Alexandre de Juniac, a exprimé son inquiétude face aux divergences entre les différentes autorités mondiales du transport aérien sur le dossier du Boeing 737 MAX. La Federal Aviation Administration américaine a pris en main le dossier de la certification et les autres autorités du transport aérien dans le monde devraient en principe suivre ses recommandations, un processus soutenu par l’Iata. Mais plusieurs autorités ont annoncé qu’elles allaient prolonger leur propre analyse du 737 MAX et des mises à jour proposées par Boeing au lieu de suivre la FAA, dont la crédibilité a été mise en cause après les deux catastrophes,(Source : la tribune.fr)
Lors d’une réunion organisée en août, Boeing n’a pas été en mesure de répondre aux questions de régulateurs aériens de plusieurs pays sur les modifications apportées au système de contrôle de vol du 737 MAX, L’ANAC, la FAA, le régulateur américain, et l’EASA étaient présents à la rencontre tenue à Seattle, a ajouté une autre source. Les trois autorités ont requis, lors de cette réunion, des informations liées aux changements en cours sur le système de contrôle de vol. L’avionneur américain n’a pas été en mesure de les leur fournir, selon la porte-parole de l’ANAC. Elle n’a toutefois pas pu dire si le système de contrôle de vol était à l’ordre du jour ou s’il avait été ajouté à la dernière minute.(Source : le figaro.fr)
L’avionneur américain a fini de travailler sur le correctif du système anti-décrochage MCAS, mis en cause dans les deux accidents aériens, rapporte l’AFP, citant une source bien informée. Ses ingénieurs continuent en revanche d’effectuer les modifications sur le système de contrôle de vol dont une faille avait été décelée fin juin par l’agence fédérale de l’aviation, selon une autre source. Ce problème requiert une mise à jour du logiciel du système de contrôle de vol, et non un remplacement de pièces défaillantes, plus long et coûteux. (Source : air-journal.fr)