Pointée du doigt pour son laxisme face aux futures arrivées dans le pays et le manque de tests dans les aéroports, la France va agir. Les voyageurs en provenance de pays à risque seront systématiquement testés dans les aéroports de l’Hexagone, a annoncé le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal. Dans les aéroports parisiens de Roissy-Charles-de-Gaulle et d’Orly, des « barnums » où seront testés « gratuitement » les passagers doivent être mis en place dimanche, a précisé une source aéroportuaire. Le volume de passagers concernés par les tests est « assez faible », a ajouté cette source, « car les pays en rouge sont des provenances soumises à attestation dérogatoire pour motif impérieux ».(Source : lepoint.fr)
Les vols aériens entre la Guyane, Mayotte et le reste du territoire français sont interdits sauf exception, selon un décret publié samedi au Journal officiel.La même interdiction de principe s’applique pour les collectivités du Pacifique. Ainsi "sont interdits, sauf s’ils sont fondés sur un motif impérieux d’ordre personnel ou familial, un motif de santé (...) ou un motif professionnel (...), les déplacements de personnes par transport public aérien entre, d’une part, la Guyane, Mayotte, la Polynésie française, la Nouvelle-Calédonie ou Wallis et Futuna et, d’autre part, tout point du territoire de la République", dispose le décret.(Source : journal-aviation.com)
Le système testé à l’aéroport d’Abu Dhabi utilise une technologie sans contact et peut aider à contrôler les passagers sur la présence de symptômes de Covid-19 avant qu’ils ne prennent leur vol.(Source : air-journal.fr)
L’ACI World et l’IATA demandent que les coûts liés aux mesures sanitaires destinées à réduire la propagation des maladies transmissibles soient assumés par les gouvernements.(Source : aerobuzz.fr)