Transavia France a pris possession de son 65ème Boeing 737-800, tandis que sa maison-mère Air France a mené le vol d’acceptation de son 21ème Airbus A350-900, le premier équipé des nouvelles cabines. (Source : air-journal.fr)
Volotea propose 900.000 sièges cette année vers les aéroports de Corse, et prévoit d’en atteindre 1,5 millions d’ici 3 ans. Cette année, elle y propose 29 routes dont 16 exclusives desservant 9 villes françaises (Brest, Bordeaux, Caen, Lille, Lyon, Montpellier, Nantes, Strasbourg et Toulouse) depuis les quatre aéroports de l’île : Ajaccio, Bastia, Calvi et Figari. Et elle prévoit d’y ouvrir 10 nouvelles liaisons ces trois prochaines années. (Source : air-journal.fr)
Iberia proposera cet hiver quelque 300 vols par semaine entre Madrid et l’Amérique latine, représentant une hausse de l’offre de 14% par rapport à 2019. (Source : air-journal.fr)
easyJet a supprimé quelque 1700 vols en juillet, aout et septembre, anticipant de futures grèves du contrôle aérien. La compagnie explique sa décision par des « contraintes » dans l’espace aérien européen, allant de possibles grèves des contrôleurs (comme celles du printemps en France, qui ont entrainé pour elle des centaines d’annulations) aux conséquences de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, en passant par les retards « sans précédent » engendrés par la reprise du trafic aérien. Pas de problème d’effectifs, assure la compagnie aérienne selon qui elle a « plus de pilotes et de PNC que jamais », mais les retards dus au contrôle aérien sont « trois fois plus importants qu’avant la pandémie. (Source : air-journal.fr)
Norse Atlantic Airways ouvrira en décembre deux nouvelles liaisons vers Miami au départ de Paris-CDG et de Berlin. (Source : air-journal.fr)
ITA Airways propose cet été jusqu’à 14 vols quotidiens vers Paris et Nice au départ de ses bases à Rome et Milan, renforçant encore ce qui est son premier marché européen. Elle partage d’autres par ses codes avec China Airlines, permettant à cette dernière de renforcer son offre en Italie. (Source : air-journal.fr)
Kenya Airways veut se séparer de ses De Havilland et Embraer au profit d’une flotte 100% Boeing, dans le cadre d’une campagne de réduction des coûts. (Source : air-journal.fr)