, qui se tiendra du 9 au 12 avril 2025, permet aux fabricants de planeurs de participer à nouveau au rassemblement de l’aviation générale en Allemagne. Une entente a été trouvée entre l’organisateur du salon et les fabricants de planeurs. À partir de 2025, l’AERO Gliding Expo aura lieu régulièrement tous les deux ans. (Source : aerobuzz.fr)
Les résultats de l’industrie de l’aviation générale pour les six premiers mois de 2024, publiés par GAMA montrent une augmentation du nombre des livraisons dans les segments des avions à pistons (+7,3% par rapport au premier semestre 2023), des jets d’affaires (+8,8%) et des hélicoptères à pistons(+2,7%), ainsi qu’une augmentation de la valeur globale des livraisons d’aéronefs (+18,2%). Sur les 6 premiers mois de 2024, les constructeurs d’avions et d’hélicoptères de l’aviation générale ont livré 1.363 avions (+5,3%) et 428 hélicoptères (-5,1%) pour une valeur totale d’environ 13 milliards de dollars (+18,2%). (Source : gama.aero)
L’école Fly Provence sur l’aérodrome des Milles, mise sur l’électrique et les simulateurs pour faire baisser l’empreinte carbone de ses formations. Les élèves sont formés en partie sur avions électriques, en partie sur simulateurs de vol pour réduire leur empreinte carbone, affirme l’école. Elle vient à cet effet d’acquérir un simulateur de vol Airbus FNPT II MCC A320 pour la bagatelle de 120 000 euros. « On réduit de moitié les heures de vol effectives, donc c’est 50% d’émissions en moins », explique Anne Guérin, chargée des relations institutionnelles chez Fly Provence, avant de brandir la calculette. Ce seraient en tout et pour tout 4 000 litres de carburant et 10 tonnes de CO2 annuelles économisées par pilote. (Source : lamarseillaise.fr)
Depuis un an, une quarantaine d’habitants ont donc planché sur l’impact du son du trafic aérien au travers d’ateliers, enquête, mesures participatives, entretiens. Mardi 17 septembre, ils présenteront le fruit de leur étude. Seront ainsi dévoilés au public : une carte de la perception du bruit par les habitants, une analyse de la variabilité du bruit des avions, des chiffres de sensibilisation au bruit des avions et les conclusions d’une enquête sur la gêne sonore menée de juin à août dernier. Ouverte à toutes et tous, la soirée sera l’occasion pour les habitants, mais aussi pour les représentants de la Direction générale de l’aviation civile (DGAC), de l’Etat et de l’Observatoire territorial autour de Nantes Atlantique (Otana), de prendre connaissance des résultats de ces travaux et de mettre le bruit aérien au centre des discussions. (Source : reze.fr)
Le Conseil constitutionnel a validé jeudi une nouvelle taxe pesant sur les infrastructures de transport de longue distance censée financer la transition écologique à hauteur de 600 millions d’euros et qui était contestée par les sociétés gestionnaires d’aéroports et d’autoroutes. (Source : nicematin.com)
Boeing risque d’affronter à partir de vendredi une grève qui gèlerait la production de son avion vedette, le 737, et du gros porteur 777, si les 33.000 syndiqués de la région de Seattle rejetaient le projet de nouvelle convention collective. La direction de Boeing pensait la menace d’une grève massive écartée. Fruit de plusieurs mois de négociations avec l’antenne locale du syndicat des machinistes un accord préliminaire a été annoncé le 8 septembre dans le cadre du projet de nouvelle convention collective. Mais la réaction des adhérents de l’IAM a douché ces espoirs. « Nous avons obtenu tout ce que nous pouvions », a assuré Jon Holden, président de l’IAM-District 751, aux adhérents. « Nous recommandons la ratification car nous ne pouvons garantir que nous obtiendrons davantage en faisant grève. » (Source : latribune.fr)
Pendant des décennies, Boeing a été la fierté des Américains : une entreprise, devenue leader mondial de l’aéronautique, incarnant la culture de la sécurité. Son image est aujourd’hui sérieusement abîmée après la série de catastrophes dans lesquelles elle est impliquée depuis dix ans : crash de deux 737 MAX en 2019, défauts des systèmes d’assistance au pilotage, arrachage d’une porte en plein vol. Comment Boeing a-t-il pu en arriver là ? La commission d’enquête, comme les médias, s’accordent sur un diagnostic : le groupe a sacrifié la sécurité au profit de la performance financière. Les témoignages et analyses dessinent le portrait d’une entreprise où toutes les stratégies visant à réduire les coûts étaient menées sans prendre la mesure des risques engendrés. (Source : alternatives-economiques.fr)
China Development Bank Financial Leasing, la division aéronautique de cette banque chinoise, a annoncé qu’elle allait acheter 80 Airbus A320neo dont la livraison devrait débuter en 2030. (Source : air-journal.fr)
C’est un récit qui, avec le recul, est sans doute tout aussi glaçant que ce qui s’est passé. Dans une interview diffusée mercredi par CBS News, Emily Wiprud, la copilote du Boeing d’Alaska Airlines qui a perdu en janvier dernier une porte en vol, a raconté comment elle a vécu cet accident. Elle n’a, tout comme le pilote, découvert le trou béant causé par la perte de la porte du Boeing 737 MAX 9, qu’après l’atterrissage. (Source : lesechos.fr)
Et si l’épilogue tant attendu se trouvait là quelque part, au large d’Antibes (Alpes-Maritimes), à 2300 mètres de profondeur ? 56 ans presque jour pour jour après le crash toujours officiellement inexpliqué de la caravelle Ajaccio-Nice, qui avait fait 95 morts, dont six membres d’équipage, les parties civiles sollicitent un ultime acte judiciaire avant que l’instruction ne soit clôturée. Lundi, l’un de leurs avocats, Me Paul Sollacaro, a écrit à la juge d’instruction pour lui demander qu’une mission de repêchage des restes de l’appareil soit organisée, ou qu’au minimum des prises de vues sous-marines soient réalisées. Une opération coûteuse déjà refusée par deux fois aux parties civiles. Ouverte il y a dix ans pour « dissimulation de documents » et « recel de preuves » et confiée aux gendarmes de la brigade des recherches de Nice, l’instruction a mis à mal au fil des ans la version officielle selon laquelle un incendie accidentel à bord de la caravelle aurait entraîné le crash. Les investigations n’ont, a contrario, fait que renforcer la thèse d’un tir de missile non armé qui aurait percuté par l’arrière le réacteur droit de l’appareil, attiré par la source de chaleur. Un secret d’État qui aurait été - les familles de victimes et leurs conseils en ont la conviction - occulté par les autorités afin d’éviter le scandale. « Si missile il y a eu, le réacteur touché en porte nécessairement la trace, même cinquante ans après. Bien sûr, aucun des deux n’a jamais été remonté à la surface. Ou alors cela a été fait en toute discrétion », poursuit Paul Sollacaro. (Source : lefigaro.fr)
Un jour après l’annonce inattendue par easyJet de la fermeture de sa base à Toulouse d’ici 2025 et du lancement d’un plan de départs volontaires, le syndicat Union des navigants de l’aviation civile a déposé un préavis de grève illimitée à l’échelle nationale.
Selon Actu Toulouse, cette grève commencerait le lundi 16 septembre. Le syndicat invite "l’ensemble des PNC basés en France à se mobiliser en signe de solidarité, et à cesser le travail à compter du 16 septembre pour une durée illimitée." "Nous n’appelons pas simplement à une grève illimitée, puisque nous communiquerons des dates clés par la suite. En effet, les négociations débutent le 16 septembre, pour environ trois mois", explique une représentante syndicale de l’UNAC au journal BFM TV, qui écrit également que "easyJet a été informée d’un préavis de grève déposé par l’UNAC. (Source : TourMag.com)
A 700 km au-dessus de la Terre, deux astronautes amateurs de la mission Polaris Dawn se sont aventurés dans le vide spatial. Voilà l’expérience folle qu’a vécue ce jeudi le milliardaire américain Jared Isaacman, qui devient par là même le premier civil à s’être aventuré dans l’espace. Après son escapade, perché à la proue du vaisseau Dragon, c’est Sarah Gillis, une employée de SpaceX, qui a eu droit à la même vision. Leur escapade a été retransmise en direct par SpaceX, qui en a profité pour tester ses nouvelles combinaisons destinées au vide spatial, des combinaisons blanches au look futuriste. (Source : .lesechos.fr)