C’est aux aéroports français d’alerter le gouvernement sur la situation économique catastrophique de l’écosystème aéroportuaire. Ils attendent ainsi des actions concrètes du Gouvernement afin de trouver des solutions pour l’ensemble du secteur. Au travers de l’Union des Aéroports Français, tout l’écosystème aéroportuaire et ses 200 000 salariés prennent la parole. Alors que près de 30 000 emplois ont d’ores et déjà été perdus, la facture pourrait s’alourdir, car l’industrie n’a toujours aucune visibilité sur une reprise du voyage. (Source : tourmag.com)
Frappé par la pandémie de Covid-19 et avec une projection de 50% de passagers en moins cette année par rapport à 2019, « l’écosystème aéroportuaire » a besoin d’un plan de soutien du gouvernement selon l’Union des Aéroports Français.(Source : air-journal.fr)
Bâle-Mulhouse-Fribourg affiche un programme de vols estival incluant de nouvelles destinations et trois nouvelles compagnies aériennes, malgré la persistance de la pandémie de Covid-19.(Source : air-journal.fr)
Des études vont être menées par Morlaix communauté pour dessiner le futur de l’aéroport, dans la mesure où Hop ! va fermer son site à l’aube 2022. Avant de proposer une nouvelle DSP, la collectivité souhaite mener un état des lieux, une étude de marché et une définition des prospectives pour dessiner le futur de ce site. « Quand on voit l’aéroport de Châteauroux qui a réussi à trouver son équilibre, nous pensons qu’il y a des potentiels et il faut s’en saisir », souligne Solange Creignou, vice-présidente chargée de l’économie.« Le prestataire de l’étude est en cours de recrutement et est spécialisé dans l’aéroportuaire », précise Morlaix communauté. L’étude devrait être rendue pour le second semestre de 2021.(Source : ouest-france.fr)
L’annonce d’un plan social et économique visant les salariés de l’aéroport après l’arrêt des vols commerciaux de Ryanair continue de susciter des réactions, y compris de la part d’associations ou de collectifs. Ils tentent de faire émerger des idées. L’Association pour le développement de l’Aéroport de Rennes-Bretagne « s’étonne de la stupéfaction de certains de nos dirigeants politiques, arguant avoir évoqué, dès novembre, les conséquences inéluctables de l’abandon prévisible de la ligne aérienne Dinard-Londres. » À l’époque, l’Adarb suggérait de transférer cette ligne et une partie des emplois dinardais vers Rennes, tout en maintenant une activité aéroportuaire légère à Dinard, notamment via l’aviation d’affaires. Elle militait alors, et milite toujours, pour la création, à côté de l’aéroport de Dinard, d’une gare routière pour accueillir des compagnies de bus à bas coût ou touristiques, ou encore une navette régionale vers l’aéroport de Rennes.(Source : ouest-france.fr)