Airbus a enregistré l’année dernière 771 commandes brutes et 507 nettes après annulations et conversions. Et il a légèrement dépassé son objectif avec 611 livraisons à 88 clients, faisant « preuve de résilience » et marquant la reprise avec les progrès réalisés sur la montée en cadence. (Source : air-journal.fr)
Airbus a livré 611 avions l’année dernière, 8 % de mieux qu’en 2020, mais encore un tiers de moins qu’avant l’irruption du Covid-19. Sur les 611 appareils livrés, seuls 13 % concernent des gros-porteurs (A330, A350 et les tout derniers A380). L’avionneur européen a ainsi engrangé 507 commandes nettes (771 hors annulations) en 2021, contre 268 en 2020 et 768 en 2019. Sur l’année, Airbus aura bien davantage livré d’avions que son rival Boeing (302 appareils à fin novembre pour l’américain) et est au coude-à-coude s’agissant des commandes. (Source : sudouest.fr)
Bilan carbone zéro, silence impressionnant, haute fiabilité des moteurs sont quelques-uns des atouts des avions à propulsion électrique. Ce type d’aéronef, qui relègue au musée réacteur, turbine ou moteur à pistons, commence à décoller. Quelques commandes, souvent « des intentions de », commencent à être signées par des compagnies ou des loueurs d’avions montrant une véritable appétence d’opérateurs souhaitant voler, un jour, électrique, à une date qu’il est impossible d’inscrire sur un calendrier réaliste. Si le concept d’engin volant électrique se décante, trop d’inconnues demeurent au niveau de l’infrastructure nécessaire au sol. (Source : lepoint.fr)
La société de leasing américaine Azorra a commandé 22 avions de la famille Airbus A220, dont deux en version VIP ACJ TwoTwenty, tandis que l’islandaise Bluebord Nordic s’est procuré trois Boeing 777-300ER pour les transformer en avions cargo. (Source : air-journal.fr)
Le logiciel Capital du portefeuille Xcelerator de Siemens a été sélectionné par Airbus pour développer ses systèmes électriques et électroniques de nouvelle génération à l’heure du jumeau numérique. (Source : air-cosmos.com)