Dans le détail, c’est le transport aérien qui enregistre la plus forte augmentation en juin (+26,5% sur un an, contre +19,3% en mai), notamment en raison de l’envolée des prix du kérosène. A noter que la hausse est un peu plus marquée sur les vols internationaux (+26,9%) que sur les liaisons intérieures (+25,7%). L’inflation touche aussi le transport ferroviaire. D’après l’institut de la statistique, les prix des billets de train ont grimpé de 14,9% en juin, contre +12,1% en mai. Une hausse comparable à celle du transport par bus et car (+15%). A l’inverse, le transport maritime enregistre une baisse de 4,6%. (Source : bfmtv.com)
Le marché mondial du pétrole "marche sur une corde raide" entre la rareté de l’offre et la possibilité d’une récession, a déclaré mercredi l’Agence internationale de l’énergie, la hausse des prix et la détérioration des conditions économiques pesant déjà sur la demande. Ces perspectives se reflètent dans la volatilité des échanges, le Brent a ainsi chuté de 7% mardi pour passer sous la barre des 100 dollars (99,37 euros) le baril, les opérateurs de marché à terme s’inquiétant d’une contraction de l’économie. (Source : latribune.fr)
Nouveau coup dur pour l’euro. Après avoir brièvement atteint la parité avec le billet vert, mardi, puis être remonté au-dessus du dollar, il est finalement passé en dessous de ce dernier, ce mercredi vers 14H45 s’échangeant à 0,9998 dollar. Il a ainsi plongé sous ce seuil symbolique qu’il n’avait plus franchit depuis décembre 2002, date de sa mise en circulation. Ce n’est pas la première dégringolade que subit la devise européenne. La semaine dernière, elle avait déjà chuté à son plus bas niveau depuis près de vingt ans, en descendant à 1,0298 dollar pour 1 euro, après être descendu mi-mai à 1.035 dollar. (Source : latribune.fr)