Alors que l’exécutif avait promis de ne pas augmenter la taxe sur les billets d’avion en septembre dernier, elle pourrait finalement flamber en 2025, ce qui entraînerait mécaniquement une hausse des tarifs. Selon Les Échos, lors du dernier congrès de la Fédération nationale de l’aviation (Fnam), les différents participants ont eu une drôle de surprise : ils ont découvert que le gouvernement envisageait une hausse de taxe sur les billets d’avion, plus précisément de la taxe dite de solidarité (TSBA). Celle-ci entraînerait mécaniquement une flambée du prix des billets d’avion. Pourquoi envisager une hausse de cette taxe ? Interrogé, le secrétaire adjoint du SGPE, Frédérik Jobert a estimé qu’elle serait nécessaire pour combler l’écart de taxation « en euros à la tonne de CO2 » entre les vols domestiques, les vols intra-européens et les vols long-courriers. (Source : capital.fr)

La construction de l’aéroport Willy Brandt de Berlin-Brandebourg a été marquée par un démarrage pour le moins compliqué. Controverses, scandales et retards à répétitions ont jalonné la conception de ce titanesque édifice. Jusqu’à son ouverture en plein cœur d’une pandémie mondiale, cet aéroport a relevé les défis techniques et commerciaux les plus incroyables auxquels un projet se soit confronté. Mais, au-delà de son histoire tourmentée, quelles perspectives nous réserve réellement ce géant de l’aviation ? En 2024, des avancées majeures sont attendues. Aletta von Massenbach, PDG de l’opérateur Flughafen Berlin Brandenburg GmbH , l’entreprise chargée de l’administration de l’aéroport, anticipe une augmentation de 8 % du nombre de passagers. Elle attribue le retard de la reprise à des taxes élevées, qui ont dissuadé certaines compagnies aériennes telles que Easy Jet ou Ryanair. Pour répondre aux besoins croissants des voyageurs et optimiser les opérations de contrôle, l’aéroport investit dans des équipements de pointe. (Source : laquotidienne.fr)

Les salariés et la nouvelle direction d’Air Antilles ont poussé un grand ouf de soulagement, que nous avons pu presque entendre en métropole. Jeudi 23 mai 2024, la DGAC leur a notifié l’obtention de l’indispensable Certificat de Transport Aérien (CTA), pour enfin pouvoir reprendre l’activité commerciale de la compagnie, estimée pour la fin du mois de mai et une reprise entière de l’activité au plus tard, avant les vacances d’été. (Source : TourMag.com)

Depuis quelques mois, Air Corsica a recours à des avions de compagnies européennes afin d’assurer certains vols. En cause notamment : des retards de livraison des nouveaux appareils. La situation devrait revenir à la normale d’ici la seconde quinzaine de juillet, selon la compagnie. (Source : france3-regions.francetvinfo.fr)

Qatar Executive, filiale du groupe Qatar Airways, vient d’intégrer deux nouveaux Gulfstream G700 à sa flotte, devenant ainsi l’opérateur commercial exclusif de ce jet privé à très long rayon d’action, considéré comme le plus performant dans son domaine. La flotte toute neuve de G700 sera pleinement opérationnelle pour des vols commerciaux dès juin 2024. (Source : TourMag.com)

Il y a foule sur le stand d’Aéroports de Paris. Et pour cause, l’entreprise allemande Volocopter expose sur place son prototype d’aéronef électrique à décollage et atterrissage vertical. Une forme d’hélicoptère-taxi de nouvelle génération, appelé eVTOL, avec un pilote et un passager. Pour quels usages ? Le transport de passagers (notamment affaires), et des vols à vocation sanitaire, nous répond à VivaTech Jean-Christophe Drai, Commercial Lead France de l’entreprise. (Source : lechotouristique.com)

Airlines for America (A4A), l’organisation professionnelle représentant les principales compagnies aériennes américaines, lance une nouvelle campagne exhortant le ministère des Transports du pays et la Federal Aviation Administration à prendre des mesures rapides pour faire face à l’urgence et au désastre du trafic aérien du pays et la pénurie de contrôleurs. La campagne « Staff the Towers » d’A4A sera une campagne à multiples facettes visant à exhorter le DoT et la FAA à résoudre la crise actuelle du personnel de contrôle du trafic aérien à laquelle les Etats-Unis sont confrontés. Les informations sur cette campagne seront diffusées via un nouveau site Web, des articles de blog, des newsletters, les réseaux sociaux et d’autres canaux. « Nous tirons la sonnette d’alarme sur cette question depuis plus d’un an, car les installations radar de contrôle du trafic aérien de notre pays manquent de personnel et sont surchargées de travail », a déclaré Nicholas E. Calio, président-directeur général d’A4A. « Il est grand temps que le secrétaire Buttigieg et l’administrateur Whitaker prennent des mesures pour résoudre cette crise et augmenter les effectifs. » Le dernier plan de main-d’œuvre des contrôleurs de la FAA montre qu’il manque encore 3 000 contrôleurs à l’agence. (Source : air-journal.fr)

Certains passagers ne manquent pas d’inventivité quand il s’agit de faire des économies. Si une technique bien connue consiste à porter plusieurs couches de vêtements pour alléger son bagage et éviter de dépasser la franchise, ce voyageur espagnol est allé encore plus loin. Pour que sa valise respecte les dimensions imposées par Ryanair, Daniel a tout simplement détruit ses roulettes avant d’embarquer dans un vol entre Palma de Majorque et Malaga. Dans une vidéo largement partagée sur les réseaux sociaux, on le voit donner des coups de pied et tirer avec force sur les roulettes, le tout sous les yeux amusés du personnel de l’aéroport et des autres passagers. « J’ai dit à Ryanair que [le supplément] coûtait 30 € il y a 10 ans et que je n’allais pas payer les 70 € qu’ils me demandaient. Enregistrer ma valise m’aurait coûté plus cher que le vol lui-même », déclare-t-il au journal britannique The Sun . Applaudi par les autres passagers, Daniel a pu embarquer sans payer de supplément, sa valise respectant les dimensions sans ses roulettes. (Source : lefigaro.fr)

Pas de chance si vous aviez prévu de partir de Paris Orly ce samedi 25 mai : 70% des vols devraient être annulés en raison de l’appel à la grève de l’un des principaux syndicats de contrôleurs aériens. Les voyageurs devront prendre leur mal en patience et pourront, dans certains cas, bénéficier d’une prise en charge et d’indemnisations. (Source : capital.fr)

Embraer, un leader mondial de l’innovation aérospatiale, a annoncé un accord historique avec Avfuel pour augmenter son utilisation de Neste MY Sustainable Aviation Fuel (SAF) à l’aéroport international de Melbourne Orlando. (Source : air-journal.fr)

Empêtré dans une série d’incidents qui ont révélé des failles dans le contrôle de sa chaîne de production, le constructeur américain a annoncé qu’il ne prévoyait plus de dégager de trésorerie lors de son exercice 2024. En réaction, l’action de l’avionneur américain a décroché à Wall Street. Vers 15h45 GMT, le titre cédait 5,25%. Empêtré dans une série de difficultés, notamment un incident en vol le 5 janvier, le groupe a effacé plus de 32% de sa capitalisation boursière depuis le début de l’année.

Après 5 ans d’efforts, Airbus devrait obtenir avant l’été l’accord de l’agence européenne de sécurité aérienne pour démarrer les livraisons de son nouveau best-seller, l’A321 XLR. Un appareil « deux en un » unique en son genre, capable d’effectuer aussi bien des vols moyen-courriers que des long-courriers. (Source : lesechos.fr)

Boeing est confronté à un défi de taille : rétablir le programme 737 Max ne suffit plus. Pour rivaliser de manière compétitive avec Airbus, le géant de l’aéronautique doit miser sur la conception d’un tout nouvel avion, afin de freiner la perte de parts de marché au profit de son concurrent Airbus. (Source : forbes.fr)

Désormais, le personnel navigant cessera de distribuer repas et boissons chaudes dès que le signal « attachez vos ceintures » est allumé. Singapore Airlines « continuera à revoir ses procédures car la sécurité de ses passagers et de son équipage est de la plus haute importance ». (Source : lemonde.fr)

Des enquêteurs singapouriens ont commencé à analyser les données de vols et les enregistrements dans le cockpit après des turbulences qui ont fait un mort et une centaine de blessés mardi lors d’un vol de la compagnie Singapore Airlines. Des données de vol montrent que le Boeing 777-300ER a plongé de 1.800 mètres en quelques minutes. (Source : latribune.fr)

L’Unsa-Icna, deuxième syndicat représentatif des aiguilleurs du ciel, a appelé ce jeudi 23 mai à une grève samedi et dimanche à l’aéroport de Paris-Orly, pour dénoncer un manque d’effectifs dans le personnel. (Source : liberation.fr)

La Direction générale de l’Aviation civile a demandé vendredi aux compagnies aériennes d’annuler préventivement 70% des vols à Paris-Orly samedi, en raison de l’appel à la grève d’un syndicat de contrôleurs aériens. « Les opérateurs aériens doivent réduire leur programme de vols commerciaux pour la journée du 25 mai 2024 de 4h00 à 21h30 de 70% (...) sur l’aéroport de Paris-Orly », selon une « notice pour les missions aériennes » publiée par la DGAC. Les vols à destination des outremers, nombreux au départ d’Orly, ne sont pas touchés par ces demandes d’abattements au nom de la « continuité territoriale », précise l’Aviation civile. Le ministre délégué aux Transports Patrice Vergriete a « déploré » cet appel à la grève, appelant les contrôleurs aériens « à leur responsabilité ». « Je déplore le comportement de quelques agents au niveau local, qui refusent de reconnaître la légitimité d’un accord majoritaire et en font payer le prix aux passagers. J’en appelle à leur responsabilité », a affirmé le ministre. Parallèlement à la mobilisation de l’Unsa-Icna à Orly, l’Usac-CGT a déposé un préavis de grève du 23 au 30 mai pour protester spécifiquement contre l’affaiblissement du « maillage territorial » prévu selon le syndicat par la réforme du contrôle aérien. (Source : lefigaro.fr)

Dans un monde qui doit opérer sa transition énergétique, la France souhaite faciliter l’adoption des transports en commun par le plus grand monde, notamment en rendant les billlets plus facilement utilisables. Pour parvenir à cet objectif, le gouvernement a décidé de créer un titre utilisable partout en France, quel que soit le réseau emprunté. Quelques semaines après cette annonce, une nouvelle étape a été franchie. Le 23 avril 2024, le ministre délégué aux Transports a présidé la première réunion du comité de pilotage du projet de « titre de transport unique national ». Ce projet, faisant l’objet d’un protocole d’accord signé avec le Groupement des autorités responsables des transports (GART) et Régions de France, vise à expérimenter, à partir de la fin de l’année 2024, une solution permettant de réaliser des trajets de bout en bout sur tout le territoire national avec un seul titre de transport. (Source : lechotouristique.com)