easyJet a annoncé mardi qu’elle allait exercer une option d’achat avec l’avionneur européen Airbus qui va lui fournir 56 avions A320neo, ce qui représente au prix catalogue de 2018 quelque 6,5 milliards de dollars. Le transporteur britannique explique toutefois que le prix payé est "bien moins élevé" grâce à des rabais obtenus auprès d’Airbus dans le cadre d’un contrat de 2013. Les 56 A320neo devraient être livrés entre 2026 et 2029, et les 18 A321neo entre 2024 et 2027. L’accord "conditionnel" annoncé mardi prévoit aussi la conversion de 18 appareils A320neo en A321neo, selon le communiqué. (Source : challenges.fr)
Face aux retard dans les livraisons de ses Boeing 777-9, Emirates veut désormais réceptionner ses Airbus A350-900 plus vite que prévu. Les négociations vont bon train entre le constructeur et la compagnie. (Source : air-cosmos.com)
Présent à Doha pour la 78eme assemblée générale de l’IATA, le CEO Guillaume Faury a déclaré à l’agence Reuters qu’il parlait avec la compagnie nationale qatarie pour tenter de résoudre leur conflit à propos des défauts de surface des A350, conflit désormais aux mains de la Haute Cour de Londres. « Il y a des progrès dans le sens où nous communiquons ; nous travaillons les uns avec les autres », a déclaré le dirigeant d’Airbus, qui dit penser que « nous partageons le point de vue selon lequel un règlement serait la meilleure voie à suivre, mais tant que vous n’avez pas d’accord, vous n’avez pas d’accord ». Il a précisé que les lignes de communications n’avaient jamais été rompues, et qu’Airbus continuait à « soutenir Qatar Airways dans ses opérations ». La compagnie aérienne n’a pas immédiatement commenté et envisage de son côté de placer dans une « filiale » ses futurs Boeing 737 MAX-10, qui remplaceront les A321neo annulés par l’avionneur européen. (Source : air-journal.fr)
Le Figaro : Qatar Airways : le litige avec Airbus persiste - Le litige entre Qatar Airways et Airbus persiste, a indiqué mardi le dirigeant de la compagnie aérienne, évoquant même une « intimidation » de l’avionneur alors qu’un sommet du secteur aérien à Doha avait suscité l’espoir d’un accord entre les deux entreprises. « Si un accord avait été conclu, nous ne serions pas en train d’attendre un procès l’année prochaine », a déclaré Akbar al-Baker, dirigeant de Qatar Airways.