Pour leur futur écosystème autour de la mobilité aérienne urbaine en Île-de-France, le Groupe RATP, le Groupe ADP et Choose Paris Region ont sélectionné une trentaine de candidats qui participeront à parti de juin à des expérimentations à Pontoise, aux côté de Volocopter.(Source : air-journal.fr)
Aérobuzz : Un melting pot français de la mobilité aérienne urbaine - Que du beau monde. Le récent appel à manifestation d’intérêt international pour la structuration d’une filière mobilité aérienne urbaine lancée par la région Île-de-France et ses partenaires a réuni 150 candidatures à travers 25 pays. Parmi les 30 lauréats : Airbus, Dassault, CAE, Pipistrel, Ehang, Volocopter, ONERA, Polytechnique ou encore l’ENAC et Air France.
Tourmag : Mobilité aérienne urbaine : des premiers tests à Pontoise en juin 2021 - Trente lauréats ont été sélectionnés dans le cadre de l’appel à manifestation d’intérêt international lancé par le Groupe RATP, le Groupe ADP et Choose Paris Region. Ils pourront tester dès juin 2021 les opérations de stationnement, de décollage et d’atterrissage à Pontoise.
Le Figaro : Des taxis volants pour relier Roissy à Paris en 2030 - L’enjeu est de taille : le marché européen de ces taxis volants dans les agglomérations pourrait atteindre 8 milliards d’euros à l’horizon 2035. C’est que, dans les grandes métropoles, le taxi volant permettra de gagner un temps précieux. Pas plus de quinze minutes en VTOL pour faire un Roissy-la Défense, alors qu’en voiture il faut au minimum quarante minutes. Pour croquer un morceau de ce gâteau, la RATP, ADP et Choose Paris Region se sont fixé un planning. En juin 2021, Volocopter pourra tester son Volocity à Pontoise, en conditions réelles dans le trafic aérien. « Lors des Jeux olympiques de 2024 à Paris, notre objectif est de faire des vols de démonstration en VTOL avec des gens à bord, affirme Marie-Claude Dupuis, directrice stratégie, innovation et développement de la RATP. Trois opérateurs devraient être opérationnels. »
Usine digitale : Thales, Idemia… 30 entreprises sélectionnées pour structurer la mobilité aérienne urbaine en Ile-de-France - A l’issue d’un appel à manifestation d’intérêt international lancé par ADP, la RATP et Choose Paris, 30 entreprises spécialisées dans la mobilité urbaine aérienne ont été choisies pour mener des expérimentations dès juin 2021 sur l’aérodrome de Pontoise, en Ile-de-France. Des industriels, tels qu’Airbus et Dassault Aviation, comme des start-up ont été sélectionnés. Des VTOL feront des démonstrations de vols lors des Jeux Olympiques de 2024, avant le déploiement d’une offre de commercialisation en 2030. Autre problématique : la réglementation française très stricte concernant les VTOL, à l’image des véhicules autonomes terrestres. Raison pour laquelle ADP et la RATP travaillent en étroite collaboration avec la DGAC, chargée de donner son feu vert à chaque étape de la feuille de route.
Il y a urgence en la demeure pour la compagnie transmanche Eurostar. Particulièrement impactée par la pandémie de Covid-19, elle lance un appel aux gouvernements britanniques et français. S’ils ne viennent pas à son secours, alors elle pourrait tout simplement se retrouver en cessation de paiement à la fin du printemps. « La catastrophe est possible », a déclaré à l’Agence France-Presse lundi le directeur général d’Eurostar. Eurostar « souffre davantage que les compagnies aériennes » à cause du « cumul des règles sanitaires définies par les différents pays » desservis, Grande-Bretagne, France, Belgique et Pays-Bas, selon lui. (Source : lepoint.fr)
La crise sanitaire a fait perdre 42% de ses voyageurs à la SNCF en 2020, ce recul s’est traduit par un manque à gagner de 5 milliards d’euros , a indiqué vendredi le PDG de SNCF Voyageurs Christophe Fanichet, qui espère pouvoir voir la tendance s’inverser l’été prochain. La compagnie publique, qui fait normalement circuler quelque 15 000 trains par jour, a dû réduire son trafic à 3 500 liaisons quotidiennes au plus fort du confinement du printemps, « avec sur certaines lignes 1% des voyageurs » par rapport à la normale, a rappelé le dirigeant. La tendance n’est pas très brillante pour le début de l’année 2021, avec un taux d’occupation de 45% des TGV, dont trois sur quatre circulent depuis début janvier. Les réservations pour les trains grandes lignes sont en chute de 70% pour février et de 80% pour mars, a noté Christophe Fanichet. S’il pense que la période actuelle d’adaptation constante aux évolutions de la pandémie durera jusqu’à la fin du premier semestre.(Source : lechotouristique.com)