Le dernier né de la gamme Falcon réalise des vols de démonstration cette semaine. Les premières livraisons sont prévues avant la fin de l’été, dans la foulée de la certification. Vendu autour de 50 millions de dollars, le prix final dépendant des options, le nouveau Falcon évoluera sur le segment roi des grands appareils à large rayon d’action (5500 milles nautiques, soit 10.184 kilomètres avec huit passagers) et à très large cabine. (Source : lefigaro.fr)
Longtemps attendus, les premiers taxis volants électriques commencent à quitter les centres de recherche pour arriver sur les tarmacs, à l’image de celui de Volocopter, qui devrait prendre du service officiellement pour les Jeux olympiques de Paris, l’an prochain. Au-dessus des pistes de l’aéroport du Bourget, en région parisienne, le "Volocity" du constructeur aéronautique allemand atterrit en douceur, après une démonstration d’une quinzaine de minutes pour la 54e édition du Salon international de l’aéronautique et de l’espace. Selon une étude récente du cabinet d’études Deloitte, les eVTOL ont attiré 6 milliards d’euros d’investissements à l’échelle mondiale en 2021, 2,7 milliards d’euros en 2022. L’engouement est là, et les commandes suivent. L’eVTOL Atea de la start-up française Ascendance Flight Technologies a ainsi annoncé lundi 110 nouvelles intentions d’achats, soit 505 en tout. De son côté, l’entreprise américaine Archer a déjà reçu des précommandes pour 100 eVTOL par United Airlines, pour plus d’un milliard de dollars. Attirés par ce nouveau marché potentiel, les avionneurs établis ne veulent pas manquer le coche : ainsi, l’américain Boeing a investi massivement dans la start-up américaine Wisk Aero, qui a mis au point un eVTOL sans pilote, présenté au Bourget. (Source : news.yahoo.com)