Pas d’effet dopant des J.O. pour les aéroports parisiens avant le début des jeux. C’est ce que l’on constate à l’aune des résultats de trafic passagers d’Aéroports de Paris. Sur le premier semestre, CDG et Orly ont enregistré 49,1 millions de passagers. Soit une hausse de 4,4% par rapport à 2023. (Source : voyages-d-affaires.com)

Une simple mise à jour du logiciel CrowdStrike a cloué au sol près de 10 000 vols dans le monde, le week-end dernier. La panne de l’entreprise de cybersécurité a touché, avec plus ou moins de conséquences, les différents aéroports et compagnies. Les plus touchés ont été les acteurs américains. (Source : TourMag.com)

À l’horizon 2026, l’aéroport d’Orly va changer de visage. Une page de l’histoire va même se tourner puisque la compagnie nationale Air France va se désengager totalement de l’aéroport du sud-est parisien, et ce alors même que vient d’être inauguré le prolongement de la ligne 14 du métro parisien. En effet, comme le confirme au Parisien le PDG de Transavia, Olivier Mazzucchelli, la filiale low cost d’Air France va prendre une part beaucoup plus importante à Orly. À elles seules, les compagnies à bas coûts (Transavia, EasyJet, Vueling, Pegasus…) représenteront 52% du trafic en 2026. Que vont donc devenir les créneaux d’Air France ? Fin 2023, la compagnie française avait annoncé son retrait progressif - tout en conservant sa liaison vers la Corse -, mettant en avant une « chute structurelle de la demande ». Pour ses lignes intérieures, que ce soit Toulouse, Marseille ou Nice, Air France annonçait que Transavia prendrait le relais. Mais est-ce vraiment si simple ? Interrogé par Le Parisien, le syndicat Alter tempère : « Cela ne signifie pas que Transavia les utilisera pour les mêmes liaisons. » (Source : capital.fr)

L’aéroport de Zurich envisage des mesures juridiques après la panne informatique mondiale qui a perturbé le trafic aérien vendredi. L’ampleur des dommages financiers n’a pas encore été déterminée. L’aéroport analyse actuellement l’incident, a déclaré lundi une porte-parole à la radio alémanique SRF. Il s’agit de déterminer l’ampleur des dégâts et si l’aéroport souhaite engager une procédure juridique contre les responsables de la panne. (Source : zonebourse.com)

Ryanair a fait état lundi d’une chute de 46 % de son bénéfice après impôts sur un an au premier trimestre et a averti que les tarifs pour la période estivale seront "matériellement inférieurs" à ceux de l’année dernière. Le bénéfice après impôts de Ryanair pour le premier trimestre à fin juin était de 360 millions d’euros, bien en deçà des attentes à 538 millions d’euros, selon le consensus publié par la compagnie. Les tarifs moyens par passager ont chuté de 15% au cours du trimestre par rapport à l’année précédente, la compagnie aérienne ayant été contraintes de pratiquer un alignement des plus important que prévu, a indiqué le directeur général Michael O’Leary dans un communiqué. (Source : latribune.fr)

ITA Airways s’attend à ce que ses revenus dépassent les 4 milliards d’euros (4,35 milliards de dollars) en 2025, plus tôt que prévu, a déclaré son président, après avoir réorganisé ses opérations dans le cadre d’un accord de vente d’une partie de ses activités. Au début du mois, la compagnie aérienne allemande Lufthansa a obtenu l’approbation antitrust de l’Union européenne pour acheter 41 % de l’entreprise publique ITA pour 325 millions d’euros, après avoir accepté de céder des routes et des créneaux horaires à des rivaux pour répondre aux préoccupations en matière de concurrence. (Source : zonebourse.com)

Aux Etats-Unis, un tribunal de district du Delaware a statué jeudi à l’unanimité en faveur des plaintes de Ryanair selon lesquelles le géant du voyage Booking.com avait violé la loi américaine sur la fraude et les abus informatiques, causant ainsi un préjudice à la low cost irlandaise. (Source : air-journal.fr)

Spirit Airlines a réduit ses prévisions de revenus pour le deuxième trimestre, citant des recettes ancillaires plus faibles que prévu. De son côté, Alaska Airlines anticipe un bénéfice inférieur aux prévisions au troisième trimestre, impacté par une augmentation salariale du personnel de cabine. (Source : air-journal.fr)

Partis le 4 juillet 2024 d’Annecy, le Velis Electro de l’Elektro Tour est revenu à son point de départ le 20 juillet vers 16h30. Comme prévu ! Un véritable défi technique et de navigation, une aventure humaine pour les quatre jeunes pilotes qui se sont relayés. A peine arrivés, ils envisagent un tour d’Europe, pourquoi pas à bord d’un autre avion électrique ou hybride. (Source : aerobuzz.fr)

L’espace aérien sera fermé pendant la soirée d’ouverture des Jeux Olympiques, vendredi 26 juillet 2024, dans un périmètre de 150 km autour de Paris. Dans ce cercle constituant la Zone d’interdiction temporaire, tous les aéroports franciliens seront fermés de 17h30 jusqu’à minuit et tous les vols seront donc suspendus, y compris de/vers les aéroports Paris-CDG, Paris-Orly et Le Bourget. « Hormis les vols des services d’urgence et les vols pouvant bénéficier, à titre exceptionnel, d’une dérogation accordée par l’Armée de l’Air et de l’Espace, aucun vol (ni décollage, ni atterrissage, ni survol) ne sera permis dans cet espace aérien sur le créneau horaire mentionné », selon la Direction générale de l’aviation civile. (Source : air-journal.fr)

Ce n’est pas encore une impasse mais ça y ressemble de plus en plus. Les difficultés de Boeing et d’Airbus à satisfaire la demande des compagnies aériennes en avions de dernière génération et les investissements nécessaires pour produire à grande échelle les carburants d’aviation durables (SAF) fragilisent l’objectif de neutralité carbone que s’est fixé le secteur aérien. (Source : bfmtv.com)

Cette grand-messe fait une belle place à la défense ou encore aux projets d’aéronefs décarbonés et est l’occasion d’un traditionnel match des commandes entre Airbus et Boeing. Mais s’il y aura vraisemblablement des annonces de contrats et d’intenses discussions commerciales, pour les deux grands avionneurs, l’essentiel est ailleurs. Tous deux s’efforcent de régler leurs problèmes de production afin de livrer leur énorme carnet de commandes qui cumule près de 15.000 appareils, en hausse de 18% sur un an. (Source : bfmtv.com)

La planète devrait être sillonnée en 2043 par un peu plus de 50.000 avions commerciaux, soit quasiment le double de la flotte actuelle, selon les prévisions publiées vendredi par le constructeur aéronautique américain Boeing. "La flotte mondiale va doubler, avec près de la moitié des livraisons (de nouveaux avions) pour des remplacements" d’appareils d’anciennes générations, précise l’avionneur, avant l’ouverture lundi du salon aéronautique de Farnborough. Sur les quelque 26.750 avions commerciaux actuellement en service (passagers et fret), seulement 6.195 devraient encore voler dans vingt ans. "L’équilibre entre remplacement et croissance (du marché) est très proche, quasiment 50-50", avec respectivement 20.600 et 23.400 avions, a noté Darren Hulst, vice-président chargé du marketing de la branche aviation commerciale de Boeing. En résumé, près de 44.000 nouveaux avions vont devoir sortir des chaînes d’assemblage d’ici 2043 pour répondre à la demande, dont plus de 33.000 monocouloirs et 8.000 bicouloirs. Mais, du fait de problèmes de production, de contrôle qualité et d’approvisionnement, les deux grands constructeurs mondiaux - Boeing et son concurrent européen Airbus - affichent des retards de livraison et leurs carnets de commande sont pleins jusqu’à la fin de la décennie. La pénurie actuelle est estimée à 2.000 avions, forçant les compagnies à prolonger l’exploitation de leurs flottes aux capacités inférieures et aux caractéristiques techniques datées, notamment en termes d’émissions polluantes. Boeing s’est néanmoins montré optimiste sur l’aptitude des constructeurs à fournir les volumes nécessaires. (Source : bfmtv.com)

Troisième avionneur mondial derrière Airbus et Boeing, Embraer a livré au total 47 avions au deuxième trimestre 2024, dont 19 avions commerciaux et 27 jets d’affaires, contre 25 avions au deuxième trimestre 2023, soit une hausse de 88%. Ce qui porte à 71 le nombre de livraisons au premier semestre 2024, contre 62 à la même période l’an dernier. Les troisième et quatrième trimestres seront très bons“, a ajouté Antonio Carlos Garcia à propos d’une période qui est saisonnièrement plus active pour les constructeurs d’avions. Et d’ajouter : “Il y a encore quelques problèmes au niveau de la chaîne d’approvisionnement, mais nous sommes convaincus que nous atteindrons nos objectifs“. Embraer prévoit de livrer 72 à 80 avions commerciaux cette année, contre 64 l’année dernière, ainsi que 125 à 135 jets d’affaires, contre 115 en 2023. Présent au salon aéronautique de Farnborough, Embraer compte bien décrocher des commandes face aux géants Airbus et Boeing -l’avionneur brésilien n’accumule pas des retards de livraison ou problèmes de production comme ses concurrents. (Source : air-journal.fr)

Boeing s’attend à ce que les fournisseurs de la chaîne 787 Dreamliner rattrapent leur retard d’ici la fin de l’année et rétablissent leur production, pour passer à une cadence de cinq avions par mois à la fin de l’année à dix avions par mois en 2025/2026. Boeing prévoit d’achever d’ici la fin de l’année le réusinage de plus d’une centaine de 787 Dreamliner, engagé après l’identification en 2020 de défauts de fabrication sur des fuselages. A fin juin, quelque 2 368 exemplaires du 787 Dreamliner (entré en service en 2011) ont été commandés au total, dont 786 figurent encore dans le carnet de commande. (Source : air-journal.fr)

La FAA) vient enfin d’octroyer au Boeing 777-9 une autorisation dite TIA, première étape indispensable dans son processus de certification. Une étape franchie à point nommé pour le 777-9 -le plus gros avion produit au monde depuis les superjumbos Airbus A380 et Boeing 747- juste avant le salon aéronautique international de Farnborough, où l’avionneur américain compte présenter la cabine de son dernier né. Ce feu vert de la FAA est délivré lorsque l’examen des données techniques requises est terminé ou est suffisamment avancé pour estimer que l’appareil satisfera aux réglementations applicables, a expliqué Brad Till, directeur marketing de la branche aviation commerciale de Boeing. En clair, l’autorisation TIA signifie que certains aspects de la conception du 777-9 sont suffisamment prêts pour que le régulateur américain puisse procéder à des évaluations approfondies afin de s’assurer que l’avion répond aux normes réglementaires. (Source : air-journal.fr)

Embraer a livré 47 jets au 2e trimestre 2024, dont 19 avions régionaux et 27 biréacteurs d’affaires. L’avionneur brésilien a également livré un avion de transport multi-missions C-390 Millennium. Embraer boucle le premier semestre 2024 sur un carnet de commandes s’élevant à 21,1 milliards de dollars. (Source : aerobuzz.fr)

Cinq ans après son lancement, la version à très long rayon d’action de l’A321 vient d’être certifiée par l’Agence européenne de la sécurité aérienne. Iberia sera la première compagnie aérienne à l’exploiter. (Source : ladepeche.fr)

CFM International a annoncé l’accélération des progrès du programme de démonstration technologique Revolutionary Innovation for Sustainable Engines (RISE). Plus de 250 essais ont été réalisés et de nouveaux partenariats de recherche ont été conclus, tandis que les technologies continuent de mûrir sur la voie des essais en vraie grandeur de la soufflante ouverte. (Source : air-cosmos.com)

National Airlines a annoncé lundi qu’elle avait accepté d’acheter quatre Boeing 777 Freighters afin d’étendre ses opérations de livraison. National Airlines exploite actuellement une flotte de neuf 747-400 qui ont desservi 400 aéroports dans le monde l’année dernière. "Ils volent tous à plein régime", a déclaré Christopher Alf, président de National Airlines, ajoutant que le transporteur avait besoin d’une plus grande capacité. (Source : zonebourse.com)

Korean Air a passé une commande ferme de 20 gros-porteurs 777-9, qui doit encore obtenir sa certification, et de 20 Dreamliner 787-10 lors d’une cérémonie de signature, lundi au premier jour du salon aéronautique de Farnborough. Le contrat, qui comprend également une option pour dix 787 supplémentaires, s’élève à plus de 15 milliards de dollars au prix catalogue - rarement appliqué. Le président de la compagnie Walter Cho a indiqué attendre la première livraison en 2028 et dit espérer qu’elle aura lieu « à l’heure ». (Source : lefigaro.fr)

Un an après avoir commandé des monocouloirs MAX-7 et MAX-8, Luxair a confirmé aujourd’hui une nouvelle commande portant cette fois sur deux Boeing 737 MAX-10 avec des options pour deux autres. (Source : air-journal.fr)

A cause de la chaleur intense qui touche les Etats-Unis cet été, des canettes de soda explosent à bord, souvent lors de leur ouverture, faisant déjà d’une vingtaine de blessés parmi les équipages de cabine de la compagnie aérienne Southwest Airlines, rapporte la chaîne CBS News. Le problème est connu et revient à chaque canicule : Southwest Airlines ne stocke pas de denrées périssables à bord et n’est donc pas tenue d’utiliser des camions de restauration climatisés pour livrer les repas et les boissons à l’embarquement. (Source : air-journal.fr)

Le fleuron tricolore, qui opérait à l’aéroport sud-francilien depuis 1958, y arrête progressivement ses vols d’ici à 2026. Deux préavis de grève ont été déposés du lundi 22 au jeudi 25 juillet et du mardi 23 au lundi 29 juillet, face à ce qui est vécu comme un abandon par une partie du personnel. Mais le calme apparent se craquelle en ce début d’été, alors que les mutations vers Roissy se préparent. (Source : leparisien.fr)

Finalement, aucune négociation n’a eu lieu entre l’intersyndicale et le directeur général d’Aéroport de Tahiti, ce dimanche. Les syndicats pointent du doigt ADT, lui reprochant de ne pas avoir confirmé le rendez-vous, et ADT d’assurer de l’avoir fait. La grève est donc effective dès zéro heure, ce lundi matin. (Source : tahiti-infos.com)

Le syndicat du personnel navigant commercial d’American Airlines a approuvé hier un accord de principe avec la direction, mettant fin dans l’immédiat à une menace de grève. (Source : air-journal.fr)

Le syndicat minoritaire Force ouvrière a déposé un préavis de grève pour ce vendredi 26 juillet, jour de la cérémonie d’ouverture des JO, exigeant davantage de concessions salariales que celles prévues par un accord récent. Il souhaite notamment que la prime versée à tous les employés soit portée à 1.000 euros. (Source : europe1.fr)