Pour arriver à l’objectif de "zéro émission nette" dans le transport aérien d’ici à 2050, voulu par l’ONU, il faudra débourser 10.000 milliards de dollars, selon le cabinet de conseil Bain & Company, repris par le média La Tribune. En 2021, l’Association internationale du transport aérien avait de son côté estimé le coût brut à 2.000 milliards de dollars, soit cinq fois moins l’estimation du cabinet Bain & Company. Du côté d’Airbus, et son président exécutif Guillaume Faury, cité par La Tribune, on mise sur le fait que le coût des carburants d’aviation durables va mécaniquement baisser avec leur développement, pour atteindre un écart raisonnable de 20% à 50% supérieur aux carburants "classiques". (Source : challenges.fr)