L’IATA a publié des données montrant que les voyageurs en Europe bénéficient de tarifs aériens inférieurs à l’inflation, alors que le trafic de passagers poursuit sa reprise post-Covid. Selon les derniers chiffres de l’IATA, le trafic de passagers en Europe européens n’est qu’en baisse de 3,6 % par rapport au pic de 2019. Les Européens voyagent malgré le contexte inflationniste : en juin, les prix moyens des billets d’avion en Europe étaient environ 16 % plus élevés qu’avant la pandémie. Cependant, ce chiffre est inférieur à l’indice moyen des prix à la consommation de l’UE, qui s’élevait en juin à 20 % par rapport à celui d’avant la pandémie. (Source : air-journal.fr)

ADP a annoncé hier soir que le trafic passagers de ses deux aéroports parisiens avait augmenté de 8,3% en octobre par rapport au même mois de l’an dernier, pour atteindre 8,9 millions de personnes transportées. Dans un communiqué, le groupe aéroportuaire précise que son trafic sur Paris-CDG et Paris-Orly est désormais revenu à 96% de ses niveaux d’octobre 2019. Aéroports de Paris ajoute que depuis le début de l’année, le trafic du périmètre Paris Aéroport ressort en hausse de 17,2% à 84,5 millions de passagers. (Source : boursorama.com)

  Le Figaro : Les voyageurs reviennent dans les aéroports parisiens, mais pas pour les mêmes destinations - Les aéroports parisiens ont poursuivi en octobre leur remontée vers les niveaux d’avant-pandémie, retrouvant 96% de leurs passagers de la même période de 2019, a annoncé mercredi leur gestionnaire. Ce sont les flux avec l’Afrique qui se portent le mieux (114,7% d’octobre 2019), suivis des liaisons avec les pays de l’espace Schengen (104%), puis l’Amérique du Nord (100,9%). L’Asie-Pacifique reste toujours en retrait à 74,8%, de même que le trafic intérieur français, à 75,2%.

Les aéroports Paris-Charles de Gaulle et Paris-Orly ont poursuivi en octobre 2023 leur remontée vers les niveaux d’avant-pandémie, retrouvant 96% de leurs passagers de la même période pré-pandémique de 2019, a annoncé le gestionnaire Groupe ADP. Quelque 8,9 millions de passagers y ont transité en octobre, soit une hausse de 8,3% sur un an. Paris-CDG a accueilli 5,98 millions de passagers le mois dernier, soit 90,1% du total d’octobre 2019, période de référence avant la pandémie de Covid. Paris-Orly, spécialisé dans les court et moyen-courriers ainsi que l’Outremer, continue de connaître une fréquentation au-dessus des niveaux d’avant-crise à 111%, soit 2,91 millions de passagers. En septembre 2023, le taux de reprise avait été de 94,6%, et en août de 93,9%, par rapport à la période pré-pandémique. Sur les neuf premiers mois de l’année, CDG et Orly ont accueilli 84,4 millions de voyageurs, soit 91,8% du volume de la période correspondante quatre ans plus tôt, dans la fourchette des objectifs du gestionnaire pour l’exercice 2023, entre 87% et 93%. (Source : air-journal.fr)

En octobre, environ 2,36 millions de passagers ont transité par l’aéroport de Berlin-Brandebourg, confirmant la progression de l’activité du nouvel aéroport international de la capitale fédérale de l’Allemagne. Pour comparaison, en octobre 2022, il y a eu 2,1 millions de passagers. En octobre de l’année pré-coronavirus 2019, environ 3,2 millions de passagers ont été dénombrés dans les anciens aéroports de Tegel et de Schönefeld.
Au total, quelque 19,5 millions de passagers ont transité (départ et arrivée) à Berlin-Brandebourg au cours des dix premiers mois de cette année. C’est presque autant que sur la totalité de l’année 2022, avec 19,8 millions de passagers. (Source : air-journal.fr)

EDEIS et Helipass s’allient pour aider les opérateurs d’hélicoptères présents sur le premier réseau d’aéroports de proximité en France et en Outre-mer à développer leur activités grâce au savoir-faire digital et à la présence internationale d’Helipass. Edeis souhaite accompagner le développement du trafic sur ses 16 plateformes aéroportuaires avec un objectif double : participer à l’attractivité touristique de nos territoires tout en préparant l’arrivée des transports aériens décarbonés de demain. (Source : aeromorning.com)

Le Premier ministre cambodgien a inauguré jeudi le nouvel aéroport à un milliard d’euros financé par la Chine, desservant les célèbres temples d’Angkor, qui doit redynamiser le tourisme. Le site, qui s’étale sur 700 hectares, doit pouvoir accueillir 12 millions de passagers par an d’ici 2040. Il se trouve à une quarantaine de kilomètres des temples d’Angkor. (Source : france24.com)

Lundi 13 novembre 2023, Didier Mandelli, rapporteur de la mission d’information flash relative à la modernisation de l’aéroport de Nantes Atlantique, s’est rendu sur le terrain à l’écoute des préoccupations des principales parties prenantes, six semaines après l’émoi et la forte incompréhension suscités par l’annonce de l’abandon de la procédure d’appel d’offres sur ce projet. Sur la méthode, les acteurs (élus locaux, acteurs économiques et riverains) ont souligné à l’unisson le manque de transparence et de concertation de la part des services de l’État tout au long de l’instruction de ce dossier. Ils déplorent notamment des revirements successifs de la part du Gouvernement et des décisions aux fondements parfois opaques, que ce soit au cours de l’élaboration du précédent cahier des charges – par exemple, s’agissant de l’extension un temps envisagée de la piste d’atterrissage – ou au moment de la déclaration sans suite quatre ans après le lancement de l’appel d’offres. Sur le fond, si les interlocuteurs rencontrés ont pu faire part de visions divergentes sur l’avenir de l’aéroport, un fort consensus se dégage sur la nécessité de renforcer la protection des populations contre les nuisances causées par cet aéroport urbain, en particulier les nuisances sonores. À ce titre, le rapporteur a été sensible aux témoignages des riverains qui mettent en lumière de sérieux enjeux de santé publique. (Source : senat.fr)

Ce jeudi 16 novembre 2023, le ministre des Transports, Clément Beaune sera en visite à Nantes. Aéroport et RER métropolitain seront au programme. Clément Beaune présidera « le comité de l’aéroport Nantes-Atlantique ». Le ministre doit présenter les orientations concernant l’avenir de l’aéroport à la suite de la concertation menée sur le territoire. Il y a quelques semaines, les 24 maires de la Métropole avaient adressé un courrier à Clément Beaune pour formaliser leurs attentes concernant la relance de l’appel d’offres. Selon Presse-Océan, un engagement financier de l’État d’un montant d’un milliard d’euros pour les cinq prochaines années devrait être entériné. Une somme que pourrait bénéficier le projet du RER métropolitain de Nantes. (Source : actu.fr)

Comme il s’y était engagé devant les élus locaux le 2 octobre, le ministre des Transports revient ce jeudi à Nantes pour préciser les contours du nouvel appel d’offres qui sera lancé « d’ici la fin de l’année » par l’État en vue de désigner un nouveau concessionnaire et lancer les travaux de modernisation de l’aéroport. (Source : ouest-france.fr)

Volotea a présenté son bilan de l’année et ses nouveautés en 2024 à l’aéroport Lille-Lesquin. Depuis 2012, date de son arrivée à l’aéroport lillois, Volotea a transporté près de 2 millions de passagers. Cette année a notamment été marquée par une croissance significative à Lille avec près de 600 000 sièges proposés (soit + 29% vs 2022) dont 37 % sont dédiés aux destinations insulaires. La compagnie aérienne espagnole, qui a célébré cette année le premier anniversaire de sa base lilloise en avril dernier, prévoit d’étoffer son offre de près de 10% pour atteindre 630 000 sièges offerts en 2024. Après avoir connecté Lille avec une dizaine de capitales régionales françaises et européennes, Volotea continuera de jouer un rôle central l’année prochaine avec un total de 29 destinations (23 en exclusivité) dans huit pays (France, Espagne, Italie, Grèce, Bulgarie, Croatie, Maroc, Portugal) au départ et vers Lille-Lesquin. En 2024, Volotea proposera trois nouvelles routes vers la Grèce. (Source : air-journal.fr)

Plusieurs syndicats européens du transport aérien ont appelé jeudi la Commission européenne à approuver "rapidement" le rachat par le groupe allemand Lufthansa de sa concurrente italienne ITA Airways. "Nous appelons la Commission européenne à rapidement approuver et soutenir le rapprochement" entre les deux compagnies aériennes "afin de maintenir la souveraineté européenne sur les infrastructures aéronautiques critiques", indique un communiqué commun de plusieurs syndicats italiens, allemands et autrichiens. (Source : zonebourse.com)

Corse-Matin a consulté le rapport qui sera soumis au vote des élus de l’Assemblée de Corse le 30 novembre et dans lequel est détaillée l’analyse des offres des soumissionnaires à la prochaine délégation de service public aérienne. Air Corsica obtient un bilan globalement plus positif que sa concurrente catalane qui s’est positionnée sur les lignes au départ d’Ajaccio et de Bastia vers Marseille. Les négociations pour l’attribution des lignes Paris-Orly sont toujours en cours. (Source : corsematin.com)

Dans une déclaration commune ce mardi 14 novembre, le président de la région Paca, le maire de Nice et la patronne d’Air-France KLM travaillent de concert pour maintenir "une desserte de qualité" depuis Paris-Orly. (Source : france3-regions.francetvinfo.fr)

Air France prolonge la suspension de sa liaison entre Paris-CDG et Bamako, au minimum jusqu’au début de la prochaine saison estivale, en mars 2024, selon la radio RFI. La compagnie avait décidé de manière unilatérale de suspendre ses vols vers Bamako le 7 août dernier, justifiant cette décision par le « coup d’État au Niger » et « la situation géopolitique » au Sahel. Interrogée par RFI, Air France a invoqué des « raisons opérationnelles » pour expliquer cette nouvelle échéance. Par ailleurs, Air France et sa filiale low cost Transavia suspendent jusqu’à nouvel ordre leurs liaisons vers Israël. En conséquence, les vols prévus de et vers Tel Aviv jusqu’au 17 décembre 2023 sont annulés. (Source : air-journal.fr)

Réuni en assemblée plénière, la CTG a décidé ce matin d’accorder la délégation de service public d’urgence, d’une durée de 7 mois, à la nouvelle compagnie aérienne guyanaise Guyane Fly. Deux propositions de reprise de la desserte aérienne en Guyane étaient sur la table. Celle de la compagnie Chalair, qui assure en ce moment le trafic aérien jusqu’au 4 décembre, et celle de Guyane Fly, une nouvelle compagnie créée par l’entrepreneur Franck Louison. L’offre de Chalair proposait de réaliser les rotations avec deux avions Twin Otter, ce qui réduisait fortement le nombre de places disponibles par rapport au service délivré par la précédente compagnie Air Guyane. Le projet prévoyait de conserver 20 à 27 salariés de la précédente compagnie. L’offre de Guyane Fly, en partenariat avec l’entreprise tchèque Van Air, qui fournira les avions et le groupe Jet Airways, qui s’occupera de la partie commerciale, prévoit une capacité similaire à celle d’Air Guyane. 40 anciens employés, sur 78, devraient être conservés. Le seul potentiel obstacle est l’attribution d’un Certificat de Transporteur Aérien (CTA). En effet, la compagnie Van Air ne dispose pas encore de la version de ce document pour opérer en Amérique du Sud. (Source : franceguyane.fr)

Suite à l’avis négatif que vient de donner le Conseil de Paris à propos du projet d’expérimentation d’un service de taxis-volants électriques (eVTOL) pendant les Jeux olympiques Paris 2024, Gilles Rosenberger propose ici un arrêt sur image. Où en est l’urban air mobility ? Cet expert de la "Nouvelle Aviation » répond à cette question. (Source : aerobuzz.fr)

Plus de 500 000 jeunes Sud-Coréens passent, ce jeudi, le « suneung ». Un examen devant leur permettre d’accéder aux universités les plus prestigieuses du pays. Cet examen est si important que les autorités ont pris des mesures drastiques pour empêcher toute perturbation pendant l’examen. Afin de réduire les nuisances sonores pendant l’écoute du test d’anglais, le ministère des Transports de Séoul a annoncé une interdiction nationale de tous les décollages et atterrissages d’avions pendant 35 minutes, à l’exception des situations d’urgence. À l’exception des avions en détresse, tous les avions en vol doivent maintenir une altitude supérieure à 3 000 mètres pendant cette courte période. Plus de 90 vols ont dû être reportés à cause de l’examen. (Source : lepoint.fr)

Les jeunes, plus écolos que leurs aînés ? Pas vraiment dans leurs habitudes de voyage, selon une récente consultation. Menée par la Fondation Higher Education for Good, celle-ci met en lumière le rapport complexe des jeunes Français à l’environnement et au loisir. Plus de la moitié des 15-29 ans interrogés ne veut pas modifier certains aspects de sa vie pour faire face à la crise environnementale. Pour 27% d’entre eux, renoncer aux activités, et notamment aux voyages, est impensable. Ces apparentes contradictions ne sont pas sans rappeler le rapport de 2022 de la Chaire Pégase, qui étudie l’économie et le management du transport aérien. En effet, celui-ci dévoilait déjà que la génération Z (née entre 1198 et 2007) prenait plus l’avion que ses aînés. En 2021, celle qu’on surnomme la Gen Z avait volé en moyenne 1,1 fois. Soit plus que la génération X, née entre 1968 et 1987 (0,7 fois) et que les Baby-Boomer, nés avant 1968 (0,4 fois en moyenne). Pourtant, 74% des 15-24 ans affirmaient, dans un même temps, avoir conscience que le secteur aérien était polluant. (Source : lefigaro.fr)

Si l’ensemble des acteurs du transport prennent conscience des nécessaires adaptations et commencent à opérer de vrais changements, le temps pour atteindre les objectifs de diminutions d’empreinte carbone voire de les supprimer est encore loin…Entretien avec Gérard Feldzer, président d’aviation sans Frontières. (Source : tourhebdo.com)

Une commission du Conseil national a approuvé une taxe comprise entre 500 et 3000 francs sur les vols en jets privés. Cette idée va à l’encontre de ce qui a été décidé en votation. Le Parlement et les citoyens étaient majoritaires pour que les mesures de réduction du CO2 en Suisse ne passent pas par des taxes supplémentaires, en particulier en ce qui concerne les transports. La commission de l’environnement du Conseil national a décidé récemment de nager à contre-courant en soutenant une taxe spécifique pour les jets privés. Elle devrait être comprise entre 500 et 3000 francs par vols. Le Conseil fédéral excluait lui aussi de nouvelles taxes et misait sur des incitations pour diminuer les émissions de gaz à effet de serre. Cette volte-face politique surprend et agace, lit-on ce mercredi dans le « Tages-Anzeiger », notamment car les vols commerciaux pour le grand public ne sont pas concernés. Selon une étude récente de Greenpeace, la Suisse est championne des vols en petit avion privé avec 35’000 décollages enregistrés en 2022. Le décompte réalisé par le « Tages-Anzeiger » montre que le pays est loin devant l’Allemagne, la France ou la Grande-Bretagne si l’on prend le nombre de trajets en jet rapporté au nombre d’habitant. (Source : 20min.ch)

Le Salon Aéronautique de Dubai 2023 est un véritable tourbillon d’innovations et de contrats majeurs, reflétant une renaissance spectaculaire de l’industrie aéronautique. Avec des accords impressionnants comme ceux d’EgyptAir et d’Emirates. On remarquera que ces contrats sont principalement sur 3 continents l’Asie (avec SCAT Airlines et Flydubai), l’Afrique (avec EGYPTAIR et Royal Air Maroc), et le Moyen-Orient (avec Emirates et Oman Air). Ces accords reflètent une croissance et une dynamique significatives dans ces régions.​ (Source : air-cosmos.com)

Le loueur Abelo commande 10 ATR 72-600 fermes au Dubai Airshow. Depuis le début 2023, le constructeur franco-italien aura engrangé 36 ventes fermes et 14 options et n’est plus très loin du cap des 40 ventes. ATR prévoit de livrer 40 avions neufs en 2023 après avoir livré 25 avions neufs et 11 d’occasions en 2022. Le constructeur table sur 50 livraisons en 2024 et vise un objectif ambitieux de 80 livraisons annuelles à partir de 2026. (Source : air-cosmos.com)

Southwest Airlines s’attend à ce que le Boeing 737 MAX-7, le plus petit modèle de la famille MAX, obtienne la certification de l’Administration fédérale de l’aviation américaine d’ici avril, ce qui permettra d’exploiter de vols commerciaux avec ce monocouloir à partir d’octobre ou novembre 2024. De son côté, Boeing a déclaré qu’il prévoyait la certification du MAX 7 d’ici la fin de l’année. En octobre, les dirigeants de la société ont déclaré que le calendrier restait inchangé, le directeur général Dave Calhoun affirmant que l’avionneur donnerait à la FAA “toute la flexibilité dont elle a besoin” pour prendre sa décision. (Source : air-journal.fr)

Emirates a signé une nouvelle commande de 15 Airbus A350-900 supplémentaires au salon aéronautique de Dubaï, portant son carnet de commande à 65 exemplaires du long-courrier de l’avionneur européen. Nous travaillerons en étroite collaboration avec Airbus et Rolls-Royce pour garantir que nos avions offrent la meilleure efficacité opérationnelle et la meilleure expérience de vol possibles à nos clients », a annoncé Ahmed ben Saeed Al Maktoum, le PDG d’Emirates Group. En revanche, la compagnie a reporté une commande d’Airbus A350-1000, le plus gros modèle de la famille A350, en raison d’un désaccord avec le motoriste Rolls-Royce sur l’entretien des moteurs Trent XWB-97 qui équipent le gros-porteur. (Source : air-journal.fr)

Avancée par un sénateur, cette proposition de loi contraint tout agent aérien à déclarer individuellement sa participation à un mouvement social, deux jours auparavant. Et ce, dès lors que son « absence est de nature à affecter directement la réalisation des vols ». Si l’exécutif espère ainsi mettre fin « à un système asymétrique », la gauche, elle, dénonce « une menace pour le droit de grève ». (Source : latribune.fr)

Un préavis de grève nationale a été déposé par plusieurs organisations syndicales des contrôleurs aériens pour la journée du lundi 20 novembre 2023, en France métropolitaine et outre-mer. Pour la journée du lundi 20 novembre 2023, la Direction générale de l’aviation civile a demandé aux compagnies aériennes de réduire leur programme de vols de 25% sur les aéroports de Paris-Orly et Toulouse-Blagnac et de 20% sur les aéroports de Bordeaux-Mérignac et Marseille-Provence. En outre, en dépit de ces mesures préventives, des perturbations et des retards sont néanmoins à prévoir. (Source : lechotouristique.com)

Approuvée à bas bruit par le Parlement, cette proposition de loi réforme pourtant un contrôle aérien français miné par des grèves à répétition. L’Assemblée nationale a entériné mercredi une proposition de loi visant à organiser les services de navigation aérienne en cas de mouvement social, malgré l’opposition de la gauche. Cet ultime vote fait suite à l’adoption de la proposition de loi au Sénat au mois de juin dernier. Ce texte, « protecteur et d’équilibre », permet de mettre fin « à un système asymétrique » à l’origine d’une « désorganisation du service public », a soutenu le ministre des Transports Clément Beaune depuis l’hémicycle. Les syndicats minoritaires, parmi lesquels la CGT et Force ouvrière, ont déposé un préavis de grève en réaction au vote. Entre 2005 et 2016, la France a comptabilisé 249 jours de grève dans ses tours de contrôle, contre 34 en Italie, 44 en Grèce, et moins de dix dans les autres États membres. (Source : lefigaro.fr)

En 2024, l’appel des horizons lointains résonnera chez les Français, les incitant à explorer des contrées aux quatre coins du globe, en quête d’aventures inédites et de découvertes inoubliables, d’après l’étude annuelle de Booking.com sur les prévisions de voyage en 2024. Les 10 destinations les plus plébiscités par les Français interrogés par le site de réservation hôtelière . (Source : air-journal.fr)