L’Union européenne vient d’actualiser sa liste noire des compagnies aériennes. Au total, 103 transporteurs font l’objet d’une interdiction en Europe. Toutefois, 6 autres sont soumises à des restrictions d’exploitation.(Source : lefigaro.fr)
Dans sa newsletter de juillet 2021, l’IAOPA-Europe annonce que « les aérodromes ne sont obligés de fournir des services de sécurité et de lutte anti-incendie qu’en cas d’activité d’aviation commerciale ». Cela faisait plus de dix ans que l’IAOPA souhaitait cette évolution de la réglementation. Mais il faudra encore attendre car la date d’applicabilité a été fixée au… 3 novembre 2022. A partir de cette date, il devrait être possible d’effectuer des vols non commerciaux vers certains aérodromes, même en l’absence de service de sécurité.(Source : aerovfr.com)
Des chercheurs de Toulouse, en collaboration avec Airbus, étudient l’impact du dérèglement climatique sur le trafic aérien. Dans leurs travaux, les chercheurs Emilia Sanchez Gomez, Sophie Ricci et Nicolas Gourdain démontrent que les épisodes de fortes chaleurs peuvent le paralyser. Exemple de l’aéroport de Phoenix, en 2017, face à des températures aux alentours de 47°C, pendant plusieurs jours, les avions ont été cloués au sol. Ce type d’événement est de plus en plus fréquent. En 2019, les températures sont montées à 42°C à l’aéroport de Paris-Charles de Gaulle, occasionnant des perturbations. Les avions devaient attendre que les températures baissent pour pouvoir décoller. Ce programme de recherche baptisé « Impact du changement climatique sur l’aviation » (ICCA) est mené en partenariat avec l’Isae-Supaero, Météo France, l’Onera, l’Enac et l’avionneur Airbus. Ce dernier « nous a aidés à établir des priorités, notamment concernant les aéroports les plus vulnérables, ceux pouvant être les plus affectés par cette augmentation de température ». Les aéroports de Madrid, Dubaï, Mexico, Johannesburg, Quito et Phoenix figuraient dans la liste.(Source : actu.fr)
Selon les témoignages, ils étaient environ une trentaine, âgés de 17 ou 18 ans. Avant le décollage, ils se sont opposés aux membres de l’équipage, qui leur demandaient de porter un masque comme le veut le règlement en vigueur. En refusant de se plier aux règles, ils ont empêché tout le monde de partir à la date prévue, puisque le vol a été reporté au lendemain. Les forces de l’ordre n’ont procédé à aucune arrestation. Un communiqué de la FAA, publié ce mardi 6 juillet, souligne la récurrence de ce genre d’incident. Depuis le 1er janvier, 3.271 actes d’incivilité de la part de passagers ont été comptabilisés dans les avions américains, dont 2.475 liés au refus de porter le masque.(Source : cnews.fr)