Selon l’IATA, les compagnies africaines devraient diviser leurs pertes par trois en 2023, à 213 millions de dollars. Les 13 milliards envolés en 2020 ne sont plus qu’un lointain souvenir. (Source : jeuneafrique.com)

Toutes les infrastructures aéroportuaires ne seront pas concernées. Auprès du Parisien, ADP assure par exemple avoir été inclu à la liste des opérateurs "d’importance vitale" dans l’arrêté préfectoral. Quid des autres aéroports? La décision relève des préfets. Mais à ce stade, Nicolas Paulissen, délégué général de l’Union des aéroports français (UAF), dit n’avoir eu "aucune remontée de terrain" laissant penser que certains aéroports auraient été informés par les autorités de possibles coupures dans les mois qui viennent. Quand bien même ils seraient concernés, les conséquences seraient limitées "Tous les aéroports sont équipés de groupes électrogènes en cas de coupures, c’est une obligation de sécurité", explique Nicolas Paulissen. (Source : bfmtv.com)

Le géant de la logistique maritime MSC a décidé d’installer le hub européen de sa nouvelle compagnie aérienne de fret à l’aéroport de Liège, annonce mardi Liège Airport et y a débuté ses opérations samedi dernier. L’armateur italo-suisse a réceptionné récemment le premier de ses quatre Boeing 777-200F, dont les vols seront opérés par la compagnie Atlas Air. (Source : rtbf.be)

KLM Royal Dutch Airlines lancera au printemps prochain une nouvelle liaison entre Amsterdam et Rennes, qui devrait remplacer celle de sa sœur Air France. (Source : air-journal.fr)

South African Airways continue de reconstruire son réseau au départ de Johannesburg, avec la relance en décembre de liaisons vers Port Elizabeth, Windhoek et Victoria Falls. (Source : air-journal.fr)

Air Corsica a accueilli le premier de ses cinq ATR 72-600 sur l’aéroport d’Ajaccio qui va progressivement remplacer ses ATR 72- 500. D’ici le début du printemps 2023, la compagnie aura reçu quatre autres appareils de même type, à raison d’un avion chaque mois en moyenne. Les nouveaux appareils seront principalement positionnés sur les lignes de service public depuis la Corse vers Nice et Marseille. Fin 2023 début 2024, la compagnie recevra également deux Airbus A320neo qui viendront s’ajouter à ceux réceptionnés en 2019. (Source : TourMag.com)

easyJet poursuit son implantation (saisonnière) sur l’aéroport de Beauvais. Pour son programme d’été, la compagnie propose maintenant Milan et Nice. (Source : courrier-picard.fr)

WestJet lancera l’été deux nouvelles liaisons reliant Calgary à Barcelone, sa première vers l’Espagne, et à Tokyo, sa première vers le Japon. (Source : air-journal.fr)

La Fédération française de vol en planeur a signé une convention de partenariat avec le constructeur Aura Aero (Francazal) avec l’achat prévu d’un Intégral E, la version 100% électrique du biplace de voltige Integral. La fédération a pour objectif « d’exploiter cet avion au quotidien dans un usage de remorqueur au sein d’un club de vol en planeur ». Il s’agit de viser en pratique une réduction de l’empreinte carbone et de l’impact sonore lors des opérations de remorquage, actuellement assurées par 215 avions ou ULM à moteurs thermiques au sein de 162 clubs vélivoles. (Source : aerovfr.com)

Phénomène de grande ampleur dans les années à venir, les drones sont amenés à prendre plus de place dans le quotidien des européens. En ce sens, les réglementations sur les drones seront vraisemblablement plus strictes dans les années à venir selon les récentes mesures prises par la Commission européenne. (Source : dronesactu.com)

La cour a rejeté mardi l’appel qui contestait la validité de la déclaration des droits des passagers, à l’exception d’un règlement qui s’applique à la perte temporaire de bagages. Air Canada et Porter Airlines, ainsi que 16 autres appelants, dont l’Association du transport aérien international, avaient fait valoir que la charte des droits des passagers lancée en 2019 violait les normes mondiales et devrait être invalidée pour les vols internationaux. Dans des documents présentés à la cour, les compagnies aériennes ont fait valoir que le règlement outrepassait l’autorité de l’Office des transports du Canada et allait à l’encontre d’un traité multilatéral en imposant des exigences d’indemnisation trop strictes pour les annulations de vols ou la perte de bagages. L’OTC et le procureur général ont fait valoir qu’il n’y avait pas de conflit entre la protection des passagers et le traité. (Source : lesoleil.com)

Imaginer pallier la pollution d’un vol Paris-New-York, émettant plus de 2 tonnes de CO², en plantant des arbres, c’est ce que proposent aujourd’hui compagnies aériennes et opérateurs privés. Mais cocher cette case a-t-il seulement un sens ? Notre éclairage, à quelques semaines des vacances de Noël. (Source : lefigaro.fr)

Interdire des liaisons aériennes courtes au nom de la lutte contre les émissions de CO2, comme le fait la France, est « complètement absurde », a dénoncé mercredi Willie Walsh, le patron de l’IATA. « Si on éliminait tous les vols de moins de 500 km en Europe, typiquement visés pour les remplacer par des liaisons en train (…) on supprimerait 24% des vols en Europe. Mais les émissions de CO2 (du secteur aérien) ne baisseraient que de 3,84% », a plaidé Willie Walsh, citant un rapport de l’organisme de surveillance du trafic aérien Eurocontrol. (Source : lematin.ch)

"La production de carburant d’aviation durable atteindra au moins 300 millions de litres en 2022" contre 100 millions en 2021, a affirmé l’IATA. "Des calculs plus optimistes estiment que la production totale pourrait atteindre 450 millions de litres" pour ces carburants, élaborés par exemple à partir de biomasse ou d’huiles usagées, a ajouté l’Iata, à l’occasion de "journées de presse". (Source : zonebourse.com)

  La Tribune : Aérien : la production de carburants durables va tripler en un an, selon l’IATA - Leur production « atteindra au moins 300 millions de litres en 2022 » contre 100 millions en 2021, a affirmé l’Association internationale du transport aérien ce mercredi 7 décembre. Allant même plus loin : « Des calculs plus optimistes estiment que la production totale pourrait atteindre 450 millions de litres ». Encore embryonnaire, la production de ces SAF progresse très vite. Elle n’était en effet que de 25 millions de litres en 2019. Cela reste toutefois une quantité infime par rapport aux quelque 413 milliards de litres de carburant d’aviation consommés cette année-là, selon les chiffres de l’Agence internationale de l’énergie. La production devra encore s’accélérer si l’IATA veut atteindre son objectif intermédiaire de 30 milliards de litres de SAF disponibles par an en 2030.

Alors que l’évolution du système ETS dans l’aviation, en matière de taxe carbone, fait l’objet de discussions entre les différentes instances européennes, Luxair plaide pour un système plus juste sans pour autant être aussi virulent que Ryanair sur la question. (Source : paperjam.lu)

Un collectif de riverains de l’aéroport nantais, qui recense chaque mois des vols ne respectant pas le couvre-feu, plaide pour un moratoire plus strict. De son côté, la DGAC évoque une « nette amélioration » de la situation ces dernières semaines. (Source : lefigaro.fr)

L’Union européenne est parvenue mercredi à un accord sur une loi visant à augmenter le prix que les compagnies aériennes doivent payer lorsqu’elles émettent du dioxyde de carbone, dans le but d’encourager le secteur aérien à abandonner les combustibles fossiles. Les compagnies aériennes opérant en Europe doivent actuellement obtenir des permis sur le marché européen du carbone pour couvrir leurs émissions de CO2, mais l’UE leur accorde la plupart de ces permis gratuitement. La loi adoptée par les États membres de l’UE et le Parlement européen devrait modifier cette situation en supprimant progressivement ces permis gratuits d’ici à 2026, ont déclaré à Reuters des sources au fait des discussions. (Source : latribune.fr)

Le président du Shift Project Jean-Marc Jancovici a récemment proposé une mesure choc, 4 vols dans toute sa vie. Jean-François Rial, le PDG de Voyageurs du Monde, donne son avis. ’ai beaucoup d’estime pour Janco, que je connais depuis 15 ans. Lors de notre premier échange, il était déjà contre l’avion. Je lui avais alors évoqué l’utilité sociale du secteur : 10% d’emplois dans le monde, notamment dans des pays défavorisés, le rapprochement des peuples… Même si certains voyages – y compris chez Voyageurs du Monde – ont une utilité sociale très relative, fait remarquer à raison Jean-Marc Jancovici. Là où je ne suis pas d’accord avec lui, c’est sur le principe des quotas de vols. Je préfère encore ceux qui militent pour la suppression pure et simple de l’avion. 4 vols par personne et par vie, c’est inapplicable. Nous ne parviendrions jamais à une règle commune à 180 pays. Ce serait par ailleurs injuste, incontrôlable, et donnerait lieu à des passe-droits. Et puis, nous n’avons pas envie d’un système totalitaire à la chinoise. Jean-Marc Jancovici déclare qu’il n’existe pas de solution à l’échelle pour décarboner l’aérien dans les délais fixés par l’Accord de Paris, et il a raison : nous produisons 100 millions de litres de carburant de synthèse par an – la seule solution d’ampleur – sur un besoin de 450 milliards de litres… Mais il omet d’ajouter qu’il n’existe pas non plus de solution à l’échelle pour l’électricité verte, laquelle permettra de décarboner les autres activités comme les voitures ou le numérique. D’ici 2030 et 2050, la décarbonation est impossible pour tous les secteurs d’activité, pas seulement pour l’aérien. D’où ma proposition : nous devons réduire les émissions de CO2, et massivement planter des arbres pour absorber du carbone. C’est ainsi que nous gagnerons du temps sur le délai de la décarbonation. (Source : lechotouristique.com)

Embraer a dévoilé le lundi 5 décembre 2022 de nouveaux concepts d’avions dans le cadre de son rapport d’étape sur Energia - l’initiative d’Embraer visant à amener l’industrie aéronautique à un niveau net zéro d’ici 2050. Un an après l’événement Sustainability in Action d’Embraer, qui détaillait l’étude de quatre nouveaux concepts d’avions propulsés par de nouvelles technologies et des énergies renouvelables, la société s’est concentrée sur deux concepts d’avions de 19 à 30 places à propulsion hybride électrique et hydrogène électrique. (Source : air-cosmos.com)

Airbus a enregistré en novembre 29 commandes, et a remis 68 avions à 40 compagnies aériennes et sociétés de leasing. Mais il renonce à son objectif d’environ 700 livraisons cette année, tout en maintenant ses prévisions financières. A la fin novembre 2022, Airbus a enregistré 1062 commandes brutes cette année, après 237 annulations (dont 84 pour la seule famille A330), cela se traduit en 825 commandes nettes. (Source : air-journal.fr)

Airbus a annoncé mardi 6 décembre annuler ses prévisions de livraisons d’avions pour 2022, en raison des tensions d’approvisionnement qui ont ralenti sa production. Le groupe maintient néanmoins ses objectifs financiers, et ambitionne d’ailleurs toujours de fabriquer 75 A320 par mois au milieu de la décennie. (Source : usinenouvelle.com)

C’est le 7 décembre 2022 que Boeing a annoncé que le dernier 747, un -8, a quitté son usine de construction d’avions gros porteurs en vue de sa livraison à la compagnie Atlas Air en début d’année prochaine. Depuis son entrée en service en 1970, cet avion emblématique a transformé les voyages internationaux. La production du 747, premier bicouloir au monde, a débuté en 1967 et s’est poursuivie pendant 54 années au cours desquelles 1 574 appareils ont été produits. (Source : air-cosmos.com)

Au terme de son réquisitoire, le ministère public a estimé qu’il n’était « pas en mesure » de réclamer la condamnation d’Airbus et d’Air France pour le procès du crash du Rio-Paris. (Source : ouest-france.fr)

  francetvinfo.fr : Procès du crash du Rio-Paris : le parquet ne demande aucune condamnation contre Airbus et Air France, sous les huées des familles des victimes - Le parquet n’a demandé aucune condamnation contre Airbus et Air France, mercredi 7 décembre. Il a estimé n’être "pas en mesure de requérir la condamnation" des deux entreprises jugées pour homicides involontaires après le crash du vol Rio-Paris, dans lequel 228 personnes sont décédées le 1er juin 2009. La culpabilité des entreprises "nous paraît impossible à démontrer. Nous savons que cette position sera très probablement inaudible pour les parties civiles, mais nous ne sommes pas en mesure de requérir la condamnation d’Air France et d’Airbus", a déclaré en conclusion le procureur, sous les huées des familles des victimes.

Vendredi 2 décembre, un pilote d’avion savoyard s’est retrouvé devant le tribunal correctionnel d’Albertville pour « conduite d’un aéronef non-conforme aux règles de sécurité ». Il avait posté deux vidéos de lui survolant en rase-mottes, à 300km/h des altiports. La procureure requiert 3 mois de prison avec sursis, 2000 euros d’amende et interdiction de piloter un aéronef pendant 6 mois. Le jugement a été placé en délibéré au 13 janvier 2023. (Source : lasavoie.fr)

La direction d’easyJet a accepté une revalorisation salariale de 7,5% du personnel navigant en France, confirme mardi 6 décembre sur franceinfo le directeur général de la compagnie aérienne Bertrand Godinot. La menace d’une grève pour les fêtes de Noël semble donc s’éloigner. Cette proposition a en effet été "accueillie très favorablement" par le Syndicat national du personnel navigant commercial, selon Bertrand Godinot qui attend encore "une confirmation rapide" de l’autre syndicat des hôtesses et stewards d’EasyJet en France, l’Union des navigants de l’aviation civile. "Nous travaillons pour finaliser les détails de cet accord", explique Bertrand Godinot. (Source : francetvinfo.fr)