Le produit intérieur brut de la période a augmenté de 0,4%, un rythme deux fois plus fort que celui de 0,2% enregistré au premier comme au deuxième trimestres, qui constituait un point bas depuis l’été 2016. Mais les économistes interrogés par Reuters et la Banque de France l’anticipaient en hausse de 0,5%, de même que l’Insee dans sa dernière note de conjoncture où l’institut a ramené sa prévision sur l’ensemble de 2018 de 1,7% à 1,6% pour tenir compte du "trou d’air" du premier semestre.(Source : la tribune.fr)