Alors que les cours de l’or noir dévissaient depuis plusieurs mois, sous l’effet combiné du resserrement monétaire de la Fed et de la baisse de la demande chinoise, la tendance commence à s’inverser. L’or noir pourrait remonter vers 100 dollars d’ici à la fin de l’année, selon les spécialistes. (Source : lesechos.fr)

L’aéroport a annoncé vendredi qu’il réduirait le nombre de vols jusqu’à la fin mars 2023. « Au cours des prochains mois, Schiphol maintiendra un nombre maximal de voyageurs pouvant quitter l’aéroport, après consultation avec les compagnies aériennes. Les compagnies aériennes ont besoin d’une planification à plus long terme », a déclaré l’aéroport dans un communiqué. (Source : lefigaro.fr)

Corsair International relancera cet hiver ses liaisons entre les régions de métropole et les Antilles, maintiendra celles vers La Réunion et l’île Maurice, en plus de l’inauguration de sa nouvelle ligne entre Paris et Cotonou. La compagnie a d’autre part confirmé la commande de quatre Airbus A330neo supplémentaires, attendus d’ici 2024. Corsair disposera alors de l’une des flottes les plus jeunes du marché avec un âge moyen de 2 ans. (Source : air-journal.fr)

Air Caraïbes va suspendre pour une durée indéterminée sa ligne entre Paris et Saint-Martin dans la partie néerlandaise de l’île, mais elle y a programmé en novembre trois vols de plus, avec une escale en Guadeloupe au retour. Le directeur général adjoint aux Antilles d’Air Caraïbes Éric Michel expliquait cet été que la suspension avait été décidée « à contrecœur », en raison d’un prix du pétrole qui a presque doublé. « À cela s’ajoute le change du dollar. Dans notre industrie, toutes les dépenses sont libellées en dollars : achat du carburant, maintenance, achat des avions,… Avec la baisse de l’euro, nos dépenses nous coûtent plus cher », soulignait le dirigeant. Il faudrait selon lui une augmentation de 150€ sur le prix du billet d’avion pour « arriver à l’équilibre » sur les vols vers SFX, mais « la clientèle ne suivrait pas ». (Source : air-journal.fr)

Aeroflot va relance dans les prochaines semaines à Moscou ses liaisons vers Bangkok, Colombo, Goa et deux stations balnéaires en Egypte. Pendant ce temps, le géant aéronautique Rostec estime que les avions d’Airbus et Boeing « ne seront plus jamais livrés en Russie », qui dépendrait alors de ses propres constructeurs. (Source : air-journal.fr)

Royal Air Maroc a mis en place un dispositif spécial pour la Coupe du monde de football, offrant quelque 3000 sièges supplémentaires à moitié prix vers le Qatar où l’évènement débutera en novembre. Elle va d’autre part relier Tanger à Séville. (Source : air-journal.fr)

En raison de l’arrêt des réacteurs nucléaires et le recours aux centrales à gaz, les émissions de gaz à effet de serre de la France peinent à baisser. Lors du premier semestre 2022, elles sont restées quasiment stables par rapport à la même période en 2021 (-0,6%). La situation est contrastée selon les secteurs d’activité mais c’est bien celui de l’énergie qui tire vers le haut les émissions. (Source : latribune.fr)

Une production qui se met en place, des commandes qui arrivent de la part des compagnies aériennes, des stations d’approvisionnement dans les aéroports : le développement du SAF, le carburant aérien durable nécessaire à la décarbonation du secteur, s’accélère. (Source : voyages-d-affaires.com)

Boeing a annoncé jeudi avoir reçu une commande de la compagnie WestJet pour 42 appareils 737-10, version la plus longue de la famille des MAX qui n’a pas encore été certifiée, et posé une option pour 22 appareils supplémentaires. (Source : zonebourse.com)

Assistons-nous au début de la fin du duopole Airbus-Boeing ? Les constructeurs Irkut et Comac s’apprêtent à mettre en service des avions qui ont pour objectif de concurrencer les best-sellers de la famille A320 et le 737 MAX. (Source : actu.fr)

Que ce soit l’hybridation des propulsions d’aéronefs ou bien l’utilisation de l’hydrogène, toutes les solutions sont étudiées pour porter l’aviation durable. Fort de ses développements, Pratt & Whitney avance à grands pas dans cette aventure. Air & cosmos a eu la chance de rencontrer Graham Webb, le directeur des programmes de développement durable de Pratt et Whitney, une société du groupe Raytheon Technologies. (Source : air-cosmos.com)

Cinq ans après son premier vol, le Comac C919, l’avion chinois, qui ambitionne de concurrencer l’A320 NEO d’Airbus et le 737 MAX de Boeing, commence à voir le bout du tunnel après avoir reçu, ce vendredi, la certification des autorités chinoises. Lancé en 2009, il doit être livré à China Eastern Airlines (partenaire et actionnaire d’Air France-KLM) d’ici à la fin de l’année pour une mise en service au premier trimestre 2023. Comac assure avoir reçu au total 815 commandes de 28 compagnies. En 2010, déjà, les trois principales compagnies aériennes du pays avaient indiqué qu’ils soutiendraient ce programme, le premier véritablement sérieux pour permettre à Pékin de se hisser à terme au rang de puissance mondiale aéronautique et devenir indépendant des constructeurs occidentaux. (Source : latribune.fr)

La lutte anti-drones est aujourd’hui un enjeu central pour l’ensemble des acteurs de la défense et de la sécurité. La diffusion et la multiplication de ces appareils parmi la population ne sont donc pas sans risque ; d’ailleurs en France, d’après le Sénat, on comptait en 2017 un total de 400 000 appareils, et en 2021 ce chiffre atteignait 2,5 millions. La possibilité que des drones soient utilisés aujourd’hui à des fins malveillantes est donc très élevée, comme l’a déclaré l’ancien chef du Commandement de la Défense Aérienne et des Opérations Aériennes le général Vincent Cousin, qui exprimait son inquiétude en ces termes : « Il y a une menace évolutive, qui va plus vite que les grands programmes d’armement ». Le problème étant que ces appareils sans pilote, grâce à leur faible prix d’achat et à des « caractéristiques très différentes des cibles traditionnelles des radars » représentent une menace réelle qui nécessite des systèmes spécialisés. (Source : cf2r.org)

elon ce classement exclusif, réalisé par Orchestra pour L’Echo touristique, l’Espagne et ses îles ont cartonné au cours des deux mois de la saison. La destination enregistre un bond de 69% par rapport à la même période en 2019, l’année de référence. Et ce, malgré une hausse prononcée du panier moyen (+21%). Sur la deuxième marche du podium, la Grèce s’envole également, de 40%. La France décroche la troisième place (+2%) en volume d’affaires. Compte tenu de l’envolée du panier moyen (+32%), le nombre de clients, pour les agences, a fortement diminué sur trois ans. n long-courrier, la République dominicaine s’impose comme la grande gagnante de 2022, et celle de la crise sanitaire. C’était une destination d’hiver, c’est également, aujourd’hui, une destination d’été. Au mois de juillet et d’août, la Rep Dom est la première destination long-courrier (+45%). Soulignons aussi le retour des pays du sud de la méditerranée. Tunisie, Maroc, mais aussi Turquie ont retrouvé des couleurs, alors que ces trois pays avaient en partie disparu des radars en 2021. Le Maroc a particulièrement bien remonté la pente (+52%). A l’inverse, les Etats-Unis n’ont pas connu le rebond escompté. Le marché français espérait qu’ils redécollent significativement après deux années de quasi fermeture des frontières extérieures. Mais la force du dollar américain (le dollar a récemment dépassé l’euro, pour la première fois depuis 20 ans) et le test obligatoire pour les enfants non-vaccinés à J+3/+5 ont sans doute contrarié les projets de voyageurs français. (Source : lechotouristique.com)

Depuis début septembre, FlixBus, l’autocariste vannetais Voyages Morio et le fabricant de véhicules Volvo Bus coopèrent pour effectuer la ligne Brest – Grenoble à bord de véhicules roulant au biocarburant issu de colza, l’Oleo100, produit par l’entreprise française Saipol. Ce qui en fait la plus longue ligne commerciale roulant 100% biocarburant français dans le monde, assurent-ils. L’Oleo100 est entièrement issue de graines de colza françaises. Ce qui permet de réduire les émissions de CO2 d’au moins 60% et jusqu’à 80% pour les émissions de particules fines pour un trajet longue distance en autocar. (Source : lechotouristique.com)