Objectif assumé du programme Planète Voyages : attirer 78 millions de nouveaux passagers d’ici 2032 en les détournant de la voiture et de l’avion. Cela représente 41 millions de voyageurs en France, 37 millions de voyageurs à l’international. Un transfert qui représenterait 288 kilos tonnes de CO2 évités chaque année. Comme l’a souligné au micro une travel manager, s’il est bien un obstacle au développement du train, c’est le prix, qui peut faire faire oublier aux entreprises l’empreinte carbone : « Sur l’axe Paris-Montpellier, vous affichez des tarifs qui sont supérieurs de 30% à ceux de l’aérien ». Au-delà de toutes les solutions tarifaires proposés aux voyageurs d’affaires et rappelées à cette occasion, Valérie Darmaillacq a tenu à souligner une distorsion de concurrence, « le kérosène n’est pas taxé ». (Source : TourMag.com)