Après deux années de baisse, le trafic à l’aéroport Martinique-Aimé Césaire a franchi de nouveau le seuil de 1,5 million de passagers en 2022. La plateforme vise les 2,5 millions de passagers à l’horizon 2025. Pour maintenir la reprise et dépasser le trafic pré-Covid qui était de 2 millions de passagers en 2019, le gestionnaire SAMAC a relancé les travaux de modernisation et d’agrandissement du terminal pour un coût global de 130 millions d’euros. (Source : air-journal.fr)
Grâce aux 36 destinations proposées l’été dernier, Montpellier-Méditerranée estime avoir « réussi » l’exercice 2022 qui l’a vu accueillir 1,76 million de passagers, plus que l’objectif affiché. Montpellier « confirme et conforte » sa 10ème place dans le classement national des aéroports régionaux métropolitains (« et bien sûr sa deuxième place en Occitanie »), ce qui lui permet d’envisager de renouer au plus tôt avec une forte croissance. (Source : air-journal.fr)
Les aéroports de Paris CDG et Orly ont vu en 2022 leur trafic plus que doubler par rapport à l’année précédente, atteignant 80,2% du niveau de 2019, avant la pandémie de Covid-19. Le Groupe ADP dans son ensemble totalise 280,4 millions de passagers, soit un taux de reprise de 80,9%. Les 86,661 millions de clients accueillis par Paris Aéroport se répartissent en 57,474 millions à Roissy (+119,4% par rapport à 2021, 75,5% du trafic de 2019), et 29,184 millions à Orly (+85,6%, 91,6% du trafic de 2019). (Source : air-journal.fr)
En 2022, l’aéroport de Rennes a retrouvé près de 80 % de son trafic d’avant la crise sanitaire, avec un total de 643 304 passagers. À titre de comparaison, ils étaient seulement 256 532 en 2020, presque trois fois moins. « L’aéroport confirme sa place centrale au service des besoins de déplacement des Bretons », explique l’équipe qui gère la plateforme, exploitée conjointement par la Chambre de commerce et d’industrie d’Ille-et-Vilaine et Vinci airports. (Source : ouest-france.fr)
Marignane a retrouvé la quasi totalité de son trafic passager l’an dernier et s’apprête à achever son gros chantier de transformation. Le trafic aérien du ciel marseillais a presque retrouvé son niveau d’avant la crise Covid dès le début de l’été dernier, pour un total de 9 150 000 passagers sur l’année. Un peu moins d’un tiers de ces voyages se font dans la métropole et vers la Corse. Le reste donc à l’étranger avec l’Espagne comme première destination, suivie du Maroc, de la Grande Bretagne de l’Italie et enfin de l’Allemagne. Les vols vers le Maghreb et l’Europe du sud représentent un peu plus de 2 millions de passagers. (Source : maritima.info)
Le Syndicat Mixte de l’aéroport de La rochelle-Ile de Ré a fait le bilan de 2022, ce mardi, tout en annonçant ses objectifs de 2023. "L’année a été plus que satisfaisante" a annoncé Gérard Pons, Président du Syndicat Mixte. En effet, c’est la première fois depuis le début de la crise sanitaire que l’aéroport atteint des chiffres aussi hauts. En 2022, 180 993 passagers sont passés par l’aéroport de la Rochelle. En 2019, année de référence avant crise sanitaire, ils étaient 233 000 passagers. "Nous voulons atteindre les 230 000 voyageurs pour l’année qui arrive" mentionne Thomas Juin, directeur général. L’aéroport de La Rochelle en quelques chiffres : 4 compagnies aériennes, 12 lignes, 5 pays desservis (Royaume-Uni, Irlande, Belgique, Suisse et Portugal). La Rochelle-Londres arrive en tête avec 36 000 passagers, la première ligne française : La Rochelle-Marseille qui a transporté 22 900 voyageurs. (Source : francebleu.fr)
Pour compenser l’abandon de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, Édouard Philippe, alors Premier ministre, avait promis de commencer les travaux à Nantes-Atlantique, début 2022. Cinq ans après, la présidente des Pays de la Loire, Christelle Morançais, exprime sa déception et son agacement. Nous sommes début 2023, la piste est toujours gondolée, l’aérogare saturée, les avions régulièrement déroutés et pas de travaux à l’horizon, le nouveau concessionnaire n’étant même pas choisi ! « Rien n’a été engagé pour réaménager l’aéroport, qui est indigne d’une Métropole comme Nantes », s’agace Christelle Morançais, qui « ne veut pas en rester là ». Elle va demander un rendez-vous à la Première ministre Élisabeth Borne. (Source : ouest-france.fr)