Alors que les vols intérieurs avaient jusqu’ici constitué le moteur de la reprise du transport aérien, très durement touché par le Covid-19, ce sont finalement les faisceaux internationaux qui relancent l’activité, en atteignant 93,1% du niveau de septembre 2019 », a souligné l’IATA. (Source : lefigaro.fr)
La FNAM dresse un bilan satisfaisant de l’été 2023. Les perspectives de trafic hiver 2023/2024 s’annoncent bonnes. Elle se déclare prête à relever le défi des jeux Olympiques. Le pavillon français continue de souffrir d’une érosion forte et régulière avec une part de marché désormais en dessous de 40%. (Source : aerobuzz.fr)
Il y a la problématique de l’aéroport de Tahiti-Faa’a. Est-ce que les compagnies telles que la vôtre sont approchées au niveau de l’élaboration du nouvel appel d’offre. Quel est votre regard à ce sujet ? On est consulté, mais on l’a été auparavant. L’objectif, c’est qu’enfin, ça aboutisse. On passe de recours en recours. Le dernier appel d’offres a été annulé par voie de Justice. On n’est pas naïfs, un nouvel appel d’offres va être lancé et le temps qu’il soit lancé, que les soumissionnaires répondent, que les dossiers soient instruits, que la concession soit attribuée et que le nouveau concessionnaire se mette en place et que le chantier démarre : on sera déjà fin 2025. S’il n’y a pas de nouveau recours, parce qu’on n’est pas à l’abri de nouveaux recours non plus. Donc j’espère cette fois-ci que l’État va vraiment faire les choses proprement avec un cahier des charges qui soit incontestable, parce que ça devient un stress. La demande est forte, l’aéroport n’est plus du tout au niveau de l’accueil polynésien. On a des engorgements de partout, à l’embarquement, au débarquement, c’est engorgé. Il n’y a plus de place sur les parkings externes pour les voitures comme les parkings pour les avions. Il n’y a plus de place. Aujourd’hui, l’aéroport, même sur le domestique, ils ne peuvent plus accueillir un avion de plus. Donc aller parler d’aller ouvrir des routes avec de nouveaux avions ou de nouvelles compagnies, aujourd’hui, c’est impossible. (Source : radio1.pf)
Plus rien ne semble arrêter Volotea. Fondée il y a tout juste dix ans, l’Espagnole Volotea, devenue cette année la première compagnie aérienne du marché domestique français en termes de lignes - devançant les mastodontes Air France-KLM et EasyJet -, affiche clairement ses ambitions avec l’annonce de sa vingtième base en Europe, et sa neuvième en France. Alors que l’Espagnole vient de célébrer ses 10 ans d’exploitation dans la région bretonne et confirme son positionnement de compagnie leader à l’Aéroport Brest Bretagne, elle promet pour 2024 près de 400.000 sièges et l’introduction de 13 nouvelles routes européennes. (Source : lefigaro.fr)
United Airlines a annoncé avoir déposé une demande auprès du Département des Transports pour les vols quotidiens sans escale entre l’aéroport Bush et l’aéroport Haneda. Si elle est approuvée, United deviendra le premier transporteur aérien américain à assurer un service sans escale entre Houston et Haneda. « Cette nouvelle route profitera à la population en croissance rapide de la région de Houston, à plus de 240 entreprises affiliées au Japon, ainsi qu’aux consommateurs vivant dans les communautés du sud des États-Unis », affirme la major américaine. (Source : air-journal.fr)
Ryanair va verser des versements réguliers à ses actionnaires pour la première fois après que la flambée des tarifs aériens a permis à la compagnie aérienne de réaliser des bénéfices records. Le transporteur à bas prix a déclaré qu’il prévoyait de réaliser des bénéfices compris entre 1,85 milliard d’euros (1,6 milliard de livres sterling) et 2,05 milliards d’euros au cours de l’exercice clos fin mars, dépassant de loin son précédent bénéfice le plus élevé de 1,45 milliard d’euros en 2018. (Source : air-journal.fr)
Les compagnies aériennes d’Asie-Pacifique sont confrontées à des vents contraires dus à la hausse des prix du carburant et à une inflation élevée, ont déclaré vendredi les dirigeants du secteur, ajoutant aux perspectives négatives d’un segment où la demande de voyages a du mal à retrouver ses niveaux d’avant la pandémie. Selon l’Association internationale du transport aérien, les voyages dans la région n’ont retrouvé que 69 % des niveaux de 2019 pour l’année se terminant en septembre, à la traîne de toutes les autres régions, principalement en raison de la lenteur de la réouverture des frontières par la Chine après la crise du COVID. (Source : zonebourse.com)
Aeroflot a déclaré jeudi qu’elle avait conclu un accord avec la société de leasing BOC Aviation, en vertu duquel neuf avions seront remis à la compagnie d’assurance publique russe NSK, qui réglera la demande d’indemnisation de BOC Aviation. La compagnie aérienne n’a pas donné d’autres détails et il n’y a pas eu de commentaire immédiat de la part de la société de leasing. (Source : zonebourse.com)
Dans un communiqué de la compagnie aérienne qatarie, M. Badr Al Meer, ancien Directeur des Opérations de l’Aéroport International de Hamad et PDG ayant remplacé l’emblématique Akbar Al Baker, chez Qatar Airways, promet une ère de croissance durable. (Source : air-journal.fr)
Volotea opèrera en exclusivité la ligne Strasbourg-Berlin à partir du 20 novembre avec 2 fréquences par semaine, les lundis et jeudis. La compagnie a également annoncé sa première liaison avec Londres Gatwick depuis le 9 novembre. Plus de 40 000 sièges seront proposés pour cette nouvelle liaison entre la France et l’Allemagne à bord d’avion Airbus A320. (Source : TourMag.com)
InterGlobe Enterprises, qui soutient la première compagnie aérienne indienne IndiGo, et la société américaine Archer Aviation lanceront en Inde en 2026 un service de taxis aériens entièrement électriques dont le coût sera "compétitif" par rapport aux services routiers, ont annoncé les deux sociétés jeudi. (Source : zonebourse.com)
Le prix de la transition écologique dans l’aérien n’est pas à la portée de toutes les bourses. Le carburant durable fait grimper le prix des billets d’avion. L’Etat pourrait devoir intervenir pour aider les Français les plus modestes à voyager vert. (Source : challenges.fr)
Air France-KLM a annoncé vendredi avoir investi dans dans le fournisseur américain de carburants dits durables pour l’aviation DG Fuels, alors que la compagnie aérienne cherche à réduire ses émissions de gaz à effet de serre. En plus de cet investissement, la compagnie aérienne a dit avoir acquis une option pour acheter jusqu’à 75.000 tonnes de SAF par an à DG Fuels, avec des livraisons prévues dès 2029, ce qui vient s’ajouter au contrat d’achat à long terme annoncé par les deux entreprises en 2022. (Source : latribune.fr)
La région Nouvelle-Aquitaine a voté lundi une subvention de trois millions d’euros pour l’implantation d’une usine servant à fabriquer ces ballons dirigeables, au grand dam des écologistes vent debout contre ce projet épinglé dans un rapport. Dans un rapport du 20 octobre, l’Autorité environnementale a soulevé plusieurs points et formulé de nombreuses recommandations, concernant l’impact environnemental de cette usine qui doit se créer sur un terrain de 75 hectares. (Source : 20minutes.fr)
Alors que le compteur des ventes de Boeing 777X reste bloqué sur les 360 exemplaires depuis maintenant des années, celui de l’Airbus A350-1000 vient de connaître une nette accélération depuis le début de l’année 2023. Après être tombées à seulement 140 exemplaires à fin janvier 2023, les ventes de l’A350-1000 sont reparties avec le retour de Qatar Airways (23 exemplaires réintégrés après avoir été annulés), puis les commandes successives de Lufthansa (10), de Philippine Airlines (9), d’Air India (34) et d’Air Algérie (2). A fin octobre 2023, le total des ventes était passé à 226 et il s’apprête à frôler les 250. L’Airbus A350-1000 rattrape son retard sur le Boeing 777X. Avec la commande à venir de EVA Air pour 18 Airbus A350-1000, le long-courrier européen n’est plus très loin des 250 ventes fermes et le cap symbolique des 300 ventes pourrait bien être franchi d’ici la fin 2023. (Source : air-cosmos.com)
La Commission européenne a récemment publié ses rapports annuels sur les progrès réalisés et les priorités de réforme des pays candidats à l’adhésion à l’Union européenne, notamment dans le domaine du transport aérien. Bien que chaque pays candidat ait fait des progrès dans différents domaines, des défis importants doivent encore être relevés. (Source : the1014.co.nz)
Les parties civiles s’exprimaient à l’issue d’une réunion d’information d’environ cinq heures au tribunal judiciaire de Paris, en présence des magistrats instructeurs et d’enquêteurs. Les familles de victimes du crash d’EgyptAir en 2016 en Méditerranée, ayant causé la mort de 66 personnes dont 15 Français ont estimé jeudi auprès de l’AFP qu’il y avait eu des "défaillances à tous les niveaux" au sein de la compagnie aérienne. A tous les niveaux, la défaillance de la maintenance et l’ignorance systématique des alarmes, comme l’absence d’interdiction de fumer, démontrent une responsabilité écrasante d’EgyptAir", a affirmé à l’AFP Me Antoine Lachenaud, avocat de la famille de Clément Daeschner Cormary, décédé dans le crash. "Les experts sont unanimes sur le fait qu’il y a eu énormément d’erreurs, des personnels de bord mais aussi de ceux de la maintenance. Il y a eu un laxisme très important", a indiqué de son côté Julie Heslouin, vice-présidente de l’association des familles de victimes du vol MS 804. Les parties civiles espèrent la mise en cause d’EgyptAir et de certains personnels égyptiens. (Source : arabnews.fr)
L’Inde a demandé au Canada de renforcer la sécurité des vols d’Air India, y compris ceux au départ de Vancouver et de Toronto, mais les autorités canadiennes n’ont pas encore confirmé avoir mis les aéroports en alerte. Une menace vidéo non vérifiée circulant sur les réseaux sociaux depuis samedi est rapportée par plusieurs médias en Inde. Une menace y est proférée par l’avocat du groupe sécessionniste Sikhs for Justice, Gurpatwant Singh Pannun. Il met en garde les Sikhs, en pendjabi : « Ne voyagez pas avec Air India après le 19 novembre, vos vies pourraient être en danger. » Cette phrase est répétée deux fois. Dans une déclaration publiée avec la vidéo, Pannun a appelé à un « blocus mondial » de la compagnie aérienne entre Vancouver et Londres. (Source : air-journal.fr)
Tous les marqueurs sont au vert ou presque. Le volume d’affaires global affiche une hausse notable (+24%), tiré par la hausse du panier moyen (+16%). Des effets mécaniques notamment dûs à l’inflation qui touche le secteur, et à la reprise des voyages long-courriers (+37%). Sur ce dernier segment, le nombre de dossiers s’envole (+26%). Dans les dix destinations les plus réservées, on trouve de nombreux incontournables. L’Espagne (+15%) domine le classement, suivie de la France métropolitaine, en léger recul (-2%). La Tunisie (+31%) ne semble pas encore impactée par les dommages collatéraux liés à la situation au Proche-Orient et ferme le podium. La République Dominicaine (-7%) pâtit sans doute de la baisse des capacités aériennes avec la France mais demeure la première destination long-courrier du marché. Le Mexique (+65%), classé septième, pourrait en profiter lors des mois qui viennent. Il est talonné par la Thaïlande (+115%), symbole du redémarrage des voyages en Asie, et l’Île Maurice (+18%), qui poursuit son redressement. La Tanzanie (-2%) ferme ce top 10. (Source : lechotouristique.com)
Trois passagers ont décollé mardi de Lorraine pour se rendre à Lyon. De quoi agacer certains internautes et même la compagnie ferroviaire. La SNCF s’est également empressée de réagir via son directeur de TGV Intercités, Alain Krakovitch. « Trois passagers ? Je dis ça comme ça mais une bonne dizaine de TGV Inoui font ce trajet chaque jour », a-t-il mis en comparaison. Du côté de Twin Jet, le groupe précise au Figaro avoir « été surpris » par ce message « car nous ne sommes pas du tout sur le même marché ». « Twin Jet se positionne précisément sur des liaisons secondaires transversales », abonde Eric Moret, directeur général de la compagnie. Pour ce dernier, « l’offre de la SNCF est insuffisante et inadaptée aux déplacements professionnels ». La compagnie ferroviaire propose en effet une liaison entre Lyon et Metz/Nancy, avec un changement à Paris. Au lieu d’une heure en avion, le trajet dure ainsi 4 ou 5 heures sur les rails. (Source : lefigaro.fr)