La vente des 60% de parts que détient l’Etat dans chacun des deux aéroports a attiré une dizaine de candidats sérieux. Cette intensité concurrentielle, alors que les affaires dans les infrastructures sont rares, risque de faire s’envoler les prix comme cela s’est produit récemment lors de la vente de London City Airport. Tous les candidats sont originaires de pays de l’OCDE. Il n’y a aucun investisseur chinois, russe, ou des pays du Golfe. Mais les consortiums en lice peuvent être amenés à évoluer. (Source : latribune.fr)