Pilotée depuis septembre 2020 par le conseiller maître à la Cour des comptes, Damien Cazé, la direction générale de l’aviation civile (DGAC) du ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires est chargée de plusieurs grandes missions. C’est en effet elle qui doit garantir la sécurité et la sûreté de l’ensemble du secteur aérien français, tout en étant, par ailleurs, au cœur des enjeux de décarbonation des transports, via son expertise en recherche et développement. (Source : acteurspublics.fr)

L’IATA a publié ses données sur les marchés mondiaux du trafic de passagers en mars 2024, soulignant une en hausse globale de 13,8 %. La demande totale, mesurée en kilomètres-passagers payants (RPK), était donc en hausse de 13,8 % par rapport à mars 2023. La capacité totale, mesurée en sièges-kilomètres offerts, était en hausse de 12,3 % en glissement annuel. Le coefficient d’occupation des sièges s’élevait à 82,0 % (en hausse de 1,0 point de pourcentage par rapport à mars 2023). La demande internationale a augmenté de 18,9 % par rapport à mars 2023 ; la capacité était en hausse de 18,8 % en glissement annuel. La demande intérieure a augmenté de 6,6 % par rapport à mars 2023 ; la capacité était en hausse de 3,4 % en glissement annuel. Toutes les régions affichent une forte croissance des marchés de passagers internationaux en mars 2024, comparativement à mars 2023. (Source : air-journal.fr)

  IATA : Passenger Demand Up 13.8% in March

La nomination, lundi 29 avril, de Bouygues-Egis comme nouveau gestionnaire du site a ravivé les tensions autour du projet d’agrandissement de l’aéroport de Beauvais, annoncé en février 2023. Caroline Cayeux, présidente d’agglomération du Beauvaisis, a tenté de rassurer en promettant un « aéroport vert ». (Source : vert.eco)

Reparti sur la voie de la croissance, l’aéroport de Hong Kong a conforté sa place de plus important aéroport de fret au monde en 2023. Memphis n’a pas connu la même dynamique en enregistrant une baisse de son trafic. Doha a, pour sa part, intégré le Top 10 en gagnant trois places au classement mondial. (Source : actu-transport-logistique.fr)

Lyon-Saint Exupéry annonce 15 nouvelles lignes aériennes pour la saison printemps/été 2024, dont trois nouvelles destinations. Les nouveautés de cette saison printemps/été 2024 sont lancées principalement par les compagnies low-cost. Les trois nouvelles destinations sont Oslo (avec Volotea et Norwegian), Budapest (avec easyJet) et Kalamata (avec Volotea), en complément de Rabat (avec easyJet), qui sera desservie pour la première fois en été. La part de marché du trafic des low cost représente ainsi, sur la période, 55 % du trafic total de l’aéroport lyonnais en offre de sièges. (Source : air-journal.fr)

La consommation de trente hectares d’espaces naturels, agricoles et forestiers pour l’aéroport Nantes Atlantique est apparue dans une enquête publique concernant les grands projets. Cela sème le doute à Saint-Aignan-de-Grandlieu et chez les riverains de l’aéroport. (Source : ouest-france.fr)

Ouvert en 1994 sur une île artificielle, le septième aéroport le plus fréquenté du Japon ne déplore aucune perte du fait de son personnel. Pas étonnant qu’il soit désigné comme le meilleur du monde pour la livraison des bagages par le dernier classement Skytrax. (Source : lefigaro.fr)

Pour lui, ce choix fait partie de ces « décisions majeures, essentielles, cruciales pour l’avenir d’un territoire, son développement économique, la qualité de vie de ses habitants, l’évolution du cadre de vie, l’environnement ». Le sénateur estime que « le choix de confier les rênes du développement de l’aéroport à ce consortium « va conditionner le futur du Beauvaisis et de toute une partie de l’Oise, non pas pour 1 ou 2 ans, mais pour plusieurs décennies. Au moins jusqu’en 2050. Or si certaines alternatives sont réversibles, d’autres le sont très difficilement, même avec des clauses de « revoyure ». Et dans le cas présent, il n’y aura plus de marche arrière possible. » Cet aéroport est aujourd’hui un incontestable atout pour le Beauvaisis. « Mais cela ne doit pas en devenir un handicap, ajoute Olivier Paccaud. Nous connaissons tous ses vertus économiques en termes de création de richesses et d’emplois, directs ou indirects. Et nous ne pouvons que nous en réjouir pour celles et ceux qui ont trouvé du travail grâce à l’aéroport. Mais nous savons aussi qu’il peut générer des nuisances notamment sonores, et que cela peut avoir un impact considérable pour la qualité de vie non seulement des riverains de Tillé, mais aussi des Oisiens situés dans les couloirs ou trajectoires, non pas officielles, mais réelles, des avions. Et personne ne peut nier les conséquences environnementales et même médicales (voir la récente étude sur les communes aux alentours de Roissy où l’espérance de vie est plus basse qu’ailleurs en France) du trafic aérien. Ni son influence sur la valeur de l’immobilier. » (Source : oisehebdo.fr)

Star Alliance, OneWorld et Skyteam, les trois alliances aériennes ont été créées pour gagner de nouveaux marchés et favoriser la commercialisation des vols. Mais désormais, que reste t-il de ces alliances ? (Source : TourMag.com)

Air Canada a annoncé jeudi avoir enregistré une perte nette de 81 millions de dollars (55 millions d’euros) au premier trimestre de l’année. Il s’agit de la première perte financière pour le transporteur en plus d’un an, qui avait renoué avec les profits vers la fin 2022. (Source : zonebourse.com)

Gulf Air étoffe son offre vers l’Asie avec l’ouverture de deux destinations en Chine : Shanghai et Guangzhou, desservies au départ de son hub de Bahreïn. (Source : air-journal.fr)

Après 11 ans à la tête d’Air Tahiti Nui, Michel Monvoisin va être remplacé par Philippe Marie le 1er juillet 2024. En octobre dernier, Moetai Brotherson, le président de la Polynésie française et qui est en charge notamment du tourisme et du secteur aérien international, avait nommé au conseil d’administration de la compagnie l’ancien pilote dATN, Hiro Arbelot ainsi que Philippe Marie. Ce qui faisait logiquement de ces deux intéressés les supposés successeurs de Michel Monvoisin. Air Tahiti Nui fait face à une concurrence accrue ces dernières années sur les lignes entre Tahiti et les États-Unis. Toujours selon la radio polynésienne, il est question de faire entrer au capital d’ATN un nouvel opérateur, de préférence aérien. Et dans le même temps, de baisser la participation de la collectivité. « Quand on voit ce qui se passe au niveau mondial dans le secteur, quand on voit ce qu’a opéré une compagnie qu’on connait bien et qu’on observe attentivement qui est Fiji Airways, on voit que l’entrée au capital de grands groupes du secteur est un facteur de progrès », a justifié Moetai Brotherson. « Est ce qu’il faut aller vers là ? Si oui, quels sont les partenaires à qui il faudrait proposer d’entrer au capital d’ATN… C’est à la future équipe dirigeante de nous faire des propositions. » (Source : lechotouristique.com)

Capital A vient effectivement d’entériner le transfert de toutes les activités aériennes à une nouvelle entité : AirAsia Group Sdn Bhd (« AirAsia Group »). Cette dernière va regrouper l’ensemble des compagnies existantes du groupe dans l’ASEAN. Soient AirAsia Bhd en Malaisie, Thai AirAsia, Indonesia AirAsia, Philippines AirAsia et la petite dernière, AirAsia Cambodia. Ainsi que la filiale long-courrier du groupe, AirAsia X- qui avait sa propre autonomie financière. (Source : voyages-d-affaires.com)

D’un avion huit places au lancement, en janvier 2023, l’acheminement des médecins du CHU de Dijon à l’hôpital de Nevers est passé à un avion quatre places. Un format plus adapté au "trafic", et moins coûteux. Un format réduit avec une nouvelle compagnie, Revolution’air, dont le directeur Nicolas Marziali, était présent pour lancer ce nouveau contrat avec le centre hospitalier de l’agglomération de Nevers. (Source : lejdc.fr)

Vistara réduit son programme de vols afin de remédier aux perturbations actuelles dues à une pénurie soudaine de pilotes qui se sont placés en congés de maladie. Vistara, détenue par le groupe Tata et Singapore Airlines, a annulé plus de 125 vols depuis le 1er avril, après qu’un certain nombre de ses pilotes se soient mis en congé de maladie à la fin du mois de mars. Selon deux pilotes de la compagnie aérienne indienne cités par l’agence Reuters, certains d’entre eux protestaient contre une révision à la baisse de leur salaire en prévision de la fusion avec Air India, propriété de Tata, qui aura lieu plus tard dans l’année, et contre la fatigue croissante due à un emploi du temps chargé. (Source : air-journal.fr)

L’ONERA met à disposition de la filière drone son logiciel d’aide à la préparation de mission DROSERA. Ce logiciel a pour but de calculer des indicateurs relatifs aux risques sol pour les personnes et les réseaux de transports, il permet de préparer les missions drones et étayer les demandes d’autorisations d’exploitation. (Source : aerobuzz.fr)

Bombardier vient d’annoncer que le mystérieux client qui, en décembre 2023, a passé une commande ferme de 12 avions d’affaires Challenger 3500 et placé 232 options est en fait NetJets, un client de longue date de l’avionneur canadien. (Source : aerobuzz.fr)

Dans sa dernière édition, Le Canard Enchaîné, souvent très bien informé, indique que le SNCTA souhaitait la « confidentialité (…) vis-à-vis des médias, des réseaux sociaux, du grand public » concernant les négociations menées. Raté, on sait désormais que dans cet accord, les aiguilleurs du ciel ont obtenu « des montants historiques », après « avoir contraint la DGAC à faire le travail très rapidement ». Parmi les chiffres avancés par Le Canard Enchaîné, figurent notamment des journées de travail complémentaires effectuées de manière volontaire et rémunérées entre 1 380 et 2 500 la journée. De leur côté, les aiguilleurs du ciel ont cédé sur une chose. Ils ont accepté l’installation de pointeuses pour contrôler les temps de travail. Et ce « alors que, depuis plusieurs dizaines d’années, la plupart des contrôleurs s’arrangeaient entre eux pour ne travailler que les deux tiers du temps rémunéré », ajoute Le Canard. (Source : lechotouristique.com)

Comme le rappelle Retardvol.fr, en vertu de l’article 8 du règlement européen n°261/2004, le passager qui a vu son vol dérouté a deux options : demander le remboursement du billet, ou demander le réacheminement vers sa destination finale dans des conditions de transport similaires et dans les meilleurs délais. "Ce droit au remboursement ou au réacheminement est valable même en cas de perturbation du vol due à une circonstance exceptionnelle, telle que les mauvaises conditions météorologiques", rappelle le site spécialisé dans les droits des passagers aériens. Par ailleurs, une décision de la Cour de justice de l’Union européenne prévoit que le transporteur aérien doit également prendre en charge les frais de transfert raisonnables entre l’aéroport de déroutement et l’aéroport prévu dans le contrat initial. (Source : bfmtv.com)

La demande européenne en hydrogène vert s’annonce huit fois moins importante que les objectifs fixés par l’Union européenne pour 2030, souligne le CEA. Un constat mis en lumière par le PDG de TotalEnergies lors du Forum économique mondial fin avril. Arcelor Mittal a lui-même annoncé vouloir abandonner l’hydrogène vert dans ses aciéries européennes, malgré les milliards d’euros de subvention reçues pour la transition. L’étude souligne des dynamiques très différentes entre les secteurs. D’après les estimations actuelles, la sidérurgie et le transport aérien seront les plus demandeurs en hydrogène bas carbone entre 2030 et 2040 (voir graphique ci-dessous). Cette demande est portée respectivement par des plans ambitieux de décarbonation et par la réglementation européenne. Dès 2030, le secteur du transport aérien sera contraint d’incorporer de l’e-kérosène, selon les objectifs fixés par ReFuelEU Aviation. (Source : environnement-magazine.fr)

Les secteurs aérien et maritime usent de l’argument de l’hydrogène « vert » pour justifier leurs ambitions de croissance. Au risque d’une « cannibalisation » de l’électricité disponible. (Source : reporterre.net)

Air France, Lufthansa et KLM ont été « invitées » avec dix-sept autres compagnies aériennes à cesser leur greenwashing. La Commission européenne a annoncé le 30 avril avoir adressé une lettre à ces vingt entreprises dans laquelle elle recense plusieurs types « d’allégations écologiques potentiellement trompeuses ». Cette enquête a été déclenchée à la suite d’une alerte du Bureau européen des unions de consommateurs. La Commission reproche notamment aux compagnies de créer « l’impression erronée » auprès des consommateurs que certains gestes pourraient réduire ou compenser les émissions de CO2 du vol qu’ils s’apprêtent à réserver : par exemple, payer une redevance supplémentaire pour financer des projets de lutte contre le changement climatique ou pour soutenir l’utilisation de carburants alternatifs. (Source : reporterre.net)

Un lanceur d’alerte qui accusait un fournisseur de Boeing (Spirit AeroSystems) d’avoir ignoré des défauts dans la production du 737 MAX est décédé, ont annoncé des membres de sa famille et son avocat. Parsons a déclaré que Dean était tombé malade et s’était rendu à l’hôpital parce qu’il avait du mal à respirer il y a un peu plus de deux semaines. Il a été intubé et a développé une pneumonie puis une grave infection bactérienne. Son état s’est rapidement détérioré. Dean était représenté par un cabinet d’avocats de Caroline du Sud qui représentait également le lanceur d’alerte de Boeing, John Barnett. Or, John Barnett a également été retrouvé mort dans un suicide apparent en mars. Il était en train de déposer des allégations selon lesquelles Boeing avait exercé des représailles contre lui, suite à des plaintes concernant des défauts de qualité, lorsqu’il a été retrouvé mort des suites d’une blessure par balle à Charleston, en Caroline du Sud, où Boeing a son usine de fabrication de 787. Les enquêteurs de Charleston ont rapporté que la mort de Barnett semblait être « due à une blessure par balle auto-infligée ». Près de deux mois plus tard, l’enquête policière sur sa mort est toujours en cours. (Source : air-journal.fr)

Ce moteur, nommé DART, est moitié moins grand que les engins utilisés dans les aéronefs de taille moyenne. "Cette petite taille est intéressante, souligne Dan Sutliff, chargé de recherche à la NASA. C’est un très bon moyen d’explorer de nouvelles technologies qui n’ont pas encore atteint le niveau pour être testées à grande échelle." D’abord construit par une société française, Price Induction devenue Akira, puis achetée par la NASA en 2017 – est utilisé par les ingénieurs pour faire des tests avec de nouveaux composants pour améliorer le futur de l’aéronautique. La NASA aimerait créer un avion moins consommateur en kérosène et à moteur réduit à destination des compagnies aériennes d’ici les années 2030. Les premiers tests sur le DART sont concluants et pourraient mener à d’autres essais hors des laboratoires dans les prochains mois. (Source : geo.fr)

Le programme de biréacteur de transport régional d’Embraer a franchi une nouvelle étape avec la livraison du 1800ème E-Jet. Il s’agit d’un E190-E2 aux couleurs de Royal Jordanian Airlines. Le premier biréacteur E-Jet est entré en service en 2004. Le programme compte 90 compagnies aériennes et sociétés de leasing de plus de 60 pays. En 20 ans de service, les E-Jets ont transporté deux milliards de passagers sur 26 millions de vols, soit une distance de 140 millions de kilomètres. (Source : aerobuzz.fr)

Créée il y a 12 ans, la société Flying Whales devrait s’installer sur la zone de Laruscade, en Gironde. Elle a levé 90 millions d’euros d’argent public pour fabriquer des dirigeables, mais certains experts doutent de la faisabilité du projet. (Source : francebleu.fr)

Le chiffre d’affaires de Safran au premier trimestre 2024 s’établit à 6,220 Md€, en hausse de 18,1 % par rapport au 1er trimestre 2023. Le groupe aérospatial prévoit un bénéfice de 4 milliards d’euros en 2024. Le motoriste profite notamment de la bonne dynamique du trafic aérien. Paradoxalement, ce sont les « vieux » moteurs paient le plus, en l’occurence les CFM56. Les services font un bond de +27,3%. En revanche, les livraisons de moteurs LEAP sont restées stables à 367 unités, contre 366 au 1er trimestre 2023, reflétant « le démarrage timide de la production d’avions en début d’année. » Le secteur Propulsion représente un peu moins de la moitié du chiffre d’affaires du groupe. (Source : aerobuzz.fr)

Le nombre d’incidents et d’accidents aériens que l’Office fédéral de l’aviation civile a eu à traiter a poursuivi son augmentation l’an dernier. La statistique annuelle fait notamment état d’une hausse de 24% des incidents signalés dans l’aviation à la fois commerciale et générale. Les cas de brouillage GPS ont augmenté pour leur part de 55% sur un an et les conflits avec les drones de 10%, à quoi s’ajoutent davantage de cas d’attaques au laser, annonce jeudi l’OFAC. Au total, l’office a traité près de 10’000 compte-rendus d’incidents. Il signale en outre deux accidents qui ont fait cinq morts au total dans l’aviation générale (de loisirs). A savoir les deux décès enregistrés lors de la chute d’un petit avion à Granges en novembre, lors duquel les deux occupants ont péri, et les trois décès en lien avec le crash d’un avion de tourisme près des Ponts-de-Martel en mai, a rappelé l’OFAC. Aucun décès en revanche n’est à déplorer dans l’aviation commerciale suisse. (Source : zonebourse.com)

Dans le cadre du déplacement du Président de la République française et du Président de la République populaire de Chine sur le département des Hautes-Pyrénées, l’aéroport Tarbes-Lourdes-Pyrénées se prépare à accueillir un événement d’importance majeure. Pour garantir la sécurité et la fluidité des opérations, des mesures exceptionnelles sont mises en place du 6 mai à 12h au 8 mai à 8h. Afin de garantir la sécurité des personnalités présentes et du public, des mesures spécifiques ont été prises en sortie de la partie critique de la zone de sûreté à accès réglementé, ainsi qu’aux alentours du trajet emprunté par les cortèges présidentiels. Ces mesures visent à limiter les risques et à assurer le bon déroulement de l’événement. (Source : lasemainedespyrenees.fr)

Coup de pression alors que la direction d’Air Austral et les organisations syndicales sont encore en négociation pour trouver un accord sur le futur accord de performance collective qui permettrait de redresser la barre de la compagnie aérienne. Le syndicat SNPNC-FO a déposé un préavis de grève de 5 jours à partir du 10 mai. (Source : la1ere.francetvinfo.fr)

A trois mois de l’ouverture des Jeux olympiques, Great France a interrogé ses adhérents au sujet de l’impact attendu des Jeux olympiques sur leur activité. Au total, 88 opérateurs d’activité de tourisme ont répondu, dont 58% localisés en région Île-de-France. Résultat : la quasi-totalité des acteurs parisiens s’attendent à un impact, qui sera « négatif » à 75%. Les répondants redoutent des prix de vols et d’hôtels trop élevés, une mauvaise presse, un état d’alerte sécurité à son maximum. « Les TO conseillent à leurs clients d’éviter la France cette année », ajoute Great dans un communiqué. Pour près de 40% des répondants franciliens, les mois de juin et de septembre subiront une baisse d’activité. Et ce, pour plusieurs raisons : préparation des sites et blocage de la circulation en juin, jeux paralympiques en septembre. « La manne que certains attendaient face à l’afflux de touristes est bien loin, résume Great. Cette étude confirme les données de l’Office du tourisme de Paris qui annonce que 92% des visiteurs seront français, dont 43% de franciliens. » Et d’ajouter : « Les JO sont en fait un événement bien moins international qu’attendu, en tout cas dans sa fréquentation. Si les professionnels doivent perdre deux mois d’activité cet été, sur six mois de saison, c’est le résultat de toute l’année 2024 qui sera fortement impactée. » (Source : lechotouristique.com)

Les travaux viennent de démarrer pour la ligne Brightline West qui reliera Los Angles et Las Vegas en trois heures. Un projet pour lequel les TGV de Siemens ont été retenus. (Source : voyages-d-affaires.com)