Les pays membres de l’Union européenne se sont mis d’accord pour s’ouvrir davantage aux touristes de pays tiers qui sont vaccinés contre le Covid-19 ou guéris, en adoptant mardi une recommandation qui commencera à s’appliquer le 1er mars. (Source : nicematin.com)
Craignant pour la sûreté de leurs passagers, plusieurs compagnies aériennes ont décidé de ne plus survoler l’Ukraine, tandis que la menace d’une invasion russe se fait plus pressante. Les consignes de la DGAC adressées aux compagnies françaises sont résumées dans une circulaire du Service de l’information aéronautique sur le survol des zones de conflits régulièrement actualisée. La dernière, publiée le 25 novembre 2021, n’a pas fait l’objet de modifications depuis l’intensification des tensions dans la région. Bien que le risque n’est "pas pris à la légère, nous avons des experts qui font de l’analyse de risque en ce moment même. On suit la situation d’heure en heure pour établir des recommandations et obligations", assure la DGAC, interrogée par France Inter. Dans ce document, il est demandé aux commandants de bord de ne pas pénétrer dans deux espaces aériens dans la région, l’un qui couvre l’est de l’Ukraine, l’autre qui englobe le sud-est du pays et le nord de la mer Noire, incluant la péninsule de Crimée, annexée en 2014 par la Russie. C’est à partir de cette même année que les conditions de survol de l’Ukraine s’étaient durcies, à la suite du crash du vol MH17 de la Malaysia Airlines. (Source : franceinter.fr)